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    Le Décalogue
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    Noistillon
    Noistillon

    66 abonnés 408 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 juillet 2012
    Me voilà au bout du monument de Kielowski. Le terme de chef d'œuvre serait réducteur pour qualifier l'immense œuvre du cinéaste polonais. Le format en 10 épisodes, élève à un haut niveau de spiritualité ce Dekalog. Et encore, il faut encore parler de la densité sociologique de l'ouvrage, pour ne rien omettre de la qualité de l'ouvrage. Je vais donc m'atteler à une critique épisode par épisode puis à une critique globale. Décalogue 1 : mon préféré. Kielowski aborde avec une très grande finesse et une sensibilité denué de sentimentalisme les rapports complexes entre religion et science et le dernier plan est l'un des plus signifiants qu'il m'ait été donné de voir. L'histoire est dure et bouleversante et ce premier opus est un chef d'œuvre absolu à lui tout seul. Décalogue 2 : Ce deuxième opus est également d'une grande subtilité qui interroge les croyances religieuses spirituelles face aux difficultés pratiques de la vie. Le dilemme moral auquel est confronté le médecin est rendue avec une virtuosité tarkovskienne. Décalogue 3 : Largement sous-estimé par certains, ce troisième épisode est peut-être moins spirituel que les deux précédents mais plus psychanalitique. La relation entre les deux êtres est amenée avec une très grande beauté et certaines scènes font réellement frissonner. Le Décalogue 4 : le plus bergmanien. Ce serait presque la limite de ce 4ème épisode qui reste un chef d'œuvre d'une précision sidérante. Allant jusqu'à reproduire le schéma bergmanien en lui-même, Kielowski rend un hommage virtuose au plus grand cinéaste de tous les temps, celui-là même qui avait signé le sublime Sonate d'Automne, dont l'empreinte se retrouve dans ce magnifique 4ème opus. Décalogue 5 : Le plus moral. Les 50 premières minutes dans leur froideur volontaire évoque le travail de Michael Haneke tandis que la seconde partie est un féroce réquisitoire renoirien contre la peine de mort. Si le fond est tout à fait acceptable, le bât blesse sur la forme, Kielowski abusant de filtres assez laids il faut le dire. Décalogue 6 : Le thème central de cet opus, l'un des plus beaux au demeurant, est très clairement la solitude, en témoigne l'abondance de vitres qui séparent les personnages. L'ensemble est très beau et l'historiette renvoie de loin au (surestimé à mes yeux) Lauréat de Mike Nichols, mais en plus beau et plus pudique. Kielowski magnifie une histoire de fascination a priori simpliste en lui donnant une résonance psychanalytique et spirituelle remarquable. Le troisième chef d'œuvre de ce Décalogue. Décalogue 7 : on sent encore une fois l'influence du maître, Ingmar Bergman, dans la manière de confronter mère et fille sur un sujet grave. Ce 7e épisode brille par son refus du manichéisme, et certaines scènes sont bouleversantes. Décalogue 8 : celui que j'aime le moins. D'une très grande densité spirituelle mais assez peu émouvant sur le fond, le dernier plan excepté. Décalogue 9 : une histoire de tromperie d'une justesse éblouissante, et Kielowski par une écriture poussée de ses personnages, évite soigneusement les écueils du mauvais mélodrame. Décalogue 10 : Moins émouvant que les autres, à priori plus vain et pourtant le film questionne des engagements moraux. Dans l'ensemble, les épisodes de ce Décalogue, pas tous de la même ampleur, restent d'une qualité tout bonnement exceptionnelles. Mon ordre : 1>4>6>7>9=3>5>2>10>8. Il est au fond peu surprenant que ce soit la seule œuvre, aux yeux du grand Stanley Kubrick, qui puisse être considérée comme un chef d'œuvre tant ce Décalogue est d'une densité, d'une polyvalence, d'une précision, d'une justesse et d'une sensibilité sidérantes. MA-STER-PIECE.
    Flotibo
    Flotibo

