Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Aden
par Philippe Piazzo
D'un sujet grinçant, le rouleau compresseur hollywoodien a fait un film prétendument consensuel qui ressemble à une tartine de miel nappée de chantilly recouverte de sirop d'érable et saupoudrée de sucre glace. Même quand ça se veut méchant, c'est gentil. Kill Santa Claus !
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
Comédie hivernale, Famille à louer est un désastre. Un désastre avec, heureusement, James Gandolfini.
Le Monde
par Florence Colombani
Comédie poussive qui ne doit son existence qu'au fantasme de perfection familiale qui accompagne la fête de Noël (...). Qu'en conclure, sinon que la location de famille pourrait bien être une solution aux pires problèmes de solitude affective, un vrai métier d'avenir ?
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Les fêtes de Noël draguent toujours avec elles leur cortège de productions enneigées glorifiant la famille, les cadeaux et les bons sentiments. FAMILLE A LOUER fait partie de celles-ci. Si l'on pouvait espérer que le thème du film propose une vision plus cynique et grinçante du mercantilisme et du bonheur à tout prix, il n'en est malheureusement rien.
Ouest France
par La rédaction
Ça dégouline de bons sentiments sur cet arbre de Noël chargé de conventions. La satire prend un goût de guimauve et Ben Affleck en yuppie sentimentalement désargenté, ça n'est pas un cadeau.
Première
par Christian Jauberty
Entre comédie grinçante et ratatouille de bons sentiments, le film ne sait jamais sur quelpied chanter Mon beau sapin... Plus encore que d'affection, Ben Affleck a besoin de (nous faire des) vacances.
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Fade comme la dinde, pesant comme les marrons.
Télérama
par Fanny Steinmetz
Un conte de Noël farci de bons sentiments, mais au comique nettement indigeste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par La rédaction
A chaque Noël son nanar. Celui-ci est particulièrement gratiné tant il condense une dose élevée de crétinisme mâtiné de débilité.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
D'un sujet grinçant, le rouleau compresseur hollywoodien a fait un film prétendument consensuel qui ressemble à une tartine de miel nappée de chantilly recouverte de sirop d'érable et saupoudrée de sucre glace. Même quand ça se veut méchant, c'est gentil. Kill Santa Claus !
Cahiers du Cinéma
Comédie hivernale, Famille à louer est un désastre. Un désastre avec, heureusement, James Gandolfini.
Le Monde
Comédie poussive qui ne doit son existence qu'au fantasme de perfection familiale qui accompagne la fête de Noël (...). Qu'en conclure, sinon que la location de famille pourrait bien être une solution aux pires problèmes de solitude affective, un vrai métier d'avenir ?
MCinéma.com
Les fêtes de Noël draguent toujours avec elles leur cortège de productions enneigées glorifiant la famille, les cadeaux et les bons sentiments. FAMILLE A LOUER fait partie de celles-ci. Si l'on pouvait espérer que le thème du film propose une vision plus cynique et grinçante du mercantilisme et du bonheur à tout prix, il n'en est malheureusement rien.
Ouest France
Ça dégouline de bons sentiments sur cet arbre de Noël chargé de conventions. La satire prend un goût de guimauve et Ben Affleck en yuppie sentimentalement désargenté, ça n'est pas un cadeau.
Première
Entre comédie grinçante et ratatouille de bons sentiments, le film ne sait jamais sur quelpied chanter Mon beau sapin... Plus encore que d'affection, Ben Affleck a besoin de (nous faire des) vacances.
TéléCinéObs
Fade comme la dinde, pesant comme les marrons.
Télérama
Un conte de Noël farci de bons sentiments, mais au comique nettement indigeste.
Zurban
A chaque Noël son nanar. Celui-ci est particulièrement gratiné tant il condense une dose élevée de crétinisme mâtiné de débilité.