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    Une Si jolie petite plage
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    20 critiques spectateurs

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    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    917 abonnés 4 837 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 septembre 2017
    Le film fout sacrément le bourdon... la pluie continuelle, la mine de GP, la rengaine insupportable de la chanteuse qui hante les esprits dans cette auberge des Thenardier; et la vérité qui tout doucement sort de l'ombre; ce besoin justement de voir la lumière pour oublier et survivre mais la machine à souvenirs n'envoie malheureusement pas le héros vers le chemin de la rédemption:
    "La vie ne s'arrange pas toujours comme elle devrait".
    Dramatique et impitoyable.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 008 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 avril 2013
    Mon dieu que tout ceci est noir ! Des décors naturels en passant par le propos du film jusqu'au jeu des acteurs. Au bord de cette plage du Nord en hiver toute la misère du monde semble s'être donné rendez-vous dans un hôtel minable tenu par une Jane Marken plus bête que vraiment méchante. Gérard Philipe après avoir assassiné une célèbre chanteuse parisienne est venu mourir dans l’endroit où jeune orphelin il avait été exploité cette patronne d'hôtel qui inflige aujourd’hui le même traitement à un autre adolescent obligé comme lui jadis de vendre ses charmes aux riches bourgeoises de passage. Il cherche en vain à nouer le contact avec celui qu’il considère comme son compagnon d’infortune par le fil des générations, seul lien qui pourrait le rattacher à la vie. Mais le jeune homme refuse la main tendue comme si Allégret voulait montrer que la chaîne du malheur liée à la condition sociale de naissance ne pouvait être rompue. D’ailleurs les bourgeois ne sont que de passage ici, seuls les pauvres gens sont condamnés à y rester comme le vieux devenu grabataire, la tenancière et sa femme de chambre ou encore le jeune gigolo. Le meilleur exemple est Jean Servais venu avec sa belle auto pour tenter de soutirer les bijoux de la chanteuse qu’il croit en possession de Gérard Philipe et qui repart dès qu’il a compris qu’il ne les aurait pas, n’oubliant en cadeau d'adieu de dénoncer ce dernier. « Dans la vie on ne fait pas toujours ce que l’on veut ». Cette litanie est souvent répétée par les locataires. Carette en est la plus belle démonstration, voyageur de commerce qui rêvait d’une simple vie de famille et qui se trouve comdamné à sillonner les routes de France avec la photo de sa fille de huit ans pour l’aider à oublier sa condition. Rarement film aura été plus désolant et pessimiste. Il n’a pas fait recette juste après la guerre quand la population cherchait avec la reconstruction à oublier les affres et les toutes bassesses de l'occupation. Gérard Philipe trouvait lui que c’était un de ses meilleurs rôles.
    Philippe C
    Philippe C

    78 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 octobre 2013
    Bonne idée d'avoir programmé ce film lors du festival du cinéma Lumière 2013, avec une copie restaurée.
    Bien sûr on ne pourrait plus tourner un film comme ça aujourd'hui...mais ce film noir, dans lequel il pleut pendant 1h45 est quand même un petit bijou. Des personnages archétypés, souvent attachants malgré leur côté sombre. L'histoire désespérée d'un jeune homme issu de l'Assistance, travaillant comme homme à tout faire dans un hôtel pitoyable, qui suit une chanteuse célèbre et finit par l'assassiner plusieurs années après parce qu'elle l'a trop fait souffrir, avant de revenir après son crime là où il a souffert comme commis et s'y donner la mort,...En toile de fond, outre la pluie, une plage du nord de la France. Pour atténuer la noirceur du scénario, le sourire désabusé de la bonne, la joie de vivre du garagiste et la pitié qu'inspire le voyageur de commerce épris de vie de famille et qui en est réduit à envoyer des cartes postales de monuments aux morts à son fils âgé de 8 ans qui en fait collection... Pour accentuer le côté noir : le jeune homme qui a pris la place du héros et dont on sent la méchanceté et le destin incertain, la tenancière actuelle de l'hôtel qui espère que le développement de la tuberculose lui amènera de nouveaux clients, l'ancien patron paralysé qui comprend tout mais ne peut plus parler et manifeste sa méchanceté en renversant son assiette de soupe pour faire accuser le jeune commis, le parolier amant de la chanteuse assassinée à la recherche de ses bijoux, le vieux couple bourgeois en villégiature le week-end, pour que Madame s'offre le commis, et la rengaine triste de la chanteuse qui passe et repasse sur le vieux phonographe
    Des petites scènes pour en rajouter : les commères, les jeunes filles de l'école des bonnes soeurs qui marchent en chantant, le curé sur son vélo, le tout, toujours sous la pluie, la pluie, la pluie .
    Bonheur de revoir Gérard Philippe et Jean Servais.
    Postsynchronisation assez médiocre... due à la restauration du film ??
    Gonnard
    Gonnard