    42 abonnés 1 441 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 avril 2008
    Comme dans toute saga, il y a du bon et du moins bon. Mais dans celle-ci c'est surtout bon. Cela reste à mon goût une expérience universelle et atemporelle explicitant la complexité du genre humain. A travers 10 épisodes (en réalité 10 commandements), les histoires se suivent la plupart très émouvante. Une mention spéciale d'ailleurs à "Tu ne tueras point" et "Tu ne seras point luxurieux". Malgré tout une petite déception notamment après avoir lu l'excellente collection de BD du même nom.
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 111 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 août 2013
    Fort peu connu alors en Europe occidentale, le regrettè Krzysztof Kieslowski secoua le festival de Cannes 1987 avec "Tu ne tueras point" (cinquième partie du "Dècalogue"), violence glacèe de l'impitoyable histoire d'une double exècution: celle d'un chauffeur de taxi par un passager, et celle du meurtrier par la sociètè! C'est le point de dèpart du "Dècalogue", film puissant incarnant toute la beautè, la violence, la tristesse et l'amour du cinèma polonais où les dix commandements permettent en dix films d'une heure environ de faire le point sur la sociètè polonaise! Kieslowski s'efforce de dècrire la sociètè telle qu'elle est en 1983 et 1984 en voulant dire sa propre vèritè sur son pays, tout en montrant sans hypocrisie les contradictions sociales! Le premier commandement, "Un seul Dieu tu adoreras", est particulièrement attachant et ce, grâce à ce petit garçon! Le deuxième commandement, "Tu ne commettras pas de parjure", est en fait un face-à-face entre un vieux docteur et une femme dont le mari est mourant! Le troisième commandement, "Tu respecteras le jour du Seigneur", prèsente un univers vide de monde, froid et pas très accueillant! Le quatrième commandement, "Tu honoreras ton père et ta mère", est intense à souhait! Le cinquième commandement, "Tu ne tueras point", est une sorte de cri qui fait mal! Le sixième commandement, "Tu ne seras pas luxurieux", traite de l'idèalisme brisè et de la quête de l'amour dans un univers clos dont le style tranchant exploite toutes les ressources! Le septième commandement, "Tu ne voleras point", possède un style très particulier puisqu'on y parle de vol d'enfant avec une fin pessimiste! Le huitième commandement, "Tu ne mentiras point", est une histoire de remords et de pardons avec comme thème le mensonge! Le neuvième commandement, "Tu ne convoiteras pas la femme de ton voisin", traite avant tout des sentiments d'un cardiologue et sa femme où l'impuissance et la jalousie peuvent aboutir au suicide! Le dixième et dernier commandement, "Tu ne convoiteras pas les biens d’autrui", a un ton qui lui est propre puisqu'il allie la comèdie et l'ironie sur fond d'hèritage et de trahison...mais la sagesse n'est pas bien loin. "Le dècalogue" est donc un film absolument passionnant, un film de questions et d'incertitudes qui n'impose ni explication, ni doctrine, où tout Kieslowski tu regarderas après! Admirable...
    il_Ricordo
    il_Ricordo

