Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Abus de Ciné
par Christophe Brangé
Avec une mise en scène assumée, parsemée de travellings énergiques et d’échelles de plans écrasantes, le métrage s’impose comme l’un des bonnes surprises de ce début d’année, rappelant à tous que la violence n’est pas uniquement celle qui fait gicler le sang…
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Le Parisien
par Catherine Balle
Formidablement joué, le film tient en haleine du début à la fin.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Thibault Lucia
Avec ce premier long métrage, Maxime Caperan décompose le visage de cette fratrie rongée par la culpabilité, en y décelant toute la rivalité et l’amour qui la maintiennent.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Jacqueline Nacache
D’un scénario un peu trop ambitieux, l’excellent casting tire des accents inattendus.
So Film
par Jeanne André
Alors, en sous-main, derrière son programme lorgnant un territoire situé entre Michael Mann et Fabrice Du Welz, le film se révèle bien plus politique et sociétal qu'il n'y paraît.
Cahiers du Cinéma
par Claire Allouche
Le premier long métrage de Maxime Caperan surprend par son habileté à tenir conjointement la ligne du film noir [...] et celle de la chronique fraternelle.
CinemaTeaser
par Rose Piccini
Un petit film noir, sans grande audace, mais dont le fond, très social, et la facture plutôt solide en font une bonne surprise.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Si le scénario manque parfois de souplesse, le geste de la mise en scène de ce premier film séduit. Mouvement brusque, étranglé et claquant révélant un cinéaste à suivre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Loris Hantzis
Malheureusement, le scénario de Maxime Caperan et Thomas Finkielkraut se conforme progressivement à un modèle américain (hélicoptère à l’appui), enchaînant les péripéties sans le budget nécessaire pour les matérialiser pleinement [...] et perd inexorablement la puissance évocatrice de son récit. Rien d’impardonnable pour un premier long-métrage par ailleurs ponctué de belles promesses et d’une photographie magnifique.
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Sur fond d’agitation sociale, la dérive criminelle de deux frères donne lieu à un polar contemporain correctement réalisé mais convenu. Sa surprenante conclusion, en forme de virage scénaristique serré, peine à convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Nice-Matin
par Cédric Coppola
La relation amour / haine entre les deux frangins, interprétés par Kacey Mottet Klein et Félix Maritaud, acteurs charismatiques, est suffisamment bien brossée pour qu’on adhère à leurs déboires. Les voir désemparés dans une petite bourgade sans avenir finit par émouvoir. Il est cependant dommage que le scénario connaisse un ventre mou à mi-parcours.
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
La mise en scène est nerveuse ; l’image, superbe malgré un faux grain numérique ; le récit, sec et classique (vont-ils s’en sortir ? On sait bien que non, ils n’ont même pas anticipé une enquête policière approfondie), tenu jusqu’à ses derniers instants, particulièrement impressionnants. Mais le plus admirable reste l’alchimie ravageuse entre Félix Maritaud et Kacey Mottet-Klein.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Ce premier long métrage entre film noir et drame rural montre de belles promesses dans la mise en scène, travaillée, mais déçoit par son intrigue trop lâche et prévisible enfonçant des portes ouvertes (la violence de notre société néolibérale) sans s’intéresser plus que cela à ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par B. B.
Si la mécanique du scénario fait preuve d’une certaine efficacité, enchevêtrant logiques familiales et sociales, le charme de ce Monde violent, qui se rêve en héritier des films de James Gray sans en avoir toute la puissance, tient beaucoup à ses interprètes principaux. Tous donnent chair de manière convaincante à ces figures d’une France délaissée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Laura Tuillier
Hélas, passé ce beau et sobre début, "Un monde violent" hésite entre deux films qui se neutralisent : d’un côté, la tragédie, ligne claire qui irait du premier au dernier plan vers la chute de deux frères, [...] ; de l’autre, le film policier en prise avec la société française, qui voudrait les inscrire dans un milieu dont il n’a en réalité pas grand-chose à dire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Frédéric Foubert
Les prestations de Kacey Mottet-Klein et Félix Maritaud sont solides, mais on regrette que l’arrière-plan social ne soit brossé qu’à grands traits, et que des personnages secondaires intéressants soient abandonnés en cours de route, donnant à l’ensemble un goût d’inachevé.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
« Un monde violent » constitue une sorte de balade désespérée de deux pieds nickelés, laquelle pourrait avoir de l’intérêt si elle n’était pas truffée de maladresses scénaristiques aussi nombreuses.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Abus de Ciné
Avec une mise en scène assumée, parsemée de travellings énergiques et d’échelles de plans écrasantes, le métrage s’impose comme l’un des bonnes surprises de ce début d’année, rappelant à tous que la violence n’est pas uniquement celle qui fait gicler le sang…
Le Parisien
Formidablement joué, le film tient en haleine du début à la fin.
