Avis : L'Auberge Espagnole - Page 3

Un excellent film qui nous permet de visiter la magnifique ville de Barcelone. Un rigole beaucoup pendant ce film avec un des premiers grand roles de Romain Duris. La suite Les Poupées Russes est pour beaucoup moins réussie que cette L'Auberge Espagnole !

Un bon film signé Cédric Klapisch, mettant en scene une bande de jeunes en collocation, qui porte donc parfaitement son nom. Les péripéties des protagonistes, Romain Duris en tete, sont tres agréables a suivre.

Cette irrésistible comédie, premier volet de la trilogie signée Cédric Klapisch, est pourvue d'un très bon scénario, une remarquable mise en scène et est interprétée avec talent par un casting de choix.
Un très bon divertissement !

Klapisch filme les amours et les états d'âme de jeunes étudiants européens vivant à Barcelonne.
Le résultat est sympathique et rafraîchissant grâce principalement aux interprêtes tous excellents.
La suite n'en sera que meilleure.

Très bien.

Comédie à la mode très surestimée sur la jeunesse estudiantine des années 2000 devenue européenne et qui se retrouve dans la ville branchée du moment où il est très in de finir son cursus universitaire : la bien nommée Barcelone. Tout ceci est fort gentillet et cette jeunesse "fantasmée" semble un peu désabusée n’ayant à aucun moment le « loisir » de travailler pour subvenir à ses besoins. On retrouve ici le mal endémique des comédies dramatiques à la française qui tentent vaille que vaille de faire croire à chacun que tout est possible, faisant fi de la réalité sociale. Le succès du film a fait bifurquer le pourtant très prometteur Cédric Klapisch ("Le péril jeune", "Chacun cherche son chat"), après deux suites insipides à ce premier épisode, vers le romantisme à la Lelouch. Malheureusement pas celui de la meilleure période. Romain Duris quant à lui beaucoup plus à l'aise à l'époque dans la démesure ne retrouve pas la force de conviction qui se dégageait de ses tous premiers rôles. Heureusement ses choix futurs ont eu le bon goût d'alterner films commerciaux et films d'auteurs où il peut donner libre cours à son jeu enfiévré.

Une sympathique tirade de l'Europe, des gens, des lieux, des sentiments, de la vie tout simplement! Une grande réussite sociale et artistique, véritable étendard de la comédie française subtile et véritablement drôle. Le film de Klapisch est véritablement drôle, frais et revigorant, véritable étude culturelle et de caractère.

L'Auberge Espagnole ? La Daube Espagnolo franchouillarde me parait plus appropriée tellement ce film est merdique de A à Z. Ce film ne fait ni plus moins que l'apologie de l'adultère, de l'alcool et de la drogue. Romain Duris est une tête à claques pas possible, on a qu'une envie de le baffer tout au long du film et je me demande pourquoi ce con de specialiste du cerveau qui lui confie sa nunuche de femme lui fracasse pas la tête à la fin du film...Un film à l'image de notre epoque actuelle : vulgaire, sans âme, totalement superficiel et malsain dans son propos (le mec se tape une depression parce que sa nana le trompe alors qu'il n a pas arrêté de la tromper non stop avant, plus hypocrite tu meurs !). La pseudo "amitié" entre les locataires de cet appart est totalement artificielle et le frère de la britannique est d'une connerie sans égale (le salult nazi avec l'allemand est d'un mauvais goût tellement enorme qu'on se demande ce qui est passé par la tête de Klapisch pour pondre cette daube de scène).

Bref une merde sans nom totalement surcôtée, avec des acteurs antipathiques, une mise en scène epileptique et un scénario moisi. Une gigantesque et insupportable DAUBE

La volonté de Klapisch de réaliser une réflexion sur l’Europe et la différence à partir d’un voyage initiatique d’un jeune érasmus agace profondément. En voulant rendre compte de ce mélange et de l’aspect chaotique des expériences, il se perd tant sur la forme que sur le fond. Avec un scénario très classique, il s’adonne à l’expérimentation (voix off omniprésente, usage abusif du split-screen, incrustations numérique) qui ressemble plus a s’aligner au standard des série télévisé qu’à une réelle audace. Réussissant jusque là a détournés les clichés dont il use, Klapisch s’enfonce au contraire avec eux pour nous livrer une comédie sentimentale convenu et non dépourvu d’esprit boy-scout. Il en va de même pour sa morale qui ne peut que paraître naïve. Il délaisse malheureusement nombre de digressions de son récit (la liaison bancale avec Judith Godrèche) et ne parvient pas a assumer ses réflexions sur ce mode de vie a peine ébaucher (l’appropriation de l’espace par exemple). Si le film se laisse voir, on s’interroge cependant sur le message profond du film en espérant que Klapisch ne se prenne pas au sérieux en voulant prétendre à nous apprendre la vie.

qui ne reverrait pas de partir avec Erasmus après ce film?! un pauvre gars triste qui ne sait pas quoi faire de sa vie, décide de partir en espagne, et la on part dans une folle aventure avec ce jeune homme et tous ses amis qu'il se fait une fois sur place!!! on est obligé d'adorer ce film!

