Édouard Louis, ou la transformation : Critique presse
Édouard Louis, ou la transformation
Note moyenne
3,0
13 titres de presse
Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
Les Inrockuptibles
L'Obs
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Télérama
aVoir-aLire.com
Critikat.com
Le Figaro
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Culturopoing.com
par Eléonore Vigier
"Edouard Louis, ou la transformation" va alors au-delà du simple portrait, en proposant des pistes de réflexion quant au libre-arbitre et à la création artistique comme vecteur de transformation de soi.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
L’enfance dure du premier roman s’efface pour faire place au récit d’apprentissage délicat d’un jeune homme qui rêve d’une autre vie, contre tout déterminisme, « dans l’espoir de devenir quelqu’un ».
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
La mise en scène, d'une sobriété salutaire, permet d'entendre une voix et de laisser vivre ce récit intime, fragile, parfois complexe quand il devient analyse ou mise en perspective sociologique et philosophique d'une aventure individuelle.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Édouard Louis marche dans ses souvenirs, retrouvant le trajet qui fut le sien d’une classe sociale à une autre. Il avance, sur les lieux de sa renaissance, avec une lucidité aussi précise que désarmante, se souvenant de sa honte comme de sa honte d’avoir honte, de son dégoût de lui-même, de ses origines, de ses parents, avant d‘être libre.
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
L’exercice n’a rien d’un ego trip complaisant. Au contraire : Louis revient sur les lieux de sa jeunesse, comme autant d’étapes de son éducation intectuelle, avec une sincérité, une douceur et une tristesse aussi que viennent conjurer ses prises de parole face caméra, fulgurantes d’intelligence et de retournement de pensée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Obs
par X. L.
Très à l’aise dans cet exercice d’autosatisfaction mâtinée de fausse modestie, l’auteur d’« Histoire de la violence » pense maîtriser un documentaire dont le montage final montre les limites d’un discours dont on fait vite le tour.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par J. Ma.
C’est ce moment décisif, libératoire, que François Caillat décide de faire évoquer à Edouard Louis, comme au débotté, tout en le filmant dans les rues désertes des lieux qui en furent le théâtre (à Amiens), en une sorte de longue remontée sensible.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Devant la caméra de François Caillat, Édouard Louis revient une nouvelle fois sur son parcours. Composant hélas, pour l’essentiel, une redite de l’œuvre de l’auteur (le récent Changer : méthode entre autres), le film n’en capte pas moins une parole intensément politique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par François Ekchajzer
Confidences et visites de lieux de son existence répondent aux lectures de textes et aux extraits de spectacles, favorisant par ce balancement une légèreté qui légitime certains moments en suspension ; comme lorsqu’Édouard Louis laisse son regard s’échapper durablement dans un hors-champ qui est celui de son passé, ou qu’il propose facétieusement à celui qui le filme de danser pour la caméra.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un documentaire intime et sobre pour décrire toute la violence du changement radical d’un jeune garçon né au mauvais endroit.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Thomas Grignon
À trop s'en remettre aux propos de l'auteur, le documentaire ne se départit ainsi pas d’une fadeur toute télévisuelle.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Jean-Christophe Buisson
Ce mercredi sort au cinéma un documentaire à la gloire de l’écrivain qui se prend pour un sociologue. Une heure dix de pleurnicheries absconses.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Nicolas Moreno
Rien de neuf sous le soleil de l’écrivain et sociologue, si ce n’est peut-être sa découverte du recyclage : devant son ancien collège, le voici en train de parler des vêtements qu’il désirait à l’époque, anecdote qu’il racontait déjà dans son premier livre. Avait-on vraiment besoin de ce livre audio illustré et à peine retravaillé ?
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
"Edouard Louis, ou la transformation" va alors au-delà du simple portrait, en proposant des pistes de réflexion quant au libre-arbitre et à la création artistique comme vecteur de transformation de soi.
Dernières Nouvelles d'Alsace
L’enfance dure du premier roman s’efface pour faire place au récit d’apprentissage délicat d’un jeune homme qui rêve d’une autre vie, contre tout déterminisme, « dans l’espoir de devenir quelqu’un ».
Franceinfo Culture
La mise en scène, d'une sobriété salutaire, permet d'entendre une voix et de laisser vivre ce récit intime, fragile, parfois complexe quand il devient analyse ou mise en perspective sociologique et philosophique d'une aventure individuelle.
Le Dauphiné Libéré
Édouard Louis marche dans ses souvenirs, retrouvant le trajet qui fut le sien d’une classe sociale à une autre. Il avance, sur les lieux de sa renaissance, avec une lucidité aussi précise que désarmante, se souvenant de sa honte comme de sa honte d’avoir honte, de son dégoût de lui-même, de ses origines, de ses parents, avant d‘être libre.
Les Inrockuptibles
L’exercice n’a rien d’un ego trip complaisant. Au contraire : Louis revient sur les lieux de sa jeunesse, comme autant d’étapes de son éducation intectuelle, avec une sincérité, une douceur et une tristesse aussi que viennent conjurer ses prises de parole face caméra, fulgurantes d’intelligence et de retournement de pensée.
L'Obs
Très à l’aise dans cet exercice d’autosatisfaction mâtinée de fausse modestie, l’auteur d’« Histoire de la violence » pense maîtriser un documentaire dont le montage final montre les limites d’un discours dont on fait vite le tour.
Le Monde
C’est ce moment décisif, libératoire, que François Caillat décide de faire évoquer à Edouard Louis, comme au débotté, tout en le filmant dans les rues désertes des lieux qui en furent le théâtre (à Amiens), en une sorte de longue remontée sensible.
Les Fiches du Cinéma
Devant la caméra de François Caillat, Édouard Louis revient une nouvelle fois sur son parcours. Composant hélas, pour l’essentiel, une redite de l’œuvre de l’auteur (le récent Changer : méthode entre autres), le film n’en capte pas moins une parole intensément politique.
Télérama
Confidences et visites de lieux de son existence répondent aux lectures de textes et aux extraits de spectacles, favorisant par ce balancement une légèreté qui légitime certains moments en suspension ; comme lorsqu’Édouard Louis laisse son regard s’échapper durablement dans un hors-champ qui est celui de son passé, ou qu’il propose facétieusement à celui qui le filme de danser pour la caméra.
aVoir-aLire.com
Un documentaire intime et sobre pour décrire toute la violence du changement radical d’un jeune garçon né au mauvais endroit.
Critikat.com
À trop s'en remettre aux propos de l'auteur, le documentaire ne se départit ainsi pas d’une fadeur toute télévisuelle.
Le Figaro
Ce mercredi sort au cinéma un documentaire à la gloire de l’écrivain qui se prend pour un sociologue. Une heure dix de pleurnicheries absconses.
Première
Rien de neuf sous le soleil de l’écrivain et sociologue, si ce n’est peut-être sa découverte du recyclage : devant son ancien collège, le voici en train de parler des vêtements qu’il désirait à l’époque, anecdote qu’il racontait déjà dans son premier livre. Avait-on vraiment besoin de ce livre audio illustré et à peine retravaillé ?