Les Inrockuptibles
Avec ce premier long métrage, Maxime Caperan décompose le visage de cette fratrie rongée par la culpabilité, en y décelant toute la rivalité et l’amour qui la maintiennent.
Positif
D’un scénario un peu trop ambitieux, l’excellent casting tire des accents inattendus.
So Film
Alors, en sous-main, derrière son programme lorgnant un territoire situé entre Michael Mann et Fabrice Du Welz, le film se révèle bien plus politique et sociétal qu'il n'y paraît.
Cahiers du Cinéma
Le premier long métrage de Maxime Caperan surprend par son habileté à tenir conjointement la ligne du film noir [...] et celle de la chronique fraternelle.
CinemaTeaser
Un petit film noir, sans grande audace, mais dont le fond, très social, et la facture plutôt solide en font une bonne surprise.
L'Obs
Si le scénario manque parfois de souplesse, le geste de la mise en scène de ce premier film séduit. Mouvement brusque, étranglé et claquant révélant un cinéaste à suivre.
La Septième Obsession
Malheureusement, le scénario de Maxime Caperan et Thomas Finkielkraut se conforme progressivement à un modèle américain (hélicoptère à l’appui), enchaînant les péripéties sans le budget nécessaire pour les matérialiser pleinement [...] et perd inexorablement la puissance évocatrice de son récit. Rien d’impardonnable pour un premier long-métrage par ailleurs ponctué de belles promesses et d’une photographie magnifique.
Les Fiches du Cinéma
Sur fond d’agitation sociale, la dérive criminelle de deux frères donne lieu à un polar contemporain correctement réalisé mais convenu. Sa surprenante conclusion, en forme de virage scénaristique serré, peine à convaincre.
Nice-Matin
La relation amour / haine entre les deux frangins, interprétés par Kacey Mottet Klein et Félix Maritaud, acteurs charismatiques, est suffisamment bien brossée pour qu’on adhère à leurs déboires. Les voir désemparés dans une petite bourgade sans avenir finit par émouvoir. Il est cependant dommage que le scénario connaisse un ventre mou à mi-parcours.
Télérama
La mise en scène est nerveuse ; l’image, superbe malgré un faux grain numérique ; le récit, sec et classique (vont-ils s’en sortir ? On sait bien que non, ils n’ont même pas anticipé une enquête policière approfondie), tenu jusqu’à ses derniers instants, particulièrement impressionnants. Mais le plus admirable reste l’alchimie ravageuse entre Félix Maritaud et Kacey Mottet-Klein.
Le Journal du Dimanche
Ce premier long métrage entre film noir et drame rural montre de belles promesses dans la mise en scène, travaillée, mais déçoit par son intrigue trop lâche et prévisible enfonçant des portes ouvertes (la violence de notre société néolibérale) sans s’intéresser plus que cela à ses personnages.
Le Monde
Si la mécanique du scénario fait preuve d’une certaine efficacité, enchevêtrant logiques familiales et sociales, le charme de ce Monde violent, qui se rêve en héritier des films de James Gray sans en avoir toute la puissance, tient beaucoup à ses interprètes principaux. Tous donnent chair de manière convaincante à ces figures d’une France délaissée.
Libération
Hélas, passé ce beau et sobre début, "Un monde violent" hésite entre deux films qui se neutralisent : d’un côté, la tragédie, ligne claire qui irait du premier au dernier plan vers la chute de deux frères, [...] ; de l’autre, le film policier en prise avec la société française, qui voudrait les inscrire dans un milieu dont il n’a en réalité pas grand-chose à dire.
Première
Les prestations de Kacey Mottet-Klein et Félix Maritaud sont solides, mais on regrette que l’arrière-plan social ne soit brossé qu’à grands traits, et que des personnages secondaires intéressants soient abandonnés en cours de route, donnant à l’ensemble un goût d’inachevé.
aVoir-aLire.com
« Un monde violent » constitue une sorte de balade désespérée de deux pieds nickelés, laquelle pourrait avoir de l’intérêt si elle n’était pas truffée de maladresses scénaristiques aussi nombreuses.