    214 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 juillet 2009
    Une plage, de la pluie et beaucoup d'ennui. On reconstitue peu à peu le drame qui s'est déroulé au même endroit quelques années plus tôt. Mais on le fait sans grand intérêt. Le héros tape vite sur les nerfs, avec son regard de chien battu et ses sautes d'humeur régulières.
    Guillaume836076
    Guillaume836076

    65 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 novembre 2020
    Certainement le plus beau film d'Yves Allégret avec "Manèges". Véritable diamant noir, ce film est le sommet du courant réaliste et existentialiste du cinéma français d'après guerre. L'histoire, signée Jacques Sigurd, complice des grands films du réalisateur, est très noire, et ne nous laisse, à son terme aucun espoir en tant que spectateur, aucune porte de sortie à son héros incarné magnifiquement par un Gérard Philipe, qui se transcende lui-même en homme rongé par la culpabilité.
    Prisonnier d'un acte et d'un passé auquel il ne pourra jamais échappé, une liberté "illusoire" lui tend la main, en la personnification du joli personnage secondaire incarné par Madeleine Robinson. Bien qu'elle soit aussi lucide que Gérard Philipe des affres complexes et cynique d'une humanité condamnée par sa propre amoralité, elle est la seule note d'espoir dans cette noirceur grisâtre, elle lui offre une affection gratuite, voir des moments de grâce en un amour platonique qui est lui-même condamné avant qu'il ne débute. . Un puits sans fonds, le néant tout simplement. Tout est vanité, tout est vain. Même l'amour...
    Tout le monde dans ce film a quelques choses à se reprocher, où est mu par des desseins inavouables, bien plus condamnables moralement (les personnage de Jean Servais et de Jane Marken) que l'acte commis par Gérard Philipe. Même si son acte reste extrême, il n'est en fait qu'une tentative vaine de se sauver de cette "sale" vie et de se sauver de lui-même, de ce qu'il est devenu avec le temps, par facilité mais surtout par tentative désespérée de sortir la tête hors de l'eau, asphyxié au dernier degré.
    Les autres assument leur cynisme - Jean Servais excellent en véritable salaud maître-chanteur- où bien n'ont pas du tout conscience de l'amoralité de leurs actes - la tenancière de l'auberge sympathique derrière son bar, la grande Jane Marken, vrai marâtre à la Thénardier, qui sous le couvert d’accueillir des pupilles de la Nation de l'assistance publique, les utilise comme de vrai esclave; normal, n'est ce pas ? -. L'hypocrisie est à tous les étages.
    Y compris avec le personnage de la cliente (Mona Dol), qui vit une véritable passion sexuelle cachée avec le jeune "pupille", ce qui ravive de douloureux souvenirs au héros.
    L'excellence de Sigurd, c'est de nous laisser aucun indice au départ, on en découvre peu à peu, en distillant ici et là quelques menus détails sur l'histoire de ce voyageur distant, qui pour nous, spectateur, comme pour la majorité des clients de l'auberge reste une énigme bourrée d'ambiguïtés; Les questions restent en suspend. Que fait-il là dans cette auberge de station balnéaire, en pleine basse saison, désertée par des touristes fuyant le ciel bas et lourd et la persistance accablante de la pluie? Pourquoi est il si distant et mélancolique ? Qui est ce personnage mystérieux qui semble le filer et le surveiller? Un flic, un détective ? Tout nous sera révélé dans la dernière demi-heure. Puis cette tenace impression qu'au bout du compte personne n'échappe à son propre destin et à ses propres choix, conditionnés eux-mêmes par l'enchevêtrement des aléas de l'existence.
    La mise en scène d'Yves Allégret exploite de la meilleure manière une ambiance "poisseuse" renforcée par le gris du ciel et les pluies incessantes et la crasse de l'auberge. Certains plans dans la station balnéaire et la plage sont justes magnifiques, aidé en cela par des prises de vues d'un noir et blanc subtilement contrasté du grand chef-opérateur Henri Alekan, qui signe ici un de ces travaux les plus intéressants.
    Évidement, ne regardez pas ce film si vous êtes d'humeur maussade, où voir carrément dépressif, car il ne vous remontera pas du tout le moral. Mais voyez le dans de bonnes conditions pour apprécier la force du message philosophique qu'il délivre. Je vous le dit un grand film, trop peu connu. Une peinture existentialiste saisissante et profonde.
    bsalvert
    bsalvert

