Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
CinemaTeaser
par Renan Cros
Monia Chokri regarde l’amour en face - de ses grands moments qui filent des papillons à toute la violence, le chagrin, le mal que ça peut faire. On n’avait jamais vu cette histoire-là, aussi bien racontée.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
D’une très grande drôlerie, Simple comme Sylvain renferme toutefois une musique plus amère mais aussi plus profonde et mélancolique sur les amours passées et les fantômes d’une vie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
Avec son troisième long métrage, Monia Chokri signe un grand film sur la crise de la quarantaine : une "rom-com" endiablée, un conte moral et un mélo déchirant.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Œuvre complète et cohérente, Simple comme Sylvain séduit par son insolente audace (l’échange hilarant autour des dictateurs « préférés), sa maîtrise décomplexée, sa capacité à mêler candeur et sophistication, émerveillement et gravité.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Après le caustique La Femme de mon frère (2019), l’irrésistible Monia Chokri revient avec un long-métrage à l’humour encore plus décapant : une comédie du couple, sur fond de conflit de classes.
Ecran Large
par Adrien Roche
Avec "Simple comme Sylvain", Monia Chokri signe l’un des films les plus drôles de l’année à travers le touchant portrait d’une femme en manque d’amour et de désir, dont la relation naissante est mise à mal par une société attachée aux apparences.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Cette comédie tendre est un pur plaisir.
L'Humanité
par Samuel Gleyze-Esteban
Le troisième long métrage de Monia Chokri dépeint un amour par-delà le fossé social dans une comédie romantique drôle et plus énervée qu’il n’y paraît.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
A la fois subtil (dans son écriture) et outré (dans le jeu des acteurs qui parlent volontiers les uns sur les autres).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Une irrésistible pépite drôle et profonde.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
La réalisatrice québécoise démonte de manière cinglante les clichés et les préjugés, et personne n’est épargné par ce petit jeu de massacre social impitoyable, à la vacherie jubilatoire.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un humour ravageur parcourt cette love story décomplexée, où la maladie n'a pas besoin d'intervenir. Rythme et justesse d'observation sont les deux mamelles de cette comédie où les dents grincent
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par B.T.
Magalie Lépine Blondeau nous fait passer des rires aux larmes grâce à cette Bridget Jones qui intellectualise trop et ne profite pas assez, à la fois attachante, énervante, fragile et têtue.
Le Monde
par V. Cau.
L’étreinte à laquelle ils cèdent apparaît comme une évidence. Ce qui aurait dû n’être qu’une aventure d’un soir se prolongera en une passion inattendue tant elle unit deux êtres dissemblables. A commencer par leur milieu social. A ne pas manquer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Une grande réussite qui offre un vrai de moment de détente intelligente.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Sciemment épicurienne, souvent cocasse, cette comédie sur les tourments de l'âme et, surtout, du corps entraîne le spectateur dans sa fantaisie et mérite que l'on oublie ses clichés et redondances.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ouest France
par Michel Oriot
Une comédie sociale hilarante aux dialogues savoureux.
Paris Match
par Benjamin Locoge
Monia Chokri, qui signe là son troisième film après avoir débuté comme actrice chez Xavier Dolan, révèle une fois encore un goût prononcé pour l’écriture drôle, virevoltante et crue.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Ariane Allard
Une grande maîtrise formelle et une subtilité de propos assez rare sur l'amour, le désir, la vie conjugale...
Première
par Emma Poesy
Aussi drôle que son génial et insolent premier film, La Femme de mon frère, dans lequel la réalisatrice se mettait elle-même en scène en trentenaire névrosée. Chez Monia Chokri, les névroses ont toujours du bon.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Drôle et sensible.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Jacques Morice
Cette comédie romantique et sociale québécoise touche et fait mouche.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Malgré tous ces attouts, et la performance irréprochable des acteurs, l'histoire finit un peu par tourner en rond, comme une passion sans issue, qui s'éteint après avoir dévoré les amants.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Simple comme Sylvain n’offre guère de surprise quant à sa trame narrative. Pourtant le film renouvelle le genre par son jeu avec les codes de la comédie romantique, la fraîcheur des interprétations de Magalie Lépine-Blondeau et de Pierre-Yves Cardinal, ainsi que la joyeuse pertinence de dialogues incisifs.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Dès lors qu’elle transcende son étude sociologique pour en faire l’argument d’une comédie sentimentale, puis d’un émouvant mélo, Monia Chokri emporte la mise.
Libération
par Luc Chessel
C’est une comédie autocritique névrosée à la Woody Allen plutôt qu’un mélodrame queer à la Douglas Sirk. Et ce malgré quelques blagues-bourdes un peu réac ou d’un mauvais goût obligé, bourgeoises au premier degré (mais quand même pas au dernier) sans le recul qui opère dans le reste du film.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Ce film cru et cocasse fustige les assignations sociales, mais s’abîme parfois dans les travers qu’il prétend dénoncer.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télé Loisirs
par M.L.
Voilà une comédie romantique féministe et sociale, qui croque l'époque avec causticité.
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Nous ne sommes pas chez John Waters, ni même chez Étienne Chatiliez, et ce qui rate ici, ne serait-ce que d’un simple point de vue comique, c’est l’incapacité à faire en sorte que le rire dépasse le mépris de classe.
Critikat.com
par Valentin Denis
Quand bien même le film fait preuve d'une certaine cruauté sociologique lors de sa conclusion, son manque de rigueur général ne parvient pas à atténuer ses défauts.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si le récit d’adultère est attachant et sincère, Monia Chokri se répète dans un style qu’on a déjà vu maintes fois au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
Monia Chokri regarde l’amour en face - de ses grands moments qui filent des papillons à toute la violence, le chagrin, le mal que ça peut faire. On n’avait jamais vu cette histoire-là, aussi bien racontée.
