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Je trouve les critiques un peu dures.
Perso, j'ai beaucoup aimé ce petit film (je dis "petit" non pas à cause de la qualité mais parce qu'il est court).
L'histoire est simple et basée sur une histoire vraie: Rodney Alcala (parfaitement incarné) a tué une trentaine de femmes avant de se faire arrêter.
On y retrouve l'incompétence policière de l'époque (déjà bien mise en exergue dans la série Monster saison 1), et la misogynie ordinaire que les femmes subissaient au quotidien. À partir de ça, rien d'étonnant au fait que ce monstre ait pu sévir tant de temps !
Ça s'est pour l'histoire.
Pour la réalisation, moi j'ai aimé. C'est sobre et plutôt intense en matière de suspens. Je n'ai pas trouvé ça long, ni chiant. Au contraire. C'est super bien joué, en plus.
Perso, j'ai beaucoup aimé ce petit film (je dis "petit" non pas à cause de la qualité mais parce qu'il est court).
L'histoire est simple et basée sur une histoire vraie: Rodney Alcala (parfaitement incarné) a tué une trentaine de femmes avant de se faire arrêter.
On y retrouve l'incompétence policière de l'époque (déjà bien mise en exergue dans la série Monster saison 1), et la misogynie ordinaire que les femmes subissaient au quotidien. À partir de ça, rien d'étonnant au fait que ce monstre ait pu sévir tant de temps !
Ça s'est pour l'histoire.
Pour la réalisation, moi j'ai aimé. C'est sobre et plutôt intense en matière de suspens. Je n'ai pas trouvé ça long, ni chiant. Au contraire. C'est super bien joué, en plus.
Pour ma part c'est une bonne surprise pour la première réalisation de Anna Kendrick ! Production Netflix donc forcément un peu méfiant en lançant la lecture mais finalement j'ai passé un super moment. Les acteurs sont bons et c'est bien réalisé! Et c'est inspiré d'une histoire vraie. L'acteur qui joue le rôle de Alcala est juste génial dans le film !
FaRem
Pour sa première derrière la caméra, Anna Kendrick met en scène l'intelligent scénario d'Ian McDonald qui revient sur l'histoire du tueur en série Rodney Alcala, qui a opéré en toute impunité pendant une dizaine d'années. Une liberté de mouvement, dont il a bénéficié grâce à l'énorme négligence des autorités. "Woman of the Hour" ne se contente pas de relater les faits comme si on lisait une page Wikipédia, le récit est habilement construit et d'une fluidité agréable que la série de flashbacks ou les changements de point de vue ne viennent pas perturber ou gâcher. Entre le parcours meurtrier de cet homme, les déboires de Sheryl dans un environnement misogyne et Laura qui essaie de se faire entendre, l'histoire couvre beaucoup de choses et en dit long sur cette industrie et sur le mépris des femmes. Anna Kendrick se montre convaincante devant et donc derrière la caméra, car au-delà de l'histoire engageante et glaçante, j'ai trouvé le film bien réalisé et surtout digne. Un respect pour les victimes bien trop rare qui n'empêche pas l'histoire d'être glauque et dérangeante. Comme quoi... Bref, un solide premier film avec notamment un très bon Daniel Zovatto.
Un thriller haletant! Anna Kendrick livre un film bien ficelé et bien réalisé pour son premier film en tant que réalisatrice. J’ai aimé sa construction, alternant les flashbacks. Toute la violence est hors champs, ce qui laisse le spectateur deviner ce qui s’est passé, et ce qui devient encore plus angoissant. Un très bon film à voir !
On a vraiment le sentiment après la projection d'avoir vu un film anecdotique, simplement anecdotique alors que le sujet promettait beaucoup mieux. Alors qu'est-ce qui ne va pas ? Déjà la chronologie éclatée est plutôt mal gérée et puis le choix de Daniel Zovatto pour incarner Rodney Alcala n'est vraiment pas judicieux. Parce que comme charmeur irrésistible on repassera ! Certaines scènes sont ratées comme c
spoiler:
elle du parking, certes la tension existe mais Kendrick qui pendant toute l'émission trouvait Alcala sympathique a soudain une aversion envers lui sans que l'on comprenne vraiment pourquoi. Côté positif on retiendra le jeu des question réponses de ce jeu télévisé (même si tout cela a un côté très artificiel), la dernière séquence est très réussie et imprévisible.
Et puis bien sûr si Anna Kendrick est dans ce film une réalisatrice assez maladroite, en tant qu'actrice elle est tout simplement craquante.
Et puis bien sûr si Anna Kendrick est dans ce film une réalisatrice assez maladroite, en tant qu'actrice elle est tout simplement craquante.
C’est long, mais long… dommage que ce film centré sur les ressentis des personnages féminins alors qu’il en fait le portrait d’un monstre soit raté. L’histoire aurait mérité mieux
J'ai beaucoup aimé ce film !
