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3,4
32 titres de presse
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20 Minutes
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Ouest France
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Bande à part
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CNews
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Closer
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Dernières Nouvelles d'Alsace
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Femme Actuelle
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Franceinfo Culture
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L'Obs
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Le Dauphiné Libéré
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Le Figaro
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Le Journal du Dimanche
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Les Echos
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Marie Claire
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Paris Match
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Public
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Sud Ouest
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Télé 2 semaines
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Télé Loisirs
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CinemaTeaser
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La Croix
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La Voix du Nord
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Première
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Télé 7 Jours
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Télérama
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aVoir-aLire.com
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Le Monde
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Le Parisien
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Les Fiches du Cinéma
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Cahiers du Cinéma
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Les Inrockuptibles
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Libération
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
20 Minutes
Catherine Deneuve est tordante dans le rôle-titre face à un Michel Vuillermoz à son meilleur.
Ouest France
Savoureux.
Bande à part
Comédie savoureuse, le premier long-métrage de Léa Domenach est le croisement réussi entre un biopic décalé et un portrait de femme qui s’affirme. Avec une Catherine Deneuve aux petits oignons et une joyeuse troupe à l’unisson.
CNews
[Une] comédie divertissante et réjouissante.
Closer
Une partition jubilatoire pour l'irrévérencieuse Catherine Deneuve qui s'impose en reine sous les ors de la République !
Dernières Nouvelles d'Alsace
Bernadette est une satire politico-féministe épatante.
Femme Actuelle
Sans éluder son côté guindé et ses maladresses, ce film offre à Bernadette une revanche étonnante et très drôle.
Franceinfo Culture
Léa Domenach insuffle une belle énergie à son sujet, avec force humour, dans la lignée d’un Quai d’Orsay élyséen et féminin.
L'Obs
Dans le rôle de la rebelle pète-sec en tailleur fashion et de la dame convenable inconvenante, Catherine Deneuve est formidable.
Le Dauphiné Libéré
D’une grande intégrité artistique, politique et intellectuelle, Léa Domenach, dont c’est le premier long-métrage, s’amuse, simplifie, grossit le trait, mais toujours avec respect, le souci d’une fantaisie sur le réel irrévérencieuse et décalée. Effleure sa tendresse pour Bernadette, qui est très chouette.
Le Figaro
Dialogues aux petits oignons (« - C'est important, la fidélité. »« - Première nouvelle. »), Catherine Deneuve impeccable, comme si elle avait attendu ce rôle depuis toujours. Bernadette ? Parfait, on vous dit.
Le Journal du Dimanche
Malin et jubilatoire.
Les Echos
A travers un surprenant biopic comique consacré à Bernadette Chirac, Léa Domenach édifie un irrésistible monument à Catherine Deneuve. Son film tient ses promesses à coups de répliques vénéneuses et autres gags burlesques.
Marie Claire
Récit d’"empowerment" féminin, Bernadette est une chronique des années Chirac aux gags plutôt savoureux et aux couleurs acidulées.
Paris Match
Le film de Léa Domenach est un réjouissant jeu de massacre, tendre, aussi, quand il s'agit d'évoquer les blessures secrètes d'une mère.
Public
Catherine Deneuve est spectaculaire dans la peau de la première dame.
Sud Ouest
Drôle, inventive, cette comédie trace un chemin malin, inattendu entre fidélité aux faits et fantaisie.
Télé 2 semaines
Entre fiction et réalité, cette comédie savoureuse fait de Bernadette Chirac une icône nineties. Un retour en grâce porté par la prestance de Catherine Deneuve mais qui frôle l'overdose pop.
Télé Loisirs
Un retour en grâce sur le mode de la fable satirique mais tendre, qui ose dynamiter la vie d'une femme pas moins politique que son mari. Le tout en musique et en couleurs, porté par des dialogues ciselés et la prestance impériale de Catherine Deneuve.
CinemaTeaser
Derrière la réhabilitation attendrie d'une première dame, Bernadette brocarde joliment la politique au masculin.
La Croix
Grâce à ce mélange de farce et de tendresse, et même si tous les gags ne sont pas égaux, la comédie fait mouche. Votez Bernadette.
La Voix du Nord
Une gentille satire, caricaturale à souhait mais farfelue.
Première
Cette trajectoire masochiste et rebelle est un parfait alliage pour la comédie (la bande-annonce ne ment pas) Catherine Deneuve, aux petits oignons, se régale dans ce jeu de quilles en circuit fermé où paradoxalement la caricature déleste le réel de son masque.
Télé 7 Jours
Pour son premier film, Léa Domenach gagne son pari casse-gueule du vrai-faux biopic. Son talent pour la satire s’illustre au fil de séquences savoureuses autour d’épisodes politiques marquants [...].
Télérama
La satire reste inoffensive, et son charme ténu repose en grande partie sur les numéros d’acteurs : Catherine Deneuve, drôle sans chercher le mimétisme, Michel Vuillermoz grandiose en Chichi macho un peu caricatural, pas très loin de sa marionnette des Guignols.
aVoir-aLire.com
Sans être le biopic du siècle, cette satire est une comédie enlevée, qui offre un autre bon rôle de maturité à Catherine Deneuve.
Le Monde
Le film, en dépit d’un casting très alléchant, a toutefois beaucoup de mal à s’émanciper d’une légende chiraquienne déjà écrite, et qu’il faudrait un autre ressort que l’humour mimétique pour revigorer.
Le Parisien
Sur le fond, Bernadette brosse le portrait d’une première dame humiliée, cocue, indésirable. À un moment, on se dit que la comédie va nous raconter « la revanche d’une blonde ». Mais il ne parvient pas à nous convaincre que la « blonde » s’est vengée. Et ce film, bien que sympathique, ne lui rend pas vraiment justice.
Les Fiches du Cinéma
Molle comédie qui se voudrait à la fois apolitique et féministe, "Bernadette" ne brille que par Deneuve - la seule et unique Première Dame de France.
Cahiers du Cinéma
Juste après l’assez convaincante série Tapie, Bernadette confirme une tendance du biopic émulsionné, du fake non pas deep mais artisanal : on instrumentalise une figure publique pour jouer avec elle à la poupée, sans s’encombrer de l’exactitude biographique.
Les Inrockuptibles
Barbie, Bernadette : la construction scénaristique est la même, l’enrobage visuel n’est pas très éloigné (coulis chromatique pimpant et vocabulaire pubard) et la visée politique est la même : racheter au féminisme washing n’importe quelle figure “iconisable” (quelle qu’en fût au préalable la teneur aliénante ou réactionnaire).
Libération
L’intérêt de cette pochade réalisée avec une imperturbable mollesse par Léa Domenach [...] tient à ce qu’elle soit le rare spécimen de son époque : on tient le premier film officiellement macroniste.