Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
L’impressionnant Lads de Julien Menanteau est un film passionnant sur le monde des courses hippiques et de l’entraînement draconiens qu’il faut subir pour espérer pour y participer comme jockey.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Closer
par J.B.
Héros de ce drame mené à bride abattue, Marco Luraschi, fils du célèbre dresseur équestre du cinéma français, jusque là cantonné aux doublures de François Civil ou Guillaume Canet, révèle d'incroyables talents d'acteur.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Ce premier film trépidant de Julien Menanteau est une immersion dans le milieu des courses hippiques. Le jeune Marco Luraschi en est la révélation prometteuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
« Lads » est le portrait sensible d’un gamin rebelle et déterminé en même temps qu’une plongée violente et passionnante dans le monde des chevaux. Le film vaut par son réalisme, sa justesse et l’interprétation formidable de tous les comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un premier film prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Positif
par Yann Tobin
Remarquablement écrit et interprété, "Lads" conjugue les atouts traditionnels de la bonne fiction sportive, [...] et une réalisation solidement maîtrisée.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Dans un premier film prometteur, Julien Menanteau donne la voix à un comédien éblouissant, Marco Luraschi, qui a la trempe d’un Patrick Dewaere ou d’un Gérard Depardieu à leurs débuts.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Alex Masson
Lads révèle un acteur et un réalisateur d'envergure.
Le Monde
par M. Dl.
Le travail sur les genres, l’attrait du fantastique, la capacité à saisir l’instant présent, la confiance portée au charisme de son interprète principal, la façon dont l’image, sur lui, recharge ses batteries… Tout cela dévoile un désir de parcourir des territoires peu explorés du cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Au-delà d'une intrigue classique et des images spectaculaires au plus près des pur-sang, Lads a tout du récit initiatique, dominé par le jeu intense de Marco Luraschi, un enfant de la balle qui porte haut le nom de son père, le célèbre cascadeur Mario Luraschi.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Thierry Chèze
Venu du documentaire, Menanteau porte un regard précisément extrêmement documenté sur ce monde méconnu mais révèle aussi ici un vrai sens de la fiction, un goût pour le romanesque.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Malgré de belles qualités (le jeu fiévreux de Marco Luraschi en tête), on reste un peu sur notre faim.
Télérama
par Frédéric Strauss
Dans ce milieu étrange qu’il connaît pour y avoir grandi, le réalisateur trouve matière à un film intense.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Si Lads ne manque pas d’allure dans les scènes de courses, portées par une caméra nerveuse, il trébuche sur ses ambitions. Le scénario, signé Julian Menanteau et Nour Ben Salem, court et se disperse sur plusieurs pistes.
La Croix
par La Rédaction
L’absence de tension dramatique et une mise en scène sans relief nous empêchent toutefois d’adhérer complètement à l’histoire et à son personnage dont on ne parvient à ressentir ni la passion ni les émotions.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Ce sont les chevaux qui provoquent divinement les émotions. Car les acteurs humains, desservis par la mise en scène, sont à la traîne. Sauf Jeanne Balibar, qui sait si bien nuancer son jeu.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Nice-Matin
par Cédric Coppola
La qualité de filmage des courses et la qualité d’interprétation — aux côtés de la révélation Marco Luraschi, on retrouve Jeanne Balibar et le trop rare Marc Barbé, en tenants d’écurie -, compensent l’approche scolaire en opposition avec le caractère frondeur d’Ethan, jeune prodige plus sentimental qu’il ne voudrait le faire croire.
L'Obs
par Guillaume Loison
Hélas, l’expérience du réalisateur, ex-cavalier de métier, ne compense en rien son déficit d’inspiration ni ses gros sabots pédagogiques.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
20 Minutes
L’impressionnant Lads de Julien Menanteau est un film passionnant sur le monde des courses hippiques et de l’entraînement draconiens qu’il faut subir pour espérer pour y participer comme jockey.
Closer
Héros de ce drame mené à bride abattue, Marco Luraschi, fils du célèbre dresseur équestre du cinéma français, jusque là cantonné aux doublures de François Civil ou Guillaume Canet, révèle d'incroyables talents d'acteur.
Le Figaro
Ce premier film trépidant de Julien Menanteau est une immersion dans le milieu des courses hippiques. Le jeune Marco Luraschi en est la révélation prometteuse.
Le Parisien
« Lads » est le portrait sensible d’un gamin rebelle et déterminé en même temps qu’une plongée violente et passionnante dans le monde des chevaux. Le film vaut par son réalisme, sa justesse et l’interprétation formidable de tous les comédiens.
Les Echos
Un premier film prometteur.
Positif
Remarquablement écrit et interprété, "Lads" conjugue les atouts traditionnels de la bonne fiction sportive, [...] et une réalisation solidement maîtrisée.
aVoir-aLire.com
Dans un premier film prometteur, Julien Menanteau donne la voix à un comédien éblouissant, Marco Luraschi, qui a la trempe d’un Patrick Dewaere ou d’un Gérard Depardieu à leurs débuts.
CinemaTeaser
Lads révèle un acteur et un réalisateur d'envergure.
Le Monde
Le travail sur les genres, l’attrait du fantastique, la capacité à saisir l’instant présent, la confiance portée au charisme de son interprète principal, la façon dont l’image, sur lui, recharge ses batteries… Tout cela dévoile un désir de parcourir des territoires peu explorés du cinéma français.
Le Point
Au-delà d'une intrigue classique et des images spectaculaires au plus près des pur-sang, Lads a tout du récit initiatique, dominé par le jeu intense de Marco Luraschi, un enfant de la balle qui porte haut le nom de son père, le célèbre cascadeur Mario Luraschi.
Première
Venu du documentaire, Menanteau porte un regard précisément extrêmement documenté sur ce monde méconnu mais révèle aussi ici un vrai sens de la fiction, un goût pour le romanesque.
Télé 7 Jours
Malgré de belles qualités (le jeu fiévreux de Marco Luraschi en tête), on reste un peu sur notre faim.
Télérama
Dans ce milieu étrange qu’il connaît pour y avoir grandi, le réalisateur trouve matière à un film intense.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Si Lads ne manque pas d’allure dans les scènes de courses, portées par une caméra nerveuse, il trébuche sur ses ambitions. Le scénario, signé Julian Menanteau et Nour Ben Salem, court et se disperse sur plusieurs pistes.
La Croix
L’absence de tension dramatique et une mise en scène sans relief nous empêchent toutefois d’adhérer complètement à l’histoire et à son personnage dont on ne parvient à ressentir ni la passion ni les émotions.
Les Fiches du Cinéma
Ce sont les chevaux qui provoquent divinement les émotions. Car les acteurs humains, desservis par la mise en scène, sont à la traîne. Sauf Jeanne Balibar, qui sait si bien nuancer son jeu.
Nice-Matin
La qualité de filmage des courses et la qualité d’interprétation — aux côtés de la révélation Marco Luraschi, on retrouve Jeanne Balibar et le trop rare Marc Barbé, en tenants d’écurie -, compensent l’approche scolaire en opposition avec le caractère frondeur d’Ethan, jeune prodige plus sentimental qu’il ne voudrait le faire croire.
L'Obs
Hélas, l’expérience du réalisateur, ex-cavalier de métier, ne compense en rien son déficit d’inspiration ni ses gros sabots pédagogiques.