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    Mississippi Burning
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    277 critiques spectateurs

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    Santu2b
    Santu2b

    217 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juin 2021
    Sorti en 1988, "Mississippi Burning" intervient dans la meilleure période d'Alan Parker. Après s'être essayé au thriller surnaturel avec "Angel Heart", le cinéaste nous plonge au coeur du sud raciste en contant l'affaire sordide des meurtres de la Freedom Summer. Non seulement le contexte historique est poignant mais le long-métrage est une réussite totale sur le plan du rythme. On connaît pourtant les défaut d'Alan Parker, notamment sa tendance à être démonstratif et sortir les grands sabots. Le film n'y échappe pas mais il contient également d'autres scènes plus suggestives et bienvenues comme la traversée du fleuve par les agents du FBI en costards. Le duo d'agents est impeccable, surtout relevé par la prestation fantastique de Gene Hackman. Au final cela donne un polar très haletant, certainement l'un des meilleurs films de son auteur.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    112 abonnés 1 577 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 septembre 2022
    1964, trois jeunes militants pour les droits civils disparaissent mystérieusement au fins fond d’un état du Mississippi gangréné par la ségrégation raciale et le KKK. Deux agents du FBI débarquent sur place pour résoudre cette affaire. Bon là, c’est très américain, tous les oppose : l’un est une jeune recrue à la tête bien faite, l’autre est un agent plus expérimenté connaissant le terrain. Deux agents, deux méthodes ; cette opposition caricaturale permet quelques respirations au film via des parenthèses drôles. Mais on va surtout suivre l’enquête en environnement hostile et raciste ; une grande partie de cette communauté et plus largement le Sud des EU rejette la fin de la ségrégation ; la population noire a même fini par l’intégrer et l’accepter. Un film « grand studios US » comme à la belle époque ; le message est fort dans un film grand public accessible à tous. Alan Parker aux manettes ; Gene Hackman, Willem Dafoe et la débutante Frances Mc Dormand devant la caméra ; le combo est un sans-faute. Un bon film à voir en famille pour aborder le sujet.
    TOUT-UN-CIENMA.BLOGSPOT.COM
    kibruk
    kibruk

    112 abonnés 2 402 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 mai 2021
    "Mississippi burning" était une grosse claque au moment de sa sortie et malgré plusieurs visions il reste parfait. C'est sans aucun doute l'un des meilleurs films sur le KKK et plus largement sur le racisme, c'est une plongée sans concession dans ce qu'étaient les USA dans les années soixante (et sans doute ce qu'elles sont encore aujourd'hui même si les choses sont moins criantes). Le film est particulièrement bien rythmé et on ne s'ennuie jamais à suivre l'enquête ponctuée de scènes très fortes, la réalisation d'Alan Parker est encore excellente avec une utilisation parfaite de la musique (l'introduction est remarquable) et tous les acteurs sont superbes.  
    Charlotte28
    Charlotte28

    93 abonnés 1 742 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 octobre 2020
    Une enquête révélatrice de la pensée sudiste extrémiste au temps du Ku Klux Klan emmenée par un solide duo d'acteurs jouant avec intelligence, Willem Dafoe le tatillon technocrate ambitieux, Gene Hackman le sensible roué autochtone, mais tous deux animés d'idéaux avec lesquels ils se démènent. Dénonçant heureusement par l'image plus que par le discours cette haine de l'ignorance et du dépit, Alan Parker adopte une mise en scène très classique ainsi qu'un rythme qui décidément empêchent ses films d'atteindre l'excellence par un déroulé assez lancinant voire ronronnant et une absence d'émotion, la révolte étant illustrée, non ressentie. Un film utile d'un point de vue historique, moins d'un cinéphilique.
    Philippe C
    Philippe C

    80 abonnés 1 008 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 octobre 2019
    Un film très efficace pour dénoncer le racisme des Etats du sud au début des années 60 et les agissements criminels du Ku Klux Klan. Deux inspecteurs du FBI, aux personnalités opposées et qui s'opposent sur les méthodes à employer, cherche à élucider la disparition de 3 jeunes militants anti-ségrégation. Ils se heurtent à l'hostilité de la population blanche, à la peur et à la passivité de la population noire, à l'arrogance de la police locale.
    Le film débute sur une scène magnifique, de voitures qui se suivent sur une route vallonée à la nuit tombée, scène qui préfigure bien la qualité de mise en scène du film avec des cadrages superbes . Le film est vif, alerte, animé. Il y a juste ce qu'il faut de suspens. Son message est on ne peut plus clair, et si les racistes sont montrés sans complaisance et sans complexité, il n'en est pas de même des inspecteurs, ni de la femme du shérif coincée entre son enracinement, sa culture, et sa vision juste du hiatus raciste.
    Au total, ce film tourné en 1988, qui se déroule en 1964 est une œuvre utile, qui a gardé tout son sens et sa puissance en 2019. Du très bon Alan Parker, servi par d'excellents comédiens
    rocky6
    rocky6

