Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
Mad Movies
par Cédric Delelée
Un thriller prenant de bout en bout, au propos ouvertement féministe mais largement plus subtil que celui de "The Substance" ou autres "Promising Young Woman".
Télérama
par Caroline Besse
Premier film réalisé par l’actrice Anna Kendrick, ce thriller intelligemment mené, s’inspirant d’une histoire vraie, fait froid dans le dos, autant pour les féminicides de Rodney Alcala que pour la tragique surdité des autorités.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Judith Beauvallet
Anna Kendrick brille devant et derrière la caméra quand elle se met elle-même en scène, et "Une Femme en jeu" vaut le coup pour les séquences qui concernent son personnage. Tout le reste, qui parasite complètement le concept d’un film dont l’émission télévisée devait être le centre, est une perte de temps.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Première
par François Léger
Au prix de quelques excès de zèle et de grosses libertés prises avec la réalité, Kendrick conserve un ton mi-inquiétant, mi-satirique. Et parvient à raconter, à travers le parcours meurtrier d’Alcala, comment chaque homme cache un potentiel monstre ou une ordure misogyne.
La critique complète est disponible sur le site Première
Mad Movies
Un thriller prenant de bout en bout, au propos ouvertement féministe mais largement plus subtil que celui de "The Substance" ou autres "Promising Young Woman".
Télérama
Premier film réalisé par l’actrice Anna Kendrick, ce thriller intelligemment mené, s’inspirant d’une histoire vraie, fait froid dans le dos, autant pour les féminicides de Rodney Alcala que pour la tragique surdité des autorités.
Ecran Large
Anna Kendrick brille devant et derrière la caméra quand elle se met elle-même en scène, et "Une Femme en jeu" vaut le coup pour les séquences qui concernent son personnage. Tout le reste, qui parasite complètement le concept d’un film dont l’émission télévisée devait être le centre, est une perte de temps.
Première
Au prix de quelques excès de zèle et de grosses libertés prises avec la réalité, Kendrick conserve un ton mi-inquiétant, mi-satirique. Et parvient à raconter, à travers le parcours meurtrier d’Alcala, comment chaque homme cache un potentiel monstre ou une ordure misogyne.