Je ne comprendrai jamais l'intérêt de payer pour voir un film sur une histoire banale avec des personnages qui n'ont rien de spécial et qui ne m'ont même pas arraché un sourire,un succès que je ne comprend pas.De plus Romain duris m'exaspère dans chacun de ses rôle et celui ci ne déroge pas a la règle.

Un film français ... eurpoéen .... réussit ! Romain Duris est franchement génial dans ce film !

Avis personnel. Une histoire présentée un peu comme la chronique d'une année de vie d'un étudiant français universitaire parti à Barcelone pour se spécialiser et apprendre l'espagnol. L'histoire vaut surtout par les péripéties parfois fort drôles qui font le quotidien de 7 étudiants colocataires de nationalités et de caractères fort différents. Les surprises, les difficultés et les heurts entre cultures et mentalités sont bien traduits sans tomber dans l'excès de caricature comme c'est souvent le cas dans ce genre de contexte. Les protagonistes sont tous excellents et très bien personnalisés. La caméra alerte et habile semble s'immiscer indiscrètement dans de nombreuses scènes et la réalisation légère entraîne beaucoup de dynamisme et de fraîcheur. Un mystère pour moi: Romain Duris/Xavier, le personnage central, est manifestement un garçon intelligent, gentil, poli, faisant preuve en toute circonstance d'un savoir-vivre manifeste. Je ne comprends donc pas pourquoi il devient chaque fois le garçon le plus grossier de la terre dès qu'il parle à sa mère, même si celle-ci peut parfois se montrer vraiment fatigante!

Un film surestimé au possible ! Duris et Tautou sont, comme à leur habitude, en dessous de tout et caricaturaux, desservant un film à l'intérêt déjà fort limité. On s'ennuie ferme et les magnifiques décors madrilènes ne changent rien à l'affaire. Je ne comprend d'ailleurs pas pourquoi les gens ont vu une image "merveilleuse" et "humaine" de Erasmus puisqu'il est de notoriété publique que c'est un échec total et que le film en montre un grand nombre de travers... Quand au coté "communautaire-promiscuité-wahou-on-est-tous-potes"... La blague ! Les coco sont les premiers à ne pas respecter leurs prochains et on le voit bien ici. Pas de fraternité dans ce film, juste de l'individualité, de l’égoïsme. Voilà le message de ce film. Quand au reste, ce ne sont que des amourettes dignes d'un épisode de "Plus Belle la Vie". C'est dire !

D'abord surpris par le côté film amateur de «L'Auberge espagnole», puis sceptique face aux clichés habituels et gentillets de ce genre de longs métrages potaches (l'appel à la tolérance, l'ouverture d'esprit, les amis pour la vie et tous ces bons sentiments niais), on se laisse peu à peu porter par la réalisation décalée de Klapisch et l'interprétation savoureuse de la distribution européenne (même Duris joue bien, c'est dire!). S'il manque parfois de rythme et d'un montage soutenu, s'il a un peu vieilli (déjà) et s'il vieillira sans doute encore, «L'Auberge espagnole» n'en demeure pas moins réussi dans sa capacité à avoir su capter l'esprit joyeusement bordélique et bon enfant des échanges Erasmus! Tout étudiant se reconnaîtra dans ce film et dans ces personnages attachants, et c'est là la grande force du long métrage. Après ça n'est bien sûr pas le chef-d'oeuvre de la décennie ni même de l'année, mais il est tellement rare de nos jours de voir un film français proposer quelque chose d'assez original et drôle sans pour autant se départir d'une certaine simplicité et d'une réelle justesse, bref d'être réussi, qu'on ne peut que saluer le travail de Cédric Klapisch et de sa sympathique équipe. Comme «Le Péril Jeune», «L'Auberge espagnole» capte un moment de vie particulier et s'adresse donc plus spécifiquement au jeune public. Pas sûr que tout le monde y trouve son compte, mais pour ma part j'ai passé un agréable moment. [0/4] http://artetpoiesis.blogspot.fr/