    26 abonnés 1 627 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 septembre 2019
    Un film qui n'a pas vieilli. Servi par un duo d'acteurs au meilleur de sa forme (excellents Willem Dafoe et Gene Hackman) il nous entraîne au cœur du Mississippi des années 60 dans une enquête impliquant le Ku klux klan. 3 jeunes militants défenseurs des droits civiques disparaissent et les 2 enquêteurs du FBI se heurtent au Klan local mais aussi aux préjugés racistes très présents dans la région. Un film qui dénonce fort bien le racisme anti noir fort implanté dans cet état du sud du pays.
    Eselce
    Eselce

    1 207 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 février 2016
    Bon film sur le racisme aux Etats-Unis dans les années 60 et la lutte du FBI pour coffrer les assassins de 3 jeunes militants pour les droits civiques des noirs. Gene Hackman est très bon agent du FBU aux méthodes expéditives et Willem Dafoe en agent du FBI impliqué mais respectueux de la loi. Un divertissement qui amène à réfléchir.
    videoman29
    videoman29

    206 abonnés 1 809 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 septembre 2020
    En 1989, Alan Parker (« Midnight express », « The wall ») balance un vrai pavé dans la mare en sortant « Mississippi burning » sur les écrans du monde entier. Avec tout le génie qu'on lui connaît, il dénonce le racisme aux États-Unis en général et dans les états du sud en particulier. Son scénario sans la moindre concession confronte deux policiers du FBI à la disparition de trois jeunes militants, dont un noir, dans une petite ville du Mississippi. Rapidement les policiers se heurtent à l'incompréhension, voire à l'hostilité de la population locale... et de son shérif qui semble en savoir beaucoup plus qu'il ne le dit. Au fur et à mesure que leur enquête avance, les obstacles se multiplient... d'autant que les membres du Ku-Klux-Klan ne sont jamais loin. Le sujet est particulièrement passionnant, d'autant qu'il est traité avec un évident réalisme et un grand sens de la justice. On est immédiatement plongé dans cette cité abandonnée de tous, où la vie humaine (si elle est noire) ne tient guère qu'à un fil. Impressionnant mais pédagogique, ce film souvent très dur devrait être montré dans les écoles pour son message éminemment partisan. Bravo !
    Sebi Spilbeurg
    Sebi Spilbeurg

    75 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 février 2014
    Bien qu’il soit connu dans le cinéma musical (avec Fame et Pink Floyd : The Wall), la carrière d’Alan Parker a été littéralement lancée par Midnight Express (2 Oscars remportés sur 5). Depuis, le statut de réalisateur militant le suit à chacun de ses longs-métrages. Jusqu’à son dernier en date (La vie de David Gale, 2003, qui traite de la peine de mort), en passant par Bienvenue au Paradis et, le film de cette critique, Mississippi Burning (au sujet des ségrégations). Ce dernier a énormément fait parler de lui, étant sorti aux États-Unis avec la puissance d’un uppercut, rappelant à cette Nation un fait divers des plus abominables que l’Amérique ait connu.

    Il s’agit d’une enquête. Celle du FBI qui tente d’élucider la mystérieuse disparition de trois jeunes militants des droits civiques, deux Blancs et un Noir, dans l’État du Mississippi. Où régnait encore une haine sans faille envers les hommes de couleur, qui étaient traités comme à l’époque de l’esclavage. Régis par la peur du Ku Klux Klan, qui faisait des ravages et qui « serait » (ne gâchons pas le suspense !) l’auteur de cette mystérieuse disparition. Vous l’aurez compris, le scénario de Mississippi Burning veut frapper là où ça fait mal ! En faisant ressurgir sur le devant de la scène une sombre histoire de l’Humanité. Celle où les Noirs étaient encore considérés comme des animaux aux yeux des Blancs. Tout comme ceux qui les défendaient. Mais le film va encore plus loin que son postulat antiracisme !

    Car Mississippi Burning n’est pas une simple enquête où quelques fédéraux se rendent dans une petite ville pour l’élucider. Leur arrivée va carrément déclencher une guerre ! Qui va susciter la haine des ségrégationnistes, qui vont alors passer à l’action : agressions publiques, fusillades, incendies, tentatives de meurtre… Tous les crimes défilent dans ce film pour parler d’insécurité. Pour mettre en valeur le bourbier sans fond dans lequel s’enlise les agents fédéraux à force de vouloir faire la loi dans un État qui ne veut changer d’éthique.

