Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Lou W
2 abonnés
105 critiques
Suivre son activité
1,5
Publiée le 23 novembre 2019
C'est pas bon ! Le rendu est certes homogène mais le spectacle est rendu plat par une piètre qualité du scénario , relativement prévisible. Les personnages sont corrects , assez attachants mais pas assez pour tirer vers le haut un film qui penche déjà vers le bas.
ce film ravira beaucoup les petits car je me souviens quand j'étais enfant j'avais adoré ce film et maintenant que je suis adulte c'est vrai que celui qui veut paru plat dans l'histoire je pense que 1h14 durée idéale pour ce film car au-delà on risquerait de s'ennuyer malgré tout il y a jolie clin d'œil à un autre film de Walt Disney couleur plutôt bonne et jolie pour l'époque.
Les plus petits adoreront, les plus grands riront quelques fois de certains gags et s'ennuieront le reste du temps. Globalement, ce dessin animé est un peu trop nunuche pour séduire tout le monde.
Une très bonne histoire dessinée à la main de manière superbe et profonde. Quelques passages pouvant être un peu angoissants pour les plus jeunes tout de même. Le milieu du bayou, les crocodile, la grotte... Ça peut faire peur. Sinon la poésie fonctionne encore et toujours. Un classique qui le reste.
Un DA génial. Enfantin par son aspect mais tellement beau par son sujet et émouvant avec ses personnages attachants. Adorable avec les petits insectes dont Evinrude. Excellent
Un Disney tout mignon mais un peu tristounet... Heureusement, l'histoire est inventive : des souris organisées en OMS et qui viennent en aide aux enfants en détresse. Cela donne quelques bonnes trouvailles visuelles. Les personnages loin des stéréotypes font aussi la force de ce film. Bernard, petit concierge manquant d'assurance, est loin du héros téméraire. Bianca est une femme forte (enfin, une souris !) et indépendante. Et Penny ne se laisse pas abattre. La belle collection de seconds rôles vaut aussi le détour : de l'albatros à la libellule en passant par le chat ou les crocodiles. Un bon Disney.
Un Disney amusant et plein de charme qui nous conte les aventures de deux souris attachantes qui viennent en aide avec une belle galerie de personnages secondaires, à une petite fille en détresse face à la méchante Médusa.
"SOS Société, nous sommes là pour vous aider, quels que soient vos problèmes, nous allons les régler". Punaise de sacrebleu d'un p'tit bonhomme en pain d'épices ! Si de tous les Disney faits après la mort de Walt la moustache "Les aristochats" restera éternellement mon préféré, ces "Aventures de Bernard et Bianca" fait aussi partie de mes petits chouchous. Parce que d'abord, dessin animé des années 70 se déroulant dans les années 70. Parce que dépaysant : de New-York au Bayou, du Bayou à New-York. Parce qu'il s'y passe toujours quelque chose. Et parce que rythme super vitaminé. On a jamais le temps de le trouver long. Grand fan, depuis toujours.
"Les aventures de Bernard et Bianca" redonne un peu de souffle aux studios Disney en souffrance depuis la mort de leur fondateur en 1966. Leur dernier succès demeure "Le livre de la jungle" mis en chantier par Walt Disney juste avant sa mort (il ne verra pas le film achevé). Le film est adapté d'une série de nouvelles pour enfants de l'écrivaine anglaise Margery Sharp narrant les aventures d'une souris au grand cœur, Melle Bianca, membre de la SOS Société (sorte d'ONU animalier), parcourant le monde pour venir en aide aux déshérités et malmenés de tous genres. Relativement simple dans sa narration et dans son style graphique "Les aventures de Bernard et Bianca" tire toute sa force de la sympathie que dégage l'ensemble des personnages dessinés par une équipe composée tout à la fois de l'ancienne garde (Milt Kahl, Ollie Johnston, Frank Thomas) et des jeunes pousses (Don Bluth, Ron Clements ou John Pomeroy) qui prendront la relève dans les années 80 . Les personnages secondaires comme Orville, le vieil l'albatros essoufflé assurant la liaison aérienne entre New-York et la Louisiane ou encore la libellule Evinrude transportant dans le bayou Bernard et Bianca sur une feuille devenue canot. L'anthropomorphisme marque de fabrique des studios joue ici encore à plein dans le domaine burlesque sans tomber dans le romantisme larmoyant dont abusait parfois l'oncle Walt. Les allusions aux "101 dalmatiens" avec le personnage de Madame Medusa cousine très proche de la redoutée Cruella d'enfer sont évidentes et bienvenues quand on connait les qualités de ce métrage de référence. N'ayant pas vieilli d'un pouce, "les aventures de Bernard et Bianca" permet encore aujourd'hui aux plus anciens et aux tous petits de se trouver réunis devant l'écran le temps d'un voyage au suspense gentiment inquiétant.
