Avis : Desperado 2 - Il était une fois au Mexique - Page 4

J'ai vu un film... beaucoup trop longtemps... Je me suis arrêté à la 56ème mn, et je me demande comment j'ai pu arriver jusque là, tellement ce que j'ai vu est indigent, stupide et sans intérêt... Il y a une fausse complexