100 000 000 000 000 - cent mille milliards
Note moyenne
3,8
14 titres de presse
  • Les Inrockuptibles
  • Cahiers du Cinéma
  • L'Obs
  • La Septième Obsession
  • Le Monde
  • Libération
  • Positif
  • Transfuge
  • Télérama
  • aVoir-aLire.com
  • Critikat.com
  • Les Fiches du Cinéma
  • Première
  • Télé Loisirs

Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

14 critiques presse

Les Inrockuptibles

par Ludovic Béot

En filmant ses personnages largués dans une principauté déserte pendant les fêtes de Noël, le réalisateur de “Sophia Antipolis” réussit un scanner politique puissant de l’époque.

La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

Cahiers du Cinéma

par Vincent Malausa

De merveilleux, il est bien question dans ce film qui s’ouvre comme un conte […], mais d’un merveilleux en creux que Vernier jette ironiquement à la face de ses personnages, trio d’orphelins désenchantés. 

L'Obs

par Guillaume Loison

Cela n’empêche pas l’errance du jeune homme de se réchauffer au contact d’une richissime fillette de 12 ans, que les circonstances du réveillon rendent ponctuellement orpheline. Leur complicité muette irrigue le film d’un fluide étrange et fascinant, entre pure féerie et bromance furtive.

La critique complète est disponible sur le site L'Obs

La Septième Obsession

par Jérôme D’Estais

Ce conte de Noël à la fois moderne et dystopique, plein de réminiscences secrètes et de promesses à venir, est sans conteste le plus beau joyau de l’œuvre déjà étincelante de son créateur.

Le Monde

par Cl. F.

Plutôt que de filmer la Principauté comme une caricature, le cinéaste encapsule Monaco sous le filtre du conte et du grain 16 millimètres. Sous le jeu des lumières, les palmiers s’électrisent de reflets bleus. Afine trouve son île, un cocon d’eau douce, un semblant de famille. Cent mille milliards travaille la solitude et son alter ego, telle Julia, dans sa robe bleu nuit, se dédoublant dans le miroir de sa chambre.

La critique complète est disponible sur le site Le Monde

Libération

par Elisabeth Franck-Dumas

L’on retrouve dans ce troisième long métrage de fiction du cinéaste sa conscience aiguë des lieux ultracontemporains, leur architecture et vibration particulières, porteuse d’espoirs d’avenir grandiloquents, ceux du capitalisme triomphant, qu’on sait désormais caduques.

La critique complète est disponible sur le site Libération

Positif

par William Le Personnic

Vernier, cinéaste singulier, parvient à figurer ce qui gronde et à donner une charge presque tangible à la violence souterraine, sur le point de faire surface.

Transfuge

par Corentin Destefanis Dupin

"Cent mille milliards" s'apparente alors à une version eschatologique des "Mille et une nuits", dans laquelle le prisme de la catastrophe apparaît comme le dernier remède au mal du siècle.

Télérama

par Augustin Pietron-Locatelli

Le réalisateur de Mercuriales et de Sophia Antipolis scrute avec douceur l’errance de ce jeune homme placide au milieu d’une galerie de personnages incongrus, s’attardant largement sur les décorations de Noël, travaux et grues dévorant la principauté : le spleen urbain comme seule échappatoire ?

La critique complète est disponible sur le site Télérama

aVoir-aLire.com

par Laurent Cambon

Cette fable sur une jeunesse désabusée qui se rêve riche raconte un état mélancolique du monde contemporain. Une œuvre de cinéma envoûtante.

La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

Critikat.com

par Robin Vaz

Grâce à cet imaginaire hybride, le territoire monégasque s’appréhende dans toute son étrangeté, loin des représentations dominantes qui verrouilleraient la perception en lui accolant un discours économico-social préfabriqué.

La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

Les Fiches du Cinéma

par Clément Deleschaud

C’est sur les ruines du capitalisme effréné que "100 000 000 000 000" s’élève. Si Vernier a toujours un talent inouï pour saturer l’espace urbain le plus prosaïque de signaux mystiques, son conte (post-) moderne peine à dépasser sa belle note d’intention.

La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

Première

par Damien Leblanc

Nimbé d’une lumière apaisante, ce film doux-amer émeut ainsi avec sa galerie d’enfants perdus condamnés à errer dans des décors à la froideur d’autant plus cruelle qu’elle se pare d’atours faussement paradisiaques.

La critique complète est disponible sur le site Première

Télé Loisirs

par Sébastien Ors

Cinéaste atypique aux films discrets, Virgil Vernier poursuit son œuvre mêlant errance et ellipses avec ce film ancré dans une Côte-d'Azur dépouillée de ses clichés touristiques.

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