Les Inrockuptibles
D’une très grande drôlerie, Simple comme Sylvain renferme toutefois une musique plus amère mais aussi plus profonde et mélancolique sur les amours passées et les fantômes d’une vie.
Marie Claire
Avec son troisième long métrage, Monia Chokri signe un grand film sur la crise de la quarantaine : une "rom-com" endiablée, un conte moral et un mélo déchirant.
Culturopoing.com
Œuvre complète et cohérente, Simple comme Sylvain séduit par son insolente audace (l’échange hilarant autour des dictateurs « préférés), sa maîtrise décomplexée, sa capacité à mêler candeur et sophistication, émerveillement et gravité.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Après le caustique La Femme de mon frère (2019), l’irrésistible Monia Chokri revient avec un long-métrage à l’humour encore plus décapant : une comédie du couple, sur fond de conflit de classes.
Ecran Large
Avec "Simple comme Sylvain", Monia Chokri signe l’un des films les plus drôles de l’année à travers le touchant portrait d’une femme en manque d’amour et de désir, dont la relation naissante est mise à mal par une société attachée aux apparences.
Elle
Cette comédie tendre est un pur plaisir.
L'Humanité
Le troisième long métrage de Monia Chokri dépeint un amour par-delà le fossé social dans une comédie romantique drôle et plus énervée qu’il n’y paraît.
L'Obs
A la fois subtil (dans son écriture) et outré (dans le jeu des acteurs qui parlent volontiers les uns sur les autres).
La Voix du Nord
Une irrésistible pépite drôle et profonde.
Le Dauphiné Libéré
La réalisatrice québécoise démonte de manière cinglante les clichés et les préjugés, et personne n’est épargné par ce petit jeu de massacre social impitoyable, à la vacherie jubilatoire.
Le Figaro
Un humour ravageur parcourt cette love story décomplexée, où la maladie n'a pas besoin d'intervenir. Rythme et justesse d'observation sont les deux mamelles de cette comédie où les dents grincent
Le Journal du Dimanche
Magalie Lépine Blondeau nous fait passer des rires aux larmes grâce à cette Bridget Jones qui intellectualise trop et ne profite pas assez, à la fois attachante, énervante, fragile et têtue.
Le Monde
L’étreinte à laquelle ils cèdent apparaît comme une évidence. Ce qui aurait dû n’être qu’une aventure d’un soir se prolongera en une passion inattendue tant elle unit deux êtres dissemblables. A commencer par leur milieu social. A ne pas manquer.
Le Parisien
Une grande réussite qui offre un vrai de moment de détente intelligente.
Les Echos
Sciemment épicurienne, souvent cocasse, cette comédie sur les tourments de l'âme et, surtout, du corps entraîne le spectateur dans sa fantaisie et mérite que l'on oublie ses clichés et redondances.
Ouest France
Une comédie sociale hilarante aux dialogues savoureux.
Paris Match
Monia Chokri, qui signe là son troisième film après avoir débuté comme actrice chez Xavier Dolan, révèle une fois encore un goût prononcé pour l’écriture drôle, virevoltante et crue.
Positif
Une grande maîtrise formelle et une subtilité de propos assez rare sur l'amour, le désir, la vie conjugale...
Première
Aussi drôle que son génial et insolent premier film, La Femme de mon frère, dans lequel la réalisatrice se mettait elle-même en scène en trentenaire névrosée. Chez Monia Chokri, les névroses ont toujours du bon.
Sud Ouest
Drôle et sensible.
Télérama
Cette comédie romantique et sociale québécoise touche et fait mouche.
Franceinfo Culture
Malgré tous ces attouts, et la performance irréprochable des acteurs, l'histoire finit un peu par tourner en rond, comme une passion sans issue, qui s'éteint après avoir dévoré les amants.
La Croix
Simple comme Sylvain n’offre guère de surprise quant à sa trame narrative. Pourtant le film renouvelle le genre par son jeu avec les codes de la comédie romantique, la fraîcheur des interprétations de Magalie Lépine-Blondeau et de Pierre-Yves Cardinal, ainsi que la joyeuse pertinence de dialogues incisifs.
Les Fiches du Cinéma
Dès lors qu’elle transcende son étude sociologique pour en faire l’argument d’une comédie sentimentale, puis d’un émouvant mélo, Monia Chokri emporte la mise.
Libération
C’est une comédie autocritique névrosée à la Woody Allen plutôt qu’un mélodrame queer à la Douglas Sirk. Et ce malgré quelques blagues-bourdes un peu réac ou d’un mauvais goût obligé, bourgeoises au premier degré (mais quand même pas au dernier) sans le recul qui opère dans le reste du film.
Marianne
Ce film cru et cocasse fustige les assignations sociales, mais s’abîme parfois dans les travers qu’il prétend dénoncer.
Télé Loisirs
Voilà une comédie romantique féministe et sociale, qui croque l'époque avec causticité.
Cahiers du Cinéma
Nous ne sommes pas chez John Waters, ni même chez Étienne Chatiliez, et ce qui rate ici, ne serait-ce que d’un simple point de vue comique, c’est l’incapacité à faire en sorte que le rire dépasse le mépris de classe.
Critikat.com
Quand bien même le film fait preuve d'une certaine cruauté sociologique lors de sa conclusion, son manque de rigueur général ne parvient pas à atténuer ses défauts.
aVoir-aLire.com
Si le récit d’adultère est attachant et sincère, Monia Chokri se répète dans un style qu’on a déjà vu maintes fois au cinéma.