    Comme critique, nous y trouvons également celle dénonçant la manipulation des foules. Et ce par le biais de divers détails, à commencer par l’utilisation des médias (d’ailleurs, le long-métrage se permet quelques interviews fictives de la population, renforçant le côté raciste des habitants). Ou encore le rôle de la politique dans toute cette affaire (le maire tentant de faire taire l’enquête du FBI et des « attentats » qui en découlent afin de garder une bonne image de sa ville, et aussi de l’État par la même occasion). En passant, bien évidemment, par les meetings de personnes appartenant au Klan (et qui pourtant, publiquement, le démentent) ayant pour but d’endoctriner (jusqu’aux jeunes enfants) le plus de partisans possibles afin de mener à bien leur monstrueuse quête.

    Bref, Mississippi Burning est ce que l’on appelle un film engagé, riche en thématiques et qui fait plutôt mal. Et tout cela sur fond d’un buddy movie dans la plus grande tradition hollywoodienne : l’agent vétéran (sudiste lui aussi mais qui doit pourtant faire face à la connerie morale de ses « semblables »), aux méthodes illégales mais efficaces, devant faire équipe avec son supérieur, jeune en costard-cravate (comme tous les fédéraux du film, dont la vue prodigue par moment un effet comique, histoire d’alléger l’atmosphère), à cheval sur les principes et le légalisme du FBI. Amenant ainsi à deux personnages bien écrits et interprétés avec conviction (Gene Hackman en tête). Dont l’un d’eux permet l’introduction d’une trame secondaire qui s’annonce comme une romance, mais se révèle être une nouvelle dénonciation, de l’attitude misogyne (voire violente) de certains individus. Vraiment riche en sujets, ce film !

    Sans compter que Mississippi Burning ne se contente pas de son histoire. Il la fait vivre ! Grâce à une mise en scène ingénieuse et une photographie réussie (d’ailleurs, le film recevra ce seul Oscar comme récompense parmi ses 7 nominations) qui enrichissent la cruauté des images, sans tomber dans le gore ni la violence gratuite. Il suffit d’une église en feu, des personnes courant dans tous les sens et une musique évocatrice (très bonnes partitions de la part du compositeur Trevor Jones) pour offrir à Mississippi Burning des airs d’apocalypse qui laissent de marbre.

    Avec une ambiance aussi lourde et un sujet aussi fort travaillé à la perfection, normal que le film d’Alan Parker soit culte ! Pour sûr, après avoir vu Mississippi Burning, il est difficile de trouver un long-métrage à la puissance équivalente. Par exemple Le Majordome : joli film qui dénonce, certes, mais qui se présente comme un véritable Bisounours à côté de la gifle qu’est Mississippi Burning, car étant un long-métrage qui préfère raconter et montrer plutôt que de dépasser son postulat de départ. Il est fort dommage qu’Alan Parker n’est plus réalisé un seul film après La vie de David Gale. Car il serait intéressant de voir ce que le bonhomme peut encore nous livrer dans le contexte sociétal actuel.
    boscopax
    boscopax

    72 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 septembre 2014
    Convaincant, réaliste, stressant et même dérangeant, Mississippi Burning permet à Parker de parler de violence qui nous parait démesurée aujourd'hui mais finalement bien ordinaire à l'époque où le film se déroule. La critique sociale sous-jacente nous ramène à une époque faite de bêtises, d'ignorance et de violence sans fondement. Sujet sensible évidemment, où Parker expose des faits sans jamais nous donner l'impression de prendre partie. Personne ne peut pourtant rester insensible, quoiqu'on en pense.
    antony Z.
    antony Z.

    67 abonnés 1 038 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 septembre 2022
    Une intrigue intéressante témoignant de cette période de l’histoire honteuse et abjecte !! Ces horreurs ne sont pas si lointaines et même si c’est difficile à supporter comme récit, c’est un rappel sur ce que l’homme peut faire de pire avec une cruauté impensable.