    94 abonnés 407 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 juillet 2012
    Il est incontestable que Le Décalogue compte parmi les films polonais les plus importants. C'est aussi l'œuvre-phare de Krzysztof Kieslowski, celle qui lui a apporté la consécration mondiale et le respect de tous ses confrères réalisateurs.
    Œuvre ambitieuse, il ne s'agit pourtant pas du tout d'une superproduction : prévu et conçu pour la télévision, il adopte une esthétique de circonstance, soit une photographie peu soignée, des acteurs pour ainsi dire inconnus, des personnages communs affrontant des situations diverses de la vie de tous les jours. Ambitieuse qualifie bien cette œuvre, car il s'agit pour Kieslowski de parvenir à résumer le mystère humain en dix films, ce qui est extraordinairement réduit pour un sujet aussi vaste que l'univers.
    Afin de mieux percevoir l'humanité, il invoque les sources vétérotestamentaires de la tradition chrétienne. C'est donc sur l'un des textes bibliques les plus symboliques et célèbres que vont s'appuyer ses observations.
    Premier commandement : Un seul Dieu tu adoreras. L'histoire d'un enfant intellectuellement précoce, dont l'éducation est partagée entre son père passionné d'informatique et sa tante croyante. C'est certainement l'épisode dont le sens est le plus obscur. Le garçon meurt brutalement, et c'est peut-être le châtiment pour le père d'avoir adoré d'autres idoles.
    Deuxième commandement : tu ne commettras point de parjure. Il s'agit d'une situation complexe qu'un médecin doit résoudre sans parvenir à invoquer une autorité supérieure. Question de morale et d'éthique, mais que Kieslowski traite presque avec désinvolture, sans véritablement se soucier non pas d'y répondre, mais de conclure véritablement, se contentant de montrer ses personnages désorientés et désemparés.
    Troisième commandement : tu respecteras le jour du Seigneur. On se demande : où est le rapport ? C'est vrai que c'est le soir de Noël, que tout le monde est content et fait la fête, et puis ? Et puis ce n'est pas drôle pour tout le monde, notamment deux êtres qui partent à la recherche d'un disparu. Mais l'une est mythomane, et l'autre son ancien amant. Quand la vérité éclate, l'homme part retrouver sa famille. Presque aussi impénétrable que le premier, que l'on parcourt en balades nocturnes dans la ville enneigée.
    Quatrième commandement : tu honoreras ton père et ta mère. Oui, mais s'ils ne le sont pas vraiment, j'ai le droit de coucher avec eux ? Kieslowski est tordu, et pourtant cet épisode est l'un des plus réussis. Il arrive à bouleverser ses spectateurs autant que ses personnages. Le complexe d'Œdipe n'a jamais été exploité aussi franchement et crûment. Décalé par rapport au commandement véritable, parce que le cinéaste sait lui trouver son sens le plus ambigu. Secouant et dérangeant et l'un des plus éprouvants.
    Cinquième commandement : tu ne tueras point. Ce volet a fait l'objet par le réalisateur d'une adaptation pour le Cinéma. Et il y avait de quoi ! Le meurtre du personnage est terrible, mais comme dans les films de Fritz Lang, le spectateur finit inévitablement par prendre parti pour lui. Qui est le plus condamnable entre ce meurtrier et la société, qui elle, en cachant ses responsabilités derrière lois et conventions, commet un acte encore plus ignoble, que rien ne justifie ?
    Sixième commandement : tu ne seras pas luxurieux. Encore plus que Hitchcock et Powell, Kieslowski met mal à l'aise le spectateur en l'accusant lui-même de voyeurisme. Cet épisode aussi a été adapté au Cinéma, mais il est tout de même une belle fumisterie. Parce qu'on renverse l'obsession, il paraît complexe et donc génial. Mais tout cela n'est-il pas un peu trop facile ?
    Septième commandement : tu ne voleras pas. Oui, mais ce qui nous appartient, peut-on le voler ? Non, bien sûr. Seulement les enfants ne sont pas la propriété de leurs parents. Les personnages sont tous attachants pour leur tendresse ou leur impuissance touchante, mais ils risquent par leur possessivité d'étouffer la petite fille, qui elle n'a jamais rien volé à personne et n'est coupable de rien.
    Huitième commandement : tu ne mentiras pas. Le mensonge et la culpabilité. Un épisode un peu vide qui fait écho aux autres, mais qui est aussi un souvenir des horreurs de la guerre. Une femme a refusé de parrainer une petite juive et s'en veut toute sa vie. Elles se revoient et pleurent ensemble.
    Neuvième commandement : tu ne convoiteras pas la femme d'autrui. Un homme à qui rien n'est jamais arrivé se retrouve impuissant. Malgré cela, et après des épreuves bien difficiles, son couple surmonte tous les drames par l'amour réciproque qui dépasse tout. L'un des plus beaux de tous.
    Dixième commandement : tu ne convoiteras pas les biens d'autrui. Un épisode qui tourne à la farce : deux fils se découvrent une passion pour les timbres quand ils apprennent la valeur que peuvent prendre ceux-ci. Fièvre de l'argent, vol, séparations, réconciliations, ce drame cache une bouffonnerie caustique.
    Le Décalogue est une œuvre incontournable, irrégulière mais admirable.
    Plume231
    Plume231

    3 509 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 juillet 2011
    Petit bilan d'ensemble. Seule oeuvre cinématographique selon les dires du Dieu Kubrick a pouvoir vraiment être qualifié de chef d'oeuvre donc effet de curiosité maximal pour votre serviteur. Alors niveau notation calcul simple ((4 2 1 4 3 4 2 3 3 3)/10)= 2,9), niveau classement : 6, 4, 1, 10, 8, 9, 5, 2, 7 et 3. Ben, ce qui en ressort c'est que l'intérêt des différents épisodes est très inégal. Cela peut aller de franchement captivant comme le 6ème (Tu ne seras pas luxurieux) et le 4ème (Tu honoreras ton père et ta mère) à assez ennuyeux à l'image du 3ème (Tu respecteras le jour du Seigneur). Disons que pour moi les plus réussis sont ceux qui sondent le mieux l'âme humaine. Et plus cet aspect est réussi, plus le spectacle est captivant, fascinant et ne laisse pas indifférent. Et Krzysztof Kieslowski à son meilleur y réussit parfaitement.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 mai 2007
    Dix Commandements, dix films, dix "petits" chefs d’œuvre.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    933 abonnés 4 850 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juin 2018
    L’ensemble du décalogue est assez puissant. J’ai déjà critiqué chaque épisode et il est temps de terminer sur la forme globale. Une façon de filmer au plus près des personnages. Une austérité qui n’empêche pas l’émotion et une force d’interprétation.
    7eme critique
    7eme critique

