Derniers Avis sur Huit millions de façons de mourir

Ca commence plutôt bien, on pense assister à un super polar et puis l'histoire devient redondante pour finir par être carrément inintéressante.

Je voulais voir ce film pour découvrir une autre adaptation du héros de L. Block (également à l'oeuvre dans "Balade entre les tombes") et parce que le rôle principal est tenu par J. Bridges. RIen à dire quant à sa performance vu que l'acteur est au top, hyper convaincant et solide, avec un face à face contre A. Garcia qui tient toutes ses promesses, Garcia étant également très bon en gangster vénéneux. Le hic, c'est que l'intrigue est un rien confuse, pour rester poli, et que la narration n'est pas des plus agréables (il faut dire que le réal a été éjecté par la production dès la fin du tournage). Transition magnifique là encore, parlons de H. Ashby, qui signe là son dernier film, et qui était un des représentants du Nouvel Hollywood. Le voir au volant de cette commande est certes incongru mais il ne faisait qu'imiter tous ses congénères, alors contraint de tourner pour les studios vu que leurs projets plus personnels avaient du mal à trouver des financements et un écho auprès du public. Du coup, si son savoir-faire est indéniable, il faut bien reconnaître que certaines scènes s'avèrent hyper bien faites, tendues comme il faut grâce à un découpage et une atmosphère bien trouvée (ce qui est donc du fait des producteurs et de lui). Au final, un polar sombre et tortueux, bordélique et parfois raté mais qui recèle de quelques trésors et dont on ressort un peu sale. D'autres critiques sur

Je voulais découvrir "Huit millions façons de mourir" pour son metteur en scène qui a bon estime chez les cinéphiles Hal Ashby et ce long métrage doit surement ètre un film de commande par les studios Américains qui accumule les clichés et le déja vu, j'avais l'impression de me retrouver dans un mauvais épisode de la série télévisée de l'époque "Miami Vice", ça y ressemble en tout cas !! On y suit un policier qui va sombré dans l'alcool suite à un meurtre qu'il a commis accidentellement, il va faire une cure de désintoxication et divorcer. Remis sur pied, il enquète sur le milieu de la drogue et des prostitués. Je me suis ennuyé du début jusqu'à la fin ! La seule chose de positif à ce long métrage, c'est la musique de James Newton Howard branché à la mode des années 80. Les comédiens comprenant Jeff Bridges, Rosanna Arquette ou le ridicule Andy Garcia font le stricte minimum dans leurs compositions. Ce film n'est pas terrible, je comprends qu'il soit méconnu.

Un film que j'avais vu au cinéma qui ne m'avait laissé aucun souvenir et effectivement il n'y a pas grand chose à se rappeler. Aucun travail de fond n'a été fait autour du scénario et des personnages autant regarder une série policière des années 80 qui sera aussi efficace voir plus.

Avec son montage nerveux et volontairement relâchè, "8 million Ways to Die" a bien vieilli depuis sa sortie en 86! Meurtres, prostitution, dope, passion...Rien n'est laissè au hasard dans ce solide polar US! Elle, c'est une prostituèe en cavale, lui, c'est un ex-flic à la dèrive! Elle l'engage pour la protèger...mais elle se fait avoir! Maintenant sa seule amie à elle est sa seule chance à lui de trouver l'assassin s'il la garde en vie! Ce qui est amusant, c'est que le titre de ce film violent et sensuel de Hal Ashby (dont ce fût malheureusement le dernier long-mètrage) signifie aussi « huit millions de façons de vivre » . L'impuissance du flic Jeff Bridges, le vocabulaire ordurier dèpassant de loin l'anecdote individuelle...On ne s'étonnera qu'à moitiè de retrouver Oliver Stone à la scènarisation et aux dialogues avec des mots qui flinguent! Saignant et musclè, "8 million Ways to Die" ne fait pas dans la demie-mesure! Jeff Bridges est excellent en ex-flic à la dèrive dans un monde où le crime est un pouvoir, où la chair humaine est une monnaie, où gagner du temps ne règle pas les problèmes! De plus, il y a la sexy Rosanna Arquette et un final tendu du slip dans un entrepôt puis dans un ascenseur extèrieur! Quand vous êtes pris entre deux feux, il y a « huit millions de façons de mourir »...

incroyable que ce film ne soit toujours pas édité en DVD! Injustement méconnu, "8 millions..." est un excellent polar des années 80. une réalisation travaillée et bien sûr d'excellents acteurs. Jeff Bridges est touchant en flic alcoolique, Patricia Arquette toujours aussi ravissante et ce film a révélé Mister Anthony Garcia qui joue bien son rôle de mafioso. A découvrir vraiment

Que dire de ce film totalement creux ? Rien du tout.

Avant de devenir l'un des meilleurs realisateurs américain,avec quelque pépite du 7 eme art que sont platoon,les doors et u turn;ses trois meilleurs fims,oliver stone a ecrit des scriptes de chefs d'oeuvres total;comme midnight express,conan le barbare,scarface le meilleurs film jamais réalisé,entre deux film de mafia,scarface et l'année du dragon,autre film culte,Oliver Stone a écrit ce huit million de façon de mourrirs,plus proche de son cadet par son ambiance,ce film,totalement méconnu,est catalogué comme un vulgaire polar eighties,le peut de critique le décrive comme un nanar,une banalité,un film peut original;pourtant on ne s'emmerde pas une seconde,le héros (jeff bridges) ex flic alcoolique,est attachant,patricia arquette belle comme a son habitude et particulièrement touchante dans une séquence,et andy garcia genial en mafioso a l'accent espanol en costeur cravate dont ses manière aussi distingué qu' un bad guy d' un james bond cachant en lui en lui une colère contenu,avec son ésthétique,avec ses superbe villa,ces glace pillé pendant un rendez vous d'affaire,sa superbe BO,ce huit million de façon de mourrirs enchaine les bonnes séquence;de son début ou jeff bridge s'enfonçant dans l'alcool,s'éclipsant ainsi de sa famille, au scene de confrontation avec andy garcia,aussi exité qu'un tony montana lors de la séquence ou rosana arquette est prise en otage dans un angard jusqu'aux superbe réglement de compte finale font de huit million de façon de mourrirs un polar hyper efficace qui est en rien en dessous des autres.Ce serais meme le contraire.

Bien que scénarisé par Oliver Stone (réalisateur connu mais aussi scénariste entre autres du magnifique Conan le barbare et de l’excellent Scarface de Brian de Palma), 8 millions de façons de mourir s’avère peu palpitant. Ni nerveux ni violent ce polar met trop de temps pour installer son intrigue, de ce fait on décroche rapidement. Le final est pas mal mais ne sauve pas le film, c’est un polar des années 80 assez quelconque.