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elisa2102
127 abonnés
1 484 critiques
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5,0
Publiée le 4 juillet 2010
Wouah.. Pacino m'a donné une grande claque en interprétant le rôle de cet homme aveugle en quête d'une raison de vivre dans ce film injustement méconnu. Son oscar, il l'a bien mérité. Le film dure 2H30, et a la fin je me suis juste dit "oh non, c'est déjà fini ?!" moi qui n'aime pas les longs films à cause des temps morts.. Eh bien là il n'y a quasiment pas de temps mort, toutes les scènes ont leur importance et ce chef d'oeuvre fait preuve d'une grande morale, d'une intelligence et d'une cascade d'émotion rarement développées au cinéma. Il ira tout droit dans mes favoris. Regardez le, vous ne le regretterez pas, et peut-être même, vous verrez la vie autrement..
Mais ce film n'est pas un film ! C'est une machine à citations cultes, une machine à sentiments, une machine à tirer des larmes en quantités industrielles, une machine à Oscars, une machine à casser la baraque du box office, une machine à transformer les minutes en heures aussi, une machine à pognon évidement, une machine vraiment trop bien huilée pour être trop bien.
un grand film ! un grand voyage initiatique, la quette de la rédemption une réflexion sur certaine grandes valeurs universelles, du rire des larmes du tango et un putain de duo d'acteurs! ouha!
Martin Brest orchestre en 1992 "Le temps d'un week end" nommé aux oscars. Al Pacino recevra celui du meilleur acteur. Ce film est le remake de "Parfum de femme" de Dino Risi ("La marche sur Rome, "Le bon roi Dagobert", ...). Le scénario, un étudiant s'occupant d'un aveugle, est plutôt astucieux pour permettre à Martin d'en capter toute l'énergie, tant le film est d'un rythme lent. Martin Brest s'investit dans cette tâche et réussit brillament grâce, et surtout par un Al Pacino en pleine forme, charismatique à souhait, pointu, montrant toute sa palette d'acteur (sans Pacino, il n'y a pas de "week end"). Al Pacino nous démontre de par cette virée qu'il est un grand monstre sacré du septième art, un incontournable du cinéma comme le montre sa filmographie : "Le parrain" (saga), "Révélations", "Heat", "Scarface", "Insomnia", ... . Spectateurs avisés, ne manquez pas ce super moment du cinéma avec l'immense acteur Al Pacino. Avis à ses fans ! PS : on découvre un jeune talent d'à peine 22 ans dans ce film qui va lui apporter son heure de gloire. Il s'agit de Chris O'Donell ("Batman forever", "Vertical limit").
Charles, un étudiant aspirant à entrer à Harvard, accepte un petit boulot comme garde pour personne handicapée. Il est chargé de s'occuper du retraité colonel Slade, devenu aveugle, mais qui est surtout un homme irascible et associable. Pourtant, Charles découvre vite que Slade est un véritable homme à femmes qui les choisit à l'odorat mais qu'il cache surtout une terrible souffrance. De tres bon dialogue, une belle histoire, tres bien joué
Les reprises américaines sont rarement des réussites, ici l'histoire est massacré, le jeune acteur bidon et Pacino cabotine plus qu'autre chose mais sauve un peu le film.
Un bon film avec un Al Pacino brillant, comme d'habitude j'ai envie de dire. Ce que j'ai surtout aimé, c'est que le film dure 2h30, et pourtant, ça passe quand même assez vite, signe qu'on ne s'ennuie pas.
Un très beau film poignant, profondemment humain dans lequel Al Pacino tient l'un des meilleurs rôles de sa carrière. Tout en délicatesse et en hommage aux femmes, le film aborde aussi la mort et l'envie de vivre avec une grande justesse de ton.
Voilà une histoire que j'ai trouvée sans surprise, émouvante et sympathique, avec quelques belles tirades ici et là et de bons sentiments. Je ne veux pas cracher dans la soupe, car le thème est intéressant, et si le "colonel" avait été un petit peu plus étoffé dans la présentation de son caractère, on aurait frisé le chef-d'oeuvre. Une bonne histoire à regarder, mais pas le chef-d'oeuvre que les oscars et autres étoiles semblaient présager.
Même si la performance d'Al Pacino est loin d'être parfaite — il en fait parfois un peu trop bien que son personnage y soit pour beaucoup —, force est de constater que sans lui, Scent of a Woman aurait été un flop complet car, en effet, le scénario ne parvient jamais à susciter un réel intérêt et les quelques rares scènes de qualité sont noyées dans un ensemble indigeste de 2h30 où les dialogues, souvent à rallonges, et le manque de rythme sont aussi assommants que la réalisation totalement linéaire à base de champ-contrechamp. De plus, le film joue beaucoup sur le mélodramatisme ce qui finit par agacer et se révéler contre-productif par rapport à la sincérité qu'il cherche à dégager, en témoigne le dénouement en happy ending, cul-cul au possible.
Enfin, un des plus grands acteurs de ce monde est arrivé à la consécration, il a fallu attendre longtemps, mais l'Oscar est bien présent, et bien mérité. Un aveugle au comportement stricte et militaire, joué à la perfection (même si ce mot n'est pas assez fort) par ce Dieu du cinéma. Un homme à bout de souffle, à bout de nerfs, qui a perdu l'envie de vivre (ou plutôt survivre dans son cas) va faire rentrer dans sa vie à son insu, un vent de fraîcheur (en la personne de Chris O'Donnell). La vision du respect dans un sens, de la jeunesse dans l'autre, vont se confronter pour lier une amitié hors du commun en s'entraidant. Une immense œuvre à voir, en particulier pour cette performance d'acteur, mais aussi pour le message du film qui est fort émouvant. Simplement splendide, préparez le tord-boyaux, il va pleuvoir comme au Sahara si Jackie Daniel's n'est pas présent... Coup de cœur pour ce magnifique speech final qui recadre bien les choses.
Un film qui repose surtout sur la prestation incroyable d’Al Pacino, peut-être même sa meilleure. Il y incarne un vétéran de guerre qui a perdu la vue et par conséquent goût à la vie. C’est alors qu’il va rencontrer un jeune étudiant, qui décroche un job, pour s’occuper de cet ancien soldat le temps d’un week end. Le personnage d’Al Pacino est relativement détestable au début puis, à l’image de cet étudiant, il devient peu à peu sympathique. Tout est bon pendant près de deux heures où humour et émotion s’entremêlent parfaitement, dommage que la fin soit quelque peu décevante, à mon goût du moins, bien que la réflexion ne soit pas inintéressante.
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1,0
Publiée le 3 juillet 2021
J'adore Al Pacino et il méritait l'Oscar pour ses performances dans Serpico, Le Parrain II et Un après-midi de chien. Quel dommage que le film pour lequel il l'ai finalement gagné soit si mal écrit et que son personnage soit si monocorde. Il est en colère parce qu'il est aveugle il est violent parce qu'il est aveugle et il jure parce qu'il est aveugle heureusement les vrais aveugles que j'ai connu dans ma vie n'étaient pas comme ca. Chris O'Donnell est mignon comme un cœur mais ne sait pas ce qui le motive dans ce rôle et dans cette histoire. Les seconds rôles sont amateurs et sans direction et c'est l'un des films les plus prétentieux que j'aie jamais vus...