La réalisation nous emmènes dans plusieurs points de vues, sans jamais rentré en profondeur. C'est à la fois de l'angoisse et du suspens qui nous tiens éveiller. La qualité des images est parfaites et l'atmosphère nous plonges bien dans les années 80. Ce film représente à la fois le schéma pervers d'un tueur en série, mais aussi la place des victimes qui n'ont jamais été écouter. Entre le show où la femme est conditionné d'une manière à satisfaire l'égo hommes, et les nombreuses demandes de témoignages, ce film représente tout aussi bien le schéma que porte la société à la femme.
La réalisation nous emmènes dans plusieurs points de vues, sans jamais rentré en profondeur. C'est à la fois de l'angoisse et du suspens qui nous tiens éveiller. La qualité des images est parfaites et l'atmosphère nous plonges bien dans les années 80. Ce film représente à la fois le schéma pervers d'un tueur en série, mais aussi la place des victimes qui n'ont jamais été écouter. Entre le show où la femme est conditionné d'une manière à satisfaire l'égo hommes, et les nombreuses demandes de témoignages, ce film représente tout aussi bien le schéma que porte la société à la femme.
HMMM... Je trouve que pour un premier film Anna Kendrick à plutot réussi son pari. Malgré tout le film comporte quelques longueurs, la scène du début est assez intéressante, Qu'elle histoire dire que c'est tiré d'une histoire vraie ! Enfin bref ça ne veut plus rien dire maintenant ! L'acteur principal Daniel Zovatto est très convaincant. ☆☆☆~
Très prenant, l'acteur joue vraiment bien le psychopathe et certaines scènes mettent mal à l'aise sans trop en dévoiler ni être gore
Film saisissant autant par l'ambiance, la photographie et le jeu des acteurs. Bref j'ai adoré.
Première réalisation d'Anna Kendrick et c'est un sans faute.
Première réalisation d'Anna Kendrick et c'est un sans faute.
Vers quoi voulait nous emmener ce film ? L’histoire d’une candidate d’un jeu télé ? Un tueur en série ? Les ratés de la police ? Tout est survolé, la bande annonce est trompeuse et je termine le film avec une impression de quelque chose de malsain et de voyeur .
Une surprise agréable sur Netflix malgré un titre français qui sonne téléfilm de l aprem sur TF1.
Les personnages féminins sont touchants et bien joués, bien que le personnage de Laura, fictionnel qui plus est, ne me semblait pas nécessaire et a rallongé ce film inutilement.
Daniel Zovatto incarne un Rodney charismatique et inquiétant qui peut passer d'un homme séducteur, doux à un psychopathe effrayant.
Bref, un bon petit film que je conseille pour passer la soirée.
Les personnages féminins sont touchants et bien joués, bien que le personnage de Laura, fictionnel qui plus est, ne me semblait pas nécessaire et a rallongé ce film inutilement.
Daniel Zovatto incarne un Rodney charismatique et inquiétant qui peut passer d'un homme séducteur, doux à un psychopathe effrayant.
Bref, un bon petit film que je conseille pour passer la soirée.
Film très moyen, inspiré d’une histoire vraie. Le faux rythme, l’absence de suspens, laissent un peu sur notre faim. Dommage, j’ai un sentiment de gâchis.
Ufuk K
"Une femme en jeu" diffusé sur Netflix est un drame criminel honnête dans l'ensemble. Pour sa première réalisation, Anna Kendrick se débrouille bien en s'inspirant de faits réels pour raconter l'incroyable histoire de Sheryl Bradshaw, qui a croisé la route d'un tueur en série Rodney Alcala lors d'une émission de dating en 1978 et qui s'en est sortie d'extrême justesse, même si ce n'est pas le film de l'année, j'ai trouvé que l'ambiance des années 1970 sont bien retranscrite à l'écran, les acteurs sont convaincants, mention spéciale à Daniel Zovatto dans le rôle de Rodney Alcala et l'histoire est bien documentée.
Dans ce long métrage, Anna Kendrick aborde deux sujets en parallèle le parcours d’un tueur en série et la condition féminine à la fin des années 70 du point de vue des femmes et de la société masculine.
La réalisatrice aborde deux sujets complémentaires l’un de l’autre avec un parti pris certain pour le droit des femmes cependant les passerelles entre l’un et l’autre sont floues. On a l’impression qu’elle ne veut pas choisir l’un ou l’autre sujet, et le spectateur peut avoir l’impression de regarder deux film en un.
Malgré cela elle arrive tout de même à son but, même si le parcours criminel d’Alcala aurait put être traité de façon plus fouillé.
Anna Kendrick réalise ici un film avec une grande prise de risque, à l’image et aux décors soignés, d’où la note de 3/5 .
La réalisatrice aborde deux sujets complémentaires l’un de l’autre avec un parti pris certain pour le droit des femmes cependant les passerelles entre l’un et l’autre sont floues. On a l’impression qu’elle ne veut pas choisir l’un ou l’autre sujet, et le spectateur peut avoir l’impression de regarder deux film en un.
Malgré cela elle arrive tout de même à son but, même si le parcours criminel d’Alcala aurait put être traité de façon plus fouillé.
Anna Kendrick réalise ici un film avec une grande prise de risque, à l’image et aux décors soignés, d’où la note de 3/5 .
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