    320 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 mars 2013
    un film peu dynamique avec une histoire tue, le film tient uniquement par l'acteur principal.
    PLV : aux amateurs de films anciens.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    film excellent, très ancré dans la noirceur, sans doute le meilleur d'yves allégret, gérard philippe est bouleversant, et le climat sombre et oppressant ajoute à ce chef-d'oeuvre du cinéma français
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 avril 2012
    Avec Yves Allégret on est rarement déçu encore un beau film, plans et acteurs impeccables, scénario bien emmené et contenu offensif pour l'époque.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    225 abonnés 1 597 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 février 2014
    Une plage déserte, la nuit, la pluie. Une plage déserte, le jour, la pluie. Entre l'obscurité délavée et la grisaille blafarde, le personnage principal, Pierre, promène son mystère et son mal-être. Il est venu sciemment ici pour marcher seul sur la plage, respirer l'odeur de moisi de l'auberge où il a posé sa valise, écouter le bruit de la pompe à eau... Dans cette auberge, il y a un vieillard paralysé, l'ancien patron, qui le regarde fixement. Il y a aussi un garçon de l'assistance publique, domestique maltraité. Comme lui, Pierre est un enfant de l'assistance publique. Et comme lui, il a travaillé ici, dans les mêmes conditions. Il se dit que la vie est moche comme le temps pluvieux qui abat ses rafales sur ce coin de sable abandonné. Pierre est revenu aux sources de son enfance meurtrie avec l'idée de mettre fin à sa vie d'homme, lui qui vient de tuer une femme qui abusait de lui, à Paris. Un meurtre dont a connaissance un inconnu qui débarque à l'auberge et tente de le faire chanter. Pierre se débat avec son passé et sa culpabilité, soutenu par une employée de la maison, Marthe, qui prend sa défense.
    Ce film est typique d'un certain cinéma d'après-guerre, sombre et noyé de désespérance. Il est aussi caractéristique, dans son style, de l'association entre le réalisateur Yves Allégret et le scénariste-dialoguiste Jacques Sigurd. Une association qui a donné trois fleurons du drame noir à la française : Dédée d'Anvers, Une Si Jolie Petite Plage et Manèges. Frère de Marc Allégret (qui a notamment réalisé Fanny, le deuxième volet de la trilogie marseillaise), Yves était par ailleurs, à l'époque, le mari de Simone Signoret à qui il a donné, notamment, le rôle titre de Dédée d'Anvers.
    Une Si Jolie Petite Plage surprend par la lourdeur de ses silences, par la mise en scène de gestes infimes qui disent la solitude et la souffrance, par la radicalité de son propos. Noirceur poisseuse. Pessimisme sans fond. C'est un film qui fait mal. Alors, oui, le trait est certainement trop appuyé dans le tableau de la misère humaine et dans la critique sociale, mais les qualités de l'ensemble emportent largement l'adhésion : dans l'expression du mystère, dans la caractérisation des personnages principaux et secondaires, et surtout dans la création d'une atmosphère infiniment triste et presque envoûtante (qui doit beaucoup à la photo d'Henri Alekan). Gérard Philipe est quant à lui excellent et bouleversant dans un rôle qui restera comme l'un de ses préférés (et de ses meilleurs).
    Sonia K.
    Sonia K.

    17 abonnés 157 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 juillet 2016
    Plutôt barbant ce film bien théâtral, lent, mélo et sans véritable scénario; film très "psycho"; un G. Philippe dégoulinant de sensiblerie, de niaiserie, de (mauvais) romantisme et de déprime; regard de chien battu, imprévisible, perturbé du début à la fin, il en fait trop! M. Robinson sauve la mise, douce et jolie, un peu "déprime" toutefois comme son amoureux. Bref, on s' ennui. Les prises de vues sauvent un peu le film.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 968 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 mai 2020
    La pluie incessante, la brume hivernale, la plage dèserte, la cabane secrète, l'hôtel de Mme Mathieu et le poids du pèchè comme on dit! Bien qu'il ait commencè sa carrière avant la dernière guerre, Yves Allègret ne s'est imposè rèellement qu'à partir de 1948 avec "Dèdèe d'Anvers", qui rèvèla Simone Signoret et surtout "Une si jolie petite plage", tournèe l'annèe suivante! Un superbe mèlodrame qui permit à Gèrard Philipe et Madeleine Robinson de donner toute la mesure de leur talent! Ce film pessimiste, qui s'appuie sur un sujet particulièrement sordide, est sans aucun doute le meilleur film de Allègret, THE grand spècialiste français du film noir! Ne cherchez pas de monologue ou de retour en arrière, il y en a pas! Juste la nostalgie d'une enfance que vient retrouver un Gèrard Philipe (sa plus belle crèation) en ètat de grâce sur une plage dèserte noyèe dans la pluie! Dramatique destinèe que celle de cet ancien gosse de l'assistance publique que l'amitiè d'une servante ne sauvera malheureusement pas! Vous avez dèjà vu un endroit où il pleut autant ? Et pourtant en ètè c'est une « si jolie petite plage »...
    Caine78
    Caine78

