Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Culturopoing.com
par François Armand
Habité par son sujet comme son personnage devient habité par ses fantômes, Zonana partage une vision très sombre dans laquelle la violence n’a pas d’alternative une fois la spirale amorcée, à l’image d’une maladie incurable que l’on contracterait en y étant exposée.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ouest France
par La rédaction
David Zonana raconte les jeux de domination et de corruption derrière la façade d'une institution respectable. Puissant.
Télé 2 semaines
par C.B.
Même si son sujet, rappelant des classiques antimilitaristes comme Full Metal Jacket, semble déjà connu, ce long métrage parvient à marquer grâce à une réalisation au cordeau et une tension constante.
Voici
par La rédaction
Un drame coup de poing, entre ultraréalisme et onirisme, sur la face obscure du Mexique moderne et de ses institutions.
L'Obs
par Isabelle Danel
Ancré dans une réalité sociétale effarante, le film efface par sa force l’air de déjà-vu.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Catherine Painset
La limite floue entre le rêve (le cauchemar) et la réalité révèle la confusion grandissante dans l’esprit de Luis, de même que la fin irrésolue, qui nous laisse un peu sur notre faim.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par J.-F. R.
Le film brasse divers thèmes (...) et se permet d’insérer diverses séquences oniriques effleurant une forme de surréalisme. Une telle profusion égare un peu un spectateur régulièrement secoué, pourtant, par des moments d’une brutalité psychologique et physique assez surprenante, très noire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Film d’hommes, qui décrit un régime militaire corrompu et violent, Heroico, réalisé et interprété avec justesse, explore une particularité méconnue de la société mexicaine.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Le réalisateur fait preuve d’une grande maîtrise formelle, exploite superbement un décor fabuleux et installe une ambiance humainement dérangeante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un film glaçant qui, passé sa première demi-heure, s'abîme hélas dans les répétitions et la complaisance.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Bastien Assié
À travers la beauté symétrique de sa photographie et son calme inconfortable, Heroico nous entraine dans l’horreur des jeux de domination et de corruption.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par C.B.
Même si son sujet, rappelant Full Metal Jacket, semble déjà connu, ce long métrage parvient à marquer grâce à une réalisation au cordeau et une tension constante.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un film puissant et coup de poing sur les conditions de formation des jeunes soldats au Mexique, mais parfois à la limite du soutenable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
Inspiré par le témoignage de militaires, Zonana décrit une déshumanisation progressive et montre comment une institution censée protéger la population de la violence la perpétue et la retourne contre les siens, comme Luis avec ses proches.
Télérama
par Frédéric Strauss
La mise en scène, composée avec talent, mais souvent assez cérébrale, veut rendre le propos tellement solennel qu’on ne peut s’empêcher de voir là une certaine simplification : que l’armée soit un univers violent n’étonne pas vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
Habité par son sujet comme son personnage devient habité par ses fantômes, Zonana partage une vision très sombre dans laquelle la violence n’a pas d’alternative une fois la spirale amorcée, à l’image d’une maladie incurable que l’on contracterait en y étant exposée.
Ouest France
David Zonana raconte les jeux de domination et de corruption derrière la façade d'une institution respectable. Puissant.
Télé 2 semaines
Même si son sujet, rappelant des classiques antimilitaristes comme Full Metal Jacket, semble déjà connu, ce long métrage parvient à marquer grâce à une réalisation au cordeau et une tension constante.
Voici
Un drame coup de poing, entre ultraréalisme et onirisme, sur la face obscure du Mexique moderne et de ses institutions.
L'Obs
Ancré dans une réalité sociétale effarante, le film efface par sa force l’air de déjà-vu.
La Voix du Nord
La limite floue entre le rêve (le cauchemar) et la réalité révèle la confusion grandissante dans l’esprit de Luis, de même que la fin irrésolue, qui nous laisse un peu sur notre faim.
Le Monde
Le film brasse divers thèmes (...) et se permet d’insérer diverses séquences oniriques effleurant une forme de surréalisme. Une telle profusion égare un peu un spectateur régulièrement secoué, pourtant, par des moments d’une brutalité psychologique et physique assez surprenante, très noire.
Le Parisien
Film d’hommes, qui décrit un régime militaire corrompu et violent, Heroico, réalisé et interprété avec justesse, explore une particularité méconnue de la société mexicaine.
Les Fiches du Cinéma
Le réalisateur fait preuve d’une grande maîtrise formelle, exploite superbement un décor fabuleux et installe une ambiance humainement dérangeante.
Marianne
Un film glaçant qui, passé sa première demi-heure, s'abîme hélas dans les répétitions et la complaisance.
Première
À travers la beauté symétrique de sa photographie et son calme inconfortable, Heroico nous entraine dans l’horreur des jeux de domination et de corruption.
Télé Loisirs
Même si son sujet, rappelant Full Metal Jacket, semble déjà connu, ce long métrage parvient à marquer grâce à une réalisation au cordeau et une tension constante.
aVoir-aLire.com
Un film puissant et coup de poing sur les conditions de formation des jeunes soldats au Mexique, mais parfois à la limite du soutenable.
Cahiers du Cinéma
Inspiré par le témoignage de militaires, Zonana décrit une déshumanisation progressive et montre comment une institution censée protéger la population de la violence la perpétue et la retourne contre les siens, comme Luis avec ses proches.
Télérama
La mise en scène, composée avec talent, mais souvent assez cérébrale, veut rendre le propos tellement solennel qu’on ne peut s’empêcher de voir là une certaine simplification : que l’armée soit un univers violent n’étonne pas vraiment.