L'une de mes aventures Disney préférées où Bernard et Bianca, deux souris, partent à la rescousse d'une jeune fille, Penny. J'adore les méchants, surtout Mr Snoops. Les bruitages à l'ancienne, surtout les 'Pouh" des véhicules de Médusa, me feront toujours rires. Orville, son crash et son redécollage, les deux crocos Brutus et Néron qui jouent de l'orgue, très drôle. Un excellent film d'animation et une belle aventure.
Ironie de son histoire, Bernard et Bianca est souvent décrit comme "un film sans ambition" par l'écrivain John Grant (auteur d'une encyclopédie des personnages Disney), alors qu'il marque un tournant dans l'histoire de son studio. Les années 70 n'ont pas été des plus mirifiques d'un point de vue créatif : Les Aristochats évoquant La Belle et le Clochard en version féline, et Robin des Bois fut l'un des opus les moins énergiques. Disney repart donc à quelque chose de plus petit avec les aventures de ces deux petites souris lancées en mission sauvetage. Côté coulisses, l'adaptation des romans signés Margery Sharp signe la transition entre ancienne garde et nouvelle génération. Pas négligeable donc. Alors que les précédentes productions versaient volontiers dans la légèreté, Les Aventures de Bernard et Bianca revient à une tonalité plus dramatique. Le film replace même l'humain en tant que cœur émotionnel (alors qu'ils étaient périphériques ou absents des trois précédents volets). L'identification est renforcée par le fait que le personnage en question soit une petite fille, une première depuis Alice au pays des merveilles (1951). Penny est le centre d'un récit mêlant aventures et humour, pas foncièrement original mais profondément attachant. Le trio de réalisateurs (Wolfgang Reitherman, Art Stevens, John Lounsbery) applique la recette ayant fait le succès du studio, composée d'une bonne louche de poésie, d'une cuillerée d'absurde (cf. le duo de crocodile), qu'on saupoudre avec quelques personnages fantaisistes (Orville, Evinrude ou Luke). De la décennie seventies, Bernard et Bianca représente le meilleur film Disney, le seul à avoir su mêler storytelling traditionnel avec quelques fulgurances. Au final, il permettra au géant de l'animation de retrouver le succès, et réussit un passage de flambeau avec douceur. Pas mal pour un film "sans ambition".
Les studios Disney parviennent à réaliser un bon polar pour enfants. Le ton est assez sombre, rendu par des décors très travaillés et une méchante réussie. L'intrigue est simple mais efficace et les personnages sont attachants.
Je n'avais pas revu ce film depuis 42 ans. C'est intéressant de voir à la fois les changements dans l'animation et de la place des femmes qui a heureusement évolué depuis cette période. C'est un dessin animé très mignon et j'ai passé un agréable moment
Un souvenir d enfance . Un des premiers films que j ai pu voir en salle . J étais petit et c était ma première fois au Grand Rex avec la féerie des eaux . L avoir revu forcément donne dans la nostalgie mais le film est bon malgré l animation d époque. Le charme des Disney d avant l ère numérique.