Au cœur des volcans : Requiem pour Katia et Maurice Krafft : Critique presse
Au cœur des volcans : Requiem pour Katia et Maurice Krafft
Note moyenne
4,1
16 titres de presse
Culturopoing.com
Le Point
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Libération
So Film
Cahiers du Cinéma
Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
Transfuge
Critikat.com
Le Monde
Première
aVoir-aLire.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Culturopoing.com
par Pierre-Julien Marest
Voilà donc ce qui relie Maurice, Katia et Werner : un feu intérieur ("The Fire Within" est le titre original du film) qui les pousse à aller filmer, au mépris de tous les dangers. Entre l’art et la vie, ils ont fait leur choix.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Point
par Florence Colombani
Werner Herzog accompagne de sa voix si particulière et d'extraits somptueux de requiems (notamment de Fauré) le destin de ces personnages hors du commun.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Nekourouh
Ce requiem pour les époux volcanologues Krafft est un enchantement ; un enchantement géologique et métaphysique dans lequel Werner Herzog nous fait regarder en face notre propre finitude, notre mort, et nous apprend à nous en émerveiller.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Nicolas Moreno
De grandes images de cinéma qui nous hurlent depuis les tréfonds un funeste “memento mori”. Parvenu jusqu’au spectateur, ce cri peut aussi retentir comme un conseil : rappelle-toi qu’il faut vivre pour rapporter de telles aventures.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
A partir des archives d’un couple de volcanologues alsaciens, le documentariste s’immerge dans d’époustouflantes images d’éruptions montées comme un opéra.
La critique complète est disponible sur le site Libération
So Film
par Emmanuel Burdeau
Superbes images funèbres de lave coulant sans fin ou d’églises ensevelies sous la cendre. Ce beau documentaire est inratable pour une raison plus profonde : il s’agit d’un film qui appartient moins à Herzog qu’aux deux volcanologues alsaciens, morts en 1991 au Japon.
La critique complète est disponible sur le site So Film
Cahiers du Cinéma
par Elie Bartin
Un hommage aux allures d’aveu de rendez-vous manqué avec ceux dont il n’a pas été le collaborateur de leur vivant, regret qui semble être au cœur de ce Requiem qu’il leur consacre.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Herzog élève ce spectacle de feu en vision cosmique, transcendante, propice aux réflexions existentielles, et élève les Krafft en tragiques héros au cœur d’une nature quasi sacrée.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Werner Herzog retrace avec passion le parcours de Katia et Maurice Krafft, célèbres volcanologues qui perdirent la vie au Japon.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Ni biographie ni simple récit documentaire, [ce] film est une ode à l’ardeur et à l’éphémère, une symphonie de feu et de passion.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Mais au-delà de cette beauté terrifiante, Herzog capture aussi et surtout la passion d’un couple fusionnel devenu légendaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Transfuge
par Frédéric Mercier
Si l'œuvre documentaire de Herzog longe l'abyme vers le néant, peut-être n'avait-il jamais réussi à le capturer d'aussi près que dans son dernier film.
Critikat.com
par Camille Bouthors
Au cœur des volcans tourne autour d’une image absente, une sorte de trou d’où le film émerge et où il finit par retourner, aspiré comme par un siphon.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
[...] le duo (surtout Maurice, qui tenait la caméra pendant que Katia photographiait) était un couple de cinéastes, et sa production est comme un film sans début ni fin, fait de plans prodigieux, que chaque imagination peut agencer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thomas Baurez
Revoici les Krafft à la lumière du grand Werner Herzog (Fitzcarraldo) qui y ajoute son œil de cinéaste amoureux de l’extrême. Sous-titré « requiem », ce film est à la fois une ode à la vie (l’irruption) et à la mort (destruction, désolation).
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
De superbes images d’éruption volcanique pour un film qui est tant un hommage touchant à un couple de scientifiques cinéastes qu’un écho à la propre filmographie de Herzog.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
Voilà donc ce qui relie Maurice, Katia et Werner : un feu intérieur ("The Fire Within" est le titre original du film) qui les pousse à aller filmer, au mépris de tous les dangers. Entre l’art et la vie, ils ont fait leur choix.
Le Point
Werner Herzog accompagne de sa voix si particulière et d'extraits somptueux de requiems (notamment de Fauré) le destin de ces personnages hors du commun.
Les Fiches du Cinéma
Ce requiem pour les époux volcanologues Krafft est un enchantement ; un enchantement géologique et métaphysique dans lequel Werner Herzog nous fait regarder en face notre propre finitude, notre mort, et nous apprend à nous en émerveiller.
Les Inrockuptibles
De grandes images de cinéma qui nous hurlent depuis les tréfonds un funeste “memento mori”. Parvenu jusqu’au spectateur, ce cri peut aussi retentir comme un conseil : rappelle-toi qu’il faut vivre pour rapporter de telles aventures.
Libération
A partir des archives d’un couple de volcanologues alsaciens, le documentariste s’immerge dans d’époustouflantes images d’éruptions montées comme un opéra.
So Film
Superbes images funèbres de lave coulant sans fin ou d’églises ensevelies sous la cendre. Ce beau documentaire est inratable pour une raison plus profonde : il s’agit d’un film qui appartient moins à Herzog qu’aux deux volcanologues alsaciens, morts en 1991 au Japon.
Cahiers du Cinéma
Un hommage aux allures d’aveu de rendez-vous manqué avec ceux dont il n’a pas été le collaborateur de leur vivant, regret qui semble être au cœur de ce Requiem qu’il leur consacre.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Herzog élève ce spectacle de feu en vision cosmique, transcendante, propice aux réflexions existentielles, et élève les Krafft en tragiques héros au cœur d’une nature quasi sacrée.
L'Humanité
Werner Herzog retrace avec passion le parcours de Katia et Maurice Krafft, célèbres volcanologues qui perdirent la vie au Japon.
Le Dauphiné Libéré
Ni biographie ni simple récit documentaire, [ce] film est une ode à l’ardeur et à l’éphémère, une symphonie de feu et de passion.
Le Figaro
Mais au-delà de cette beauté terrifiante, Herzog capture aussi et surtout la passion d’un couple fusionnel devenu légendaire.
Transfuge
Si l'œuvre documentaire de Herzog longe l'abyme vers le néant, peut-être n'avait-il jamais réussi à le capturer d'aussi près que dans son dernier film.
Critikat.com
Au cœur des volcans tourne autour d’une image absente, une sorte de trou d’où le film émerge et où il finit par retourner, aspiré comme par un siphon.
Le Monde
[...] le duo (surtout Maurice, qui tenait la caméra pendant que Katia photographiait) était un couple de cinéastes, et sa production est comme un film sans début ni fin, fait de plans prodigieux, que chaque imagination peut agencer.
Première
Revoici les Krafft à la lumière du grand Werner Herzog (Fitzcarraldo) qui y ajoute son œil de cinéaste amoureux de l’extrême. Sous-titré « requiem », ce film est à la fois une ode à la vie (l’irruption) et à la mort (destruction, désolation).
aVoir-aLire.com
De superbes images d’éruption volcanique pour un film qui est tant un hommage touchant à un couple de scientifiques cinéastes qu’un écho à la propre filmographie de Herzog.