Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Culturopoing.com
par Pierig Leray
« Le déserteur » saisit avec virtuosité l’instant décisif où tout bascule, là où le patriotisme belliqueux s’évanouit dans une conscience de l’intolérable, hurle un désir si naturel de vie sans guerre, d’un destin sans connivence avec la haine et la détestation de l’autre, un film aussi défaitiste qu’optimistepile à l’heure des grandes interrogations de notre temps.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Pablo Patarin
Porté par une mise en scène efficace, le Déserteur s’autorise des touches de burlesque et quelques jolis plans-séquences qui viennent soutenir le rythme du récit. L’œuvre pointe alors du doigt, sans concession ni lourdeur, ce que le réalisateur décrit lui-même comme la « réalité refoulée de l’occupation ».
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Isabelle Danel
Tourné avant les massacres du 7 octobre par le Hamas et la guerre des troupes israéliennes à Gaza, le film n’en résonne que plus douloureusement. Au rythme de ses pulsations cardiaques et d’une musique free jazz, Shlomi (Ido Tako, physique et enfantin) court, rampe, grimpe et sillonne Tel-Aviv à vélo.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
La caméra colle aux basques de son anti-héros aussi touchant que paumé au fil d’une impossible fugue (très) physique et psychologique portée par un acteur épatant qui livre là une remarquable performance.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le deuxième long-métrage de Dani Rosenberg, après un premier essai foutraque autour du décès paternel (La Mort du cinéma et de mon père aussi, 2021), renoue avec la vigueur du jeune cinéma israélien, une façon de convertir la rage en mouvement.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Audacieux et corrosif.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une tragicomédie effrénée, jouant admirablement de l’absurde.
Marianne
par Olivier De Bruyn
Malgré ses afféteries, ce portrait grinçant d’un soldat non héroïque mérite d’être découvert.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par La rédaction
Cette tragi-comédie teintée de burlesque, résonne fort avec notre époque.
Télérama
par Hélène Marzolf
Un film aussi viscéral que politique, avec Ido Tako filmé en majesté par Dani Rosenberg.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une fuite en avant étourdissante d’un gamin soldat israélien sur le front de Gaza, dépassé par le conséquences de sa désertion. « Le Déserteur » est un film autant courageux que troublant en pleine période de conflit entre Israël et le Hamas.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par par Marcos Uzal
Shlomi pensait fuir, mais il a fait pire : il a disparu, et cela fait qu’il peut désormais « appartenir » à tout le monde, être un sujet de débat médiatique, un instrument de guerre. L’idée que tout citoyen israélien incarne son peuple et son État transforme ainsi son geste en drame national, et plutôt que de le libérer lui confère une responsabilité in absentia qui est le comble paradoxal de sa subordination.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Entre burlesque et drame, le personnage de Shlomi (Ido Tako) relate avec acuité l’aspiration d’un jeune soldat, sans aucun mobile sinon le désir impérieux de vivre, à une vie normale.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Eric Neuhoff
L'humour et l'absurde ne sont pas absents de cette fuite en avant menée staccato, sur une musique tambourinante. Le film bouillonne d'énergie, à l'image de ce jeune homme qui se jette sur la nourriture avec une avidité communicative.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Renaud Baronian
Cela a le mérite d’offrir un regard différent, inédit, sur ce conflit, et de montrer à quel point certains jeunes Israéliens sont plongés dans le trouble absolu face à ces événements qui rythment leur quotidien. Sur la forme, le film, interprété de façon hallucinée par le jeune acteur Ido Tako, file la métaphore en jouant l’agitation permanente, la frénésie même, dans sa manière de filmer et de diriger le comédien dans sa course sans fin.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Yannick Vely
Rythmé par les cymbales et les alarmes - excellent travail sonore -, « Le Déserteur » peine un peu à tenir la distance. Mais vous n’êtes pas prêt d’oublier le regard face caméra d’Ido Tako…
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Damien Leblanc
Décapant et surprenant, ce Déserteur parvient ainsi à mettre des images sur les maux guerriers qui ravagent aujourd’hui la planète.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
par Rose Baldous
Naviguant tour à tour entre le drame, le thriller, la comédie ou la satire, Le Déserteur s’essouffle malheureusement à l’image de son protagoniste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
Entre le film rêvé et la réalisation effective, quelque chose s’est dilué avec la mise en scène, jamais à la hauteur de son ambition.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Culturopoing.com
« Le déserteur » saisit avec virtuosité l’instant décisif où tout bascule, là où le patriotisme belliqueux s’évanouit dans une conscience de l’intolérable, hurle un désir si naturel de vie sans guerre, d’un destin sans connivence avec la haine et la détestation de l’autre, un film aussi défaitiste qu’optimistepile à l’heure des grandes interrogations de notre temps.
L'Humanité
Porté par une mise en scène efficace, le Déserteur s’autorise des touches de burlesque et quelques jolis plans-séquences qui viennent soutenir le rythme du récit. L’œuvre pointe alors du doigt, sans concession ni lourdeur, ce que le réalisateur décrit lui-même comme la « réalité refoulée de l’occupation ».
L'Obs
Tourné avant les massacres du 7 octobre par le Hamas et la guerre des troupes israéliennes à Gaza, le film n’en résonne que plus douloureusement. Au rythme de ses pulsations cardiaques et d’une musique free jazz, Shlomi (Ido Tako, physique et enfantin) court, rampe, grimpe et sillonne Tel-Aviv à vélo.
Le Journal du Dimanche
La caméra colle aux basques de son anti-héros aussi touchant que paumé au fil d’une impossible fugue (très) physique et psychologique portée par un acteur épatant qui livre là une remarquable performance.
Le Monde
Le deuxième long-métrage de Dani Rosenberg, après un premier essai foutraque autour du décès paternel (La Mort du cinéma et de mon père aussi, 2021), renoue avec la vigueur du jeune cinéma israélien, une façon de convertir la rage en mouvement.
Les Echos
Audacieux et corrosif.
Les Fiches du Cinéma
Une tragicomédie effrénée, jouant admirablement de l’absurde.
Marianne
Malgré ses afféteries, ce portrait grinçant d’un soldat non héroïque mérite d’être découvert.
Ouest France
Cette tragi-comédie teintée de burlesque, résonne fort avec notre époque.
Télérama
Un film aussi viscéral que politique, avec Ido Tako filmé en majesté par Dani Rosenberg.
aVoir-aLire.com
Une fuite en avant étourdissante d’un gamin soldat israélien sur le front de Gaza, dépassé par le conséquences de sa désertion. « Le Déserteur » est un film autant courageux que troublant en pleine période de conflit entre Israël et le Hamas.
Cahiers du Cinéma
Shlomi pensait fuir, mais il a fait pire : il a disparu, et cela fait qu’il peut désormais « appartenir » à tout le monde, être un sujet de débat médiatique, un instrument de guerre. L’idée que tout citoyen israélien incarne son peuple et son État transforme ainsi son geste en drame national, et plutôt que de le libérer lui confère une responsabilité in absentia qui est le comble paradoxal de sa subordination.
La Croix
Entre burlesque et drame, le personnage de Shlomi (Ido Tako) relate avec acuité l’aspiration d’un jeune soldat, sans aucun mobile sinon le désir impérieux de vivre, à une vie normale.
Le Figaro
L'humour et l'absurde ne sont pas absents de cette fuite en avant menée staccato, sur une musique tambourinante. Le film bouillonne d'énergie, à l'image de ce jeune homme qui se jette sur la nourriture avec une avidité communicative.
Le Parisien
Cela a le mérite d’offrir un regard différent, inédit, sur ce conflit, et de montrer à quel point certains jeunes Israéliens sont plongés dans le trouble absolu face à ces événements qui rythment leur quotidien. Sur la forme, le film, interprété de façon hallucinée par le jeune acteur Ido Tako, file la métaphore en jouant l’agitation permanente, la frénésie même, dans sa manière de filmer et de diriger le comédien dans sa course sans fin.
Paris Match
Rythmé par les cymbales et les alarmes - excellent travail sonore -, « Le Déserteur » peine un peu à tenir la distance. Mais vous n’êtes pas prêt d’oublier le regard face caméra d’Ido Tako…
Première
Décapant et surprenant, ce Déserteur parvient ainsi à mettre des images sur les maux guerriers qui ravagent aujourd’hui la planète.
Les Inrockuptibles
Naviguant tour à tour entre le drame, le thriller, la comédie ou la satire, Le Déserteur s’essouffle malheureusement à l’image de son protagoniste.
Libération
Entre le film rêvé et la réalisation effective, quelque chose s’est dilué avec la mise en scène, jamais à la hauteur de son ambition.