    467 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 novembre 2018
    Les 10 commandements revus de façon moderne dans un traitement particulièrement intelligent et subtil ! Cette série de 10 téléfilms (pour près de 10 heures d'images) se dotera d'épisodes forcément plus forts et plus marquants que d'autres, mais cette relecture complète des 10 commandements n'en restera pas moins brillante et passionnante, de quoi faire entrer Krzysztof Kieslowski dans le cinéma d'excellence.
    Christoblog
    Christoblog

    747 abonnés 1 618 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 mars 2013
    Tourné en 1988 pour la télévision polonaise, le Décalogue est un chef d'oeuvre.
    Le projet, illustrer en 10 épisodes de 52 minutes les 10 commandements, est pourtant improbable et minimaliste. Tous les épisodes se passent durant la période de Noel dans un ensemble de HLM de Varsovie. Les différents personnages se croisent dans les épisodes, de même que les techniciens et acteurs qui fréquenteront la filmographie de Kieslowski se croisent dans les génériques des 10 opus. La densité émotionnelle des histoires est incroyable et le visionnage de l'intégralité des épisodes est une des plus belle expérience de cinéma qu'on puisse faire.
    Pour une critique commentée de chacun des 10 courts métrages + des liens + des analyses, voir Christoblog, ici :
    Buzz063
    Buzz063

    63 abonnés 919 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 avril 2011
    Oeuvre originale et passionnante, autant par sa nature et sa forme que par son contenu. Conçu à l'origine pour la télévision polonaise, Kieslowski offre dix films d'environ 50 minutes chacun qui prennent leur inspiration dans les dix commandements. Aucun prechi-precha là-dedans, on a même souvent du mal à faire le lien entre les commandements et les histoires que le cinéaste nous raconte. Sur la forme, le réalisateur parvient a ne pas se répéter (neuf directeurs photo au total) tout en donnant à l'ensemble des épisodes une cohérence. Les scénarios sont à la fois indépendants les uns les autres mais nourrissent la réflexion générale au fur et à mesure (tous les épisodes sont l'oeuvre de Kieslowski et de son co-scénariste Krzysztof Piesiewicz). Kieslowski questionne des sujets majeurs et profonds tels que le destin ou la foi avec une intelligence admirable mais sans jamais qu'il ne la mette en avant de manière pédante, ce qui est le principal repproche que je fais à une frange non négligeable du cinéma d'auteur actuel. De la même façon, malgré le côté métaphysique de son Décalogue, le réalisateur n'écrase jamais ses personnages en les réduisant à de simples outils et marionnettes servant à nourrir son propos. Comme toujours dans ce genre de film, les épisodes interessent plus ou moins en fonction de l'histoire et du goût du spectateur mais aucun des dix volets n'est faible en comparaison des autres.
    Backpacker
    Backpacker

    55 abonnés 780 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 février 2007
    Une collection extraordinaire de 10 films basés sur les 10 Commandements. Fort heureusement, il n'y a absolument rien à craindre d'un éventuel excès de morale puisque Kieslowski nous épargne cette dernière... Cela dit, certains de ces films sont meilleurs que d'autres... Et l'on ne saurait que trop conseiller de les visionner un à un, à divers moments, afin de pouvoir mieux les apprécier... Incontournable...
    thewall
    thewall

    12 abonnés 740 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Dix petits films d'une heure environ. Certains sont moins bons que d'autres, mais il ressort de l'ensemble un sentiment réel d'avoir vécu une expérience cinématographique unique. Certains sont même de véritables chef d'oeuvres. De quoi nous souvenir d'un cinéaste qui fut sans doute un des génies des années 80-90, malheureusement trop tôt disparu. Son oeuvre, immense par sa qualité formelle et surtout par sa force humaniste, restera gravée longtemps dans les mémoires. Indispensable pour tout cinéphile qui se respecte.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 4 février 2008
    Hum tout commençait bien. Mais voilà, il fait semblant de laisser ses questionnements en suspend à la fin de ses films. On revigore implicitement des valeurs catho assez primaires. C'est prévisible et on étale un semblant de suspense. Malheureux quand on sait que le reste de la mise en scène se tient, l'image est intéressante.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 mars 2010
    Dix épisodes pour un chef-d'œuvre dont la durée et la somme des thèmes traités ne fait pourtant jamais s'effondrer l'édifice colossale de cette errance parmi nous autres, les vivants...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 mai 2010
    Un tableau de maître sur les sentiments et nos contradictions bien humains. Un cri d'amour devant nos tristes faiblesses qui ramène l'homme à l'état de stupide animal dangereux pour lui-même. Une réalisation parfaite pour peindre avec intelligence notre nature si peu réjouissante parfois, souvent désespérante.
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