    6 015 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 juin 2018
    Est-ce la mise en scène, l'aspect trop sinistre qui m'empêche d'être réellement enthousiaste vis-à-vis de ce film, à moins que ce ne soit cette volonté de vouloir vraiment faire « drame réaliste » à tout prix ? Toujours est-il que sans retrouver la force des très grands classiques du genre, « Une si jolie petite plage » reste une œuvre parfois puissante, aux personnages marquants, ne nous laissant pas beaucoup de répit quant à ce qu'elle exprime : un portrait sombre de l'Humain, où chacun est coupable à sa manière et l'hypocrisie reine, beaucoup cherchant à s'y donner bonne conscience pour masquer leur médiocrité. Chaque personnage a un rôle à jouer (et quel casting!), quelque chose à dire, le cadre nordiste se prêtant habilement au propos. C'est triste, parfois déprimant, ce qui n'empêche nullement Gérard Philipe de briller en boule de douleur spoiler: brisée par la vie (et la cruauté) durant sa jeunesse
    . Peut-être pas la grande œuvre espérée, mais un titre important des années 40, méritant assurément d'être (re)découvert.
    bobmorane63
    bobmorane63

    153 abonnés 1 898 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mai 2022
    Un film dramatique et aussi intrigant signé par le cinéaste inspiré Yves Allégret !!
    Je n'ai pas vu beaucoup de films avec Gérard Philipe mais c'était un très bon comédien comme ici dans "Une si jolie petite plage" ou il est énigmatique, mélancolique, dans la peau de son personnage qui arrive près d'une plage du Nord ou , durant tout le long métrage, il pleut tout le temps. Le personnage principal est silencieux, triste, porte un fardeau de dire quelque chose et a des fois des gestes inquiétantes qui nous questionne. Il est entouré d'un homme , qui lui aussi arrive, le connait sans se montrer, des serveuse et restauratrices qui essayent de l'aider sans savoir, d'un adolescent de l'établissement auquel le personnage principal se livre un peu jusqu'à le dénouement révélateur. Bonne mise en scène d'Yves Allégret avec de bons comédiens qui entourent Gérard Philipe, Madeleine Robinson, Jean Servais entre autres. Le scénario est très bien écrit et puis il pleut beaucoup dans cette oeuvre (rire). A découvrir.
    ronny1
    ronny1

    29 abonnés 912 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 avril 2019
    Dans la filmographie d’Yves Allégret, « Une si jolie petite plage » succède à « Dédée d’Anvers » qui est son meilleur film. Avec un scénario très habile de Jacques Sigurd mais avec des dialogues inégaux) qui découvre progressivement l’histoire, le film bénéficie de plusieurs atouts. Pour commencer une distribution haut de gamme. En tête Gérard Philippe qui sort de deux succès avec « Le diable au corps » de Claude Autant-Lara » et « La chartreuse de Parme » de Christian Jacques. Mais aussi Madeleine Robinson, grande star du cinéma français d’après guerre, et quelques seconds rôles bien campés par Jean Servais, Jane Marken et Carette, insupportable et égocentrique représentant de commerce. Malgré une photographie remarquablement dépressive du grand Henri Alekan et une mise en scène qui ne trahit rien, le film tient plutôt du ratage que de la réussite. De ce long tunnel qui se veut hyper réaliste mais dont on devine rapidement les tenants et aboutissants, ressort un certain ennui. Allégret peine à intéresser le spectateur par la faute d’une absence d’aspérité. Le vitriol censé dépeindre les hypocrites et traîtres s’est dilué. Peut être à cause de la pluie continuelle...
    pierrre s.
    pierrre s.

    350 abonnés 3 235 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mai 2020
    Un drame prenant où la pluie omniprésente nous plonge dans une drôle d'ambiance. L'intrigue est intéressante, dommage que le personnage principal soit si morose et plombant.
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