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    La vie est un long fleuve tranquille
    Note moyenne
    3,8
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    302 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 décembre 2013
    film culte, répliques et personnages haut en couleurs, une perle !!!
    pedrolinopp
    pedrolinopp

    7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 novembre 2013
    Super un vrai moment de bonheur. Un bon scénario avec de bons acteurs sur une belle musique. c'est fou comme c'est bien joué, les groseilles roi des beaufs et les lequenoy famille tradi par excellence . Ce mélange des genres est bien réussi même si on ne sait pas comment ça se fini.
    Louis Morel
    Louis Morel

    37 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 octobre 2013
    Sous son titre léger et utopique, le film de Chatiliez cache une vraie réflexion sur l'identité et la famille, le tout sur fond d'une comédie drôle et tendre.
    maximemaxf
    maximemaxf

    327 abonnés 260 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 septembre 2013
    Quand on m'a parlé et conseillé la comédie "La vie est un long fleuve tranquille", et que j'ais lu le synopsis, je m'attendais à quelque chose de vraiment amusant... et mon dieu, je sais pas pourquoi, peut être que ce film a très mal vieilli, peut être que c'est pas mon genre d'humour mais très franchement : j'ais pas du tout accroché et j'ais pas ris une seule fois sauf pour la chanson qui est resté dans ma tête et que j'avais bien aimé puisque c'était le seul moment drôle du film, et je vais être honnête, je n'ais pas été au bout tellement cela me paraissait ennuyeux et dénué d'humour.
    Alors j'ais rien à redire contre les comédiens pour leur jeu d'acteur, mais les dialogues sont longues, lassantes et l'idée de vouloir montrer les contrastes avec la vie des deux enfants une fois qu'ils ont regagné leurs familles (l'un issue en réalité de la famille placé dans une famille de pauvre et vice versa) n'était pas mauvaise mais le film a un rythme tellement lent qu'on n'accroche jamais vraiment à l'histoire.
    Bref, un film avec un bon concept mais pas suffisamment bien exploité et qui fait que le film sera retenu que de nom, en tout cas pour moi ce sera le cas.
    Hotinhere
    Hotinhere

    436 abonnés 4 775 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 janvier 2021
    Pour son premier film, Etienne Chatillez réalise une comédie caustique hilarante avec cette sublime histoire de rencontre improbable entre deux familles, les tradi catho Le Quesnoy et les beaufs Groseille, qui recèle de répliques cultes et de personnages inoubliables interprétés par un casting génial.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 17 juin 2013
    Un film qui détend certes mais qui demeure bien léger. On plonge malgré tout dans cette rivière de la vie et on termine sa journée tout décontracté.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 20 mai 2013
    Je l'ai vu à la tv today. Bon, j'ai pas vraiment accroché. Dès le début on comprend pas trop c'qui se passe, et certaines scènes restent inutiles ou laissent à désirer. Mais bon des moments plutôt drôles quelque fois.
    caro18
    caro18

    143 abonnés 2 213 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 mai 2013
    Deux familles opposées et caricaturales dans un film absurde.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 17 mai 2013
    Comédie culte, chanson culte : Jésus revient ! , pour ceux qui ne l'on pas encore vu méfiez vous il a vielli, de plus beaucoup de films ont repris l'idée de placer un enfant pauvre dans une famille de riche et croyante en le transposant en mettant par exemple un noir pauvre au service d'un riche tétraplégique...
    Le film reste très drôle, toctoc et toute sa bande de débiles font mouche. La mère de la famille riche est vraiment bien faite, et le prêtre est à mourir de rire. Dommage qu'il soit un peu trop démodé.
    Julie M.
    Julie M.