    Mais en opposition, il y a aussi ceux qui ont permi de le combattre et d’y mettre fin et de condamner ces infâmes bourreaux.
    Les comédiens sont excellents comme la mise en scène qui transpose bien cette ambiance épouvantable
    Ghighi19
    Ghighi19

    52 abonnés 1 758 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 février 2024
    Revu car un peu oublié avec le temps . Ce qui frappe c est la manière dont le réalisateur a voulu traiter son sujet . Dès le début on suit cette enquête vue des deux agents du FBI. Alan Parker donne à voir cette violence raciale d une manière crue et réaliste. Film choc réalisé par un metteur en scène qui savait dénoncer.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 février 2020
    Le cinéma américain sait comment vous absorbés par son histoire alléchante, une fois de plus imbattable, le K.O uppercut envoyant son adversaire sur le ring de boxe direct au tapis, une mise en scène maîtrisée enfin pour Midnight Express to Evita at Angel Heart.
    Avec de la patience filmographique chronologie déroulée dans le temps défilé qui s'allonge, on peut dire que c’est la première grande production cinématographique sur l’échelle mondiale, qui bat tous les records, tout genre confondu.

    La science-fiction action réaction, l’horreur-épouvante, le romantisme marque eau de rose, l’émotion est ciblée, centre des attentions, fait son cours de cinéma mettra en scène, le thriller haletant est sportif et le drame.
    Presque documentaire instructif dans ce film passionnant, l’histoire de cette organisation raciste, le Ku Klux Klan est bel et bien une satané secte hiérarchisation des races aux idées aryennes, la page sombre n’est pas terminée et continue.

    Au symbolisme extrêmement visible qui fera passé pour une banalité, en ne peut plus intrigant dans l’histoire des États-Unis d’Amérique, une guerre civile sécessionniste, la confédération des états du Sud sur la question de l’esclavage qui aurait été justifiée par la bible.
    Regardons dans le nouveau testament reprenant la succession de l’ancien, c’est la fascination dés textes sacrés livres saints comme engouement seulement grâce et pour ce film, à la sauce Tabasco Heinz assaisonnée par cette secte suprématiste.

    Leur célèbre accoutrement, chapeau pointu, uniformisée loge costume homogénéité taille unique constructeurs piliers roues, à la boutique sigle initial sans équivoque triple KKK facile le lien, depuis la découverte continentale bénie royal : la colonisation.
    Une intéressante genèse verset après le déluge, une petite plongée sereinement puis grande montée, dans l’étude spiritualité philosophe Abraham en main à l’église Gospel...... oh happy day when Jesus whashed !..... des fils bibliques selon l’ordre :

    -Le dominant
    -Le dominé
    -L’esclave pêcheur marin poissons fruits de mer d’avoir failli à l’honneur filial envers son ancêtre géniteur.

    Incroyable qu’avec aussi tant de précision de la part de cette réalisation renseignée chef-d’œuvre, les investissements efforts d’investigation apporté ses fruits malgré les intimidations menaces imminentes en ces climats tendus.
    1964 était tragique dénouement après l’attentat 1963 onde de choc poignant, le FBI d’Edgar Hoover et la chasse aux sorcières, le communisme, c’est noté sur cette belle critique justifiée, que c’est grandiose !! C’est la force de passer du simple navet à la cuisine exquise, à croire que le reste........

    Le jeux du pouvoir entre les forces de sécurité protection surveillance service ¡Shérif fait-moi peur! auprès du citoyen américain « période hippies droits civiques Martin Luther King », des élus locaux communs allégeant maigres sanctions pour son époque raciale mais amplement méritées.
    C’était l’institution dans le fleuve du Mississippi d’où découle sa source, un état sudiste, les mouvements de foule, l'éducation mauvaise rend mauvais.
    Vrakar
    Vrakar

    34 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2014
    Magnifiquement réalisé, acteurs fantastiques, un Gene Hacker au charisme exceptionnel et une Frances McDormand très naturelle, maitrise sans manichéisme d'un sujet pourtant très délicat à aborder, B.O grandiose, "Mississippi Burning" est un presque un chef-d'oeuvre. Il y a toutefois quelques longueurs qui plombent l'ensemble. Cela n'en reste pas moins un grand classique du cinéma. Alan Parker a su éviter les clichés à une époque (2ème moitié des 80's) où bien des réalisateurs, acteurs et artistes de tout bord se sentaient obligés de faire de l'humanitaire.
    Vixare
    Vixare

    27 abonnés 369 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 mars 2013
    Voici un film brutal et violent qui met une réelle claque. Le spectateur se retrouve ici face à face avec l'horreur et le racisme qui exprime la plus grande bassesse humaine qui puisse exister. La réalisation d'Alan Parker est particulièrement prenante, et surtout très intelligente. L'ensemble est emmené avec brio par Willem Dafoe et surtout Gene Hackman qui s'impose par un charisme extraordinaire. Le scénario nous fait tenir en haleine jusqu'au bout avec un certain plaisir. Un très grand film.
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