    29 abonnés 157 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 mai 2013
    Absolument génial. Ce film ne vieillit pas et on rit toujours autant.
    Scénario et dialogues au troisième degré.
    Acteurs au top.
    Rien à dire, à part qu'il faut le voir !
    SATSANGA
    SATSANGA

    5 abonnés 227 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 avril 2013
    Une splendide comédie signée Etienne Chatiliez sur fond de choc des milieux sociaux et d'inversion de bébés . Les interprètes s'en donnent à cœur joie et l'humour est au rendez-vous du début à la fin . Mention spéciale pour Patrick Bouchitey, énormissime en curé musicien . Un film à mourir de rire !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 mars 2013
    Un film démontrant la vraie société de personnes très enfoirés où d'autres personnes peuvent en tirer profit, profitant du système et aussi bien à l'inversement.
    Roub E.
    Roub E.

    760 abonnés 4 840 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 mars 2013
    Une comédie sensationnelle !!! La rencontre des Groseille et des Lequesnoy fait des étincelles. J'ai rit du début à la fin avec en prime des scènes devenues cultes comme le "ha la salooope" lancé par Daniel Gélin, ou le Jésus revient chanté par Patrick Bouchitey dont je ne me lasse pas. Un humour acerbe que j'adore, bref une comédie culte.
    Aurélien Vaillant
    Aurélien Vaillant

    13 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 juillet 2013
    Comédie sociale culte des années 80, « la vie est un long fleuve tranquille » confronte joyeusement les clichés inhérents aux classes bourgeoises et défavorisées du nord de la France. En prenant le contre-pied systématique du politiquement correct (le trait est volontairement forcé et l’intrigue, minimaliste, ne s’embarrasse pas de développements), Chatiliez semble railler les théories les plus caricaturales de l’hygiénisme social ; pour se moquer à la fois du pauvre (forcément douteux), mais surtout du nanti, qui craint sa « contagion » mais l’envie au fond pour sa vitalité.

    Le film de Chatiliez confronte deux familles à l’opposé de l’échelle sociale, présentées chacune comme une parfaite représentante de ses valeurs de classe, donc forcément antinomiques.
    les Le Quesnoy, bourgeois aseptisés, casaniers et bien-pensant, mènent une existence rangée et pieuse, conforme en tout point à l’idéal de la famille chrétienne aisée. Les Groseille, quant à eux, sont des prolos aux mœurs plus que discutables, vivant d’expédients et de combines. Affichant sans complexes leur mépris des lois sociales aussi bien qu’une absence totale de retenue de leurs pulsions, ces derniers paraissent représenter aux yeux des bourgeois l’archétype de la famille de cas sociaux « nuisibles ». De même que les Le Quesnois semblent incarner pour les Groseille le cliché des versaillais coincés, ennemis de classe de par leur affiliation avec l’EDF.
    Tout l’intérêt de cette confrontation tient dans le fait que le réalisateur n’a pas souhaité se limiter, pour sa satire, à un seul angle d’approche : Les pauvres sont bien ici tels que les riches les fantasment et inversement. On assiste à la mise en relation de deux clichés totalement contradictoires, normalement antithétiques, qui aboutit à une improbable (et jouissive) cohabitation.
    Leur seul point commun : un taux de fécondité au dessus de la moyenne, bien que pour des motifs manifestement opposés (idéal chrétien pour les uns, tendance à la copulation pour les autres). C’est par là que leurs destins vont être amenés à se rejoindre, dans le cadre d’un échange imprévu de leur progéniture… Qui va avoir des conséquences calamiteuses pour les Le Quesnois.

    On retrouve dans ce film, et c’est ce qui fait sa force comique, une mise en acte de la crainte de la contagion des classes sociales favorisées par l’immoralité supposée des pauvres.
    Maurice, le petit bourgeois élevé chez les « cas-soc’ », va se révéler, plutôt malgré lui d’ailleurs, le ver dans le fruit qui va amener à l’explosion du foyer, jusqu’ici « harmonieux, » des Le Quesnois. Des éléments de « corruption »* vont ainsi apparaître, progressivement au départ, dans leur quotidien douillet et bien réglé : malversations financières pour étouffer le scandale, mensonges auprès de leurs enfants sur l’origine de Maurice, érotisation de sa mère naturelle par celui-ci… Cette « décadence » va subitement s’accélérer vers le milieu du film avec la fréquentation des enfants Groseille par les rejetons Le Quesnois : « Malsaine » influence qui va précipiter la plupart d’entre eux sur la « pente du vice » (toxicomanie, délinquance, sexualité exacerbée…), c’est à dire à un rejet complet des sacro-saintes valeurs parentales. S’insinuent même des éléments quasi surnaturels, comme la grossesse inexpliquée de la bonne peu après l’arrivée de Maurice… Les parents se trouvant finalement affecté à leur tour par ce « mal » insidieux (la mère délaisse ses devoirs de maîtresse de maison et le père se découvre subitement une libido), l’édifice de l’idéal familial bourgeois va sembler vaciller sur ses fondations, à deux doigts de l’effondrement.

    A la fin du film, la seule solution encore envisageable pour les Le Quesnois semble être l’exil (provisoire) à l’occasion des traditionnelles vacances au Touquet, pour s’isoler de la source « corruptrice ». Maurice les accompagnant, on peut s’interroger sur les probabilités de réussite de l’entreprise.

    Le contact avec les marginaux révèle ainsi la véritable « éthique » des bourgeois dans leurs rapports aux classes populaires, bien éloignée de l’hypocrite charité chrétienne affichée.
    Le plus amusant c’est, qu’à l’inverse, les Groseilles restent inchangés tout au long de la confrontation : « affreux, sales et méchants » (comme dans le film d’Ettore Scola), résolument imperméables à l’influence « civilisatrice » de la famille bourgeoise, mais au final bien plus drôles et épanouis. De leurs rapports avec les Le Quesnois ils ne retiennent que l’aspect financier, et l’argent fourni par ces derniers ne modifie en rien leur façon d’agir ou de penser. Tout au plus deviennent-ils plus « bling-bling »…

    Pour terminer, il est intéressant d’observer les positionnements des différents protagonistes face à cette dualité manichéenne. Globalement, la plupart des personnages adoptent un positionnement assez unilatéral, très peu transversal, vis a vis de l’identité de classe et des valeurs qui y sont associées. les Groseilles restent « Groseilles », les Le Quesnois « deviennent » pour la plupart des avatars des Groseilles ou demeurent « Le Quesnois » (comme le benjamin) : Ils sont dans une logique « soit l’un, soit l’autre ».
    Le petit Maurice est le seul à s’inscrire dans une double appartenance, jonglant entre les milieux en fonction de ses besoins, de ce qui l’arrange. Il paraît être le plus à même de s’en sortir dans le futur, et en même temps paraît condamné à la solitude, car incapable de partager sa vision avec qui que ce soit dans son entourage (sauf, peut-être, Ahmed qui partage avec lui une forme de double identité culturelle). Bernadette est plus à plaindre encore, du fait qu’elle se situe, à l’opposé de Maurice, dans un rapport de double aliénation. Elle n’est plus « Le Quesnois » (elle n’a plus confiance) sans être devenue « Groseille » (elle les déteste). C’est elle la « vraie » marginale du film. Son seul espoir réside dans l’oubli et un retour à l’état de « Le Quesnois », sans tirer aucun bénéfice de son expérience, tant son rejet est massif.
    Enfin, reste Josette l’infirmière, qui joua le rôle de « Deus ex Machina » en intervertissant les nourrissons pour se venger de son amant. En ruinant la réputation de celui-ci, elle peut enfin obtenir quelque chose pour elle, ce qui lui était refusé jusqu’ici. Certes, elle n’obtient pas la promotion sociale si longtemps espérée (le remariage sans cesse repoussé n’est jamais venu), mais elle récupère l’amant tyrannique, désormais vaincu et humilié, rien que pour elle. Sans risque de se faire de nouveau dominer par lui. De par cet acte, libérateur et véritablement rebelle, on peut penser qu’elle seule tire vraiment son épingle du jeu dans cette forme de luttes de classes.

    *Au regard de la morale bourgeoise
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 février 2013
    Ah, cette comédie culte qu'est La vie est un long fleuve tranquille, qui nous montre un choc des cultures : la rencontre entre le milieu aisé et modeste. Je pense que la musique "Jésus reviens" est devenue culte grâce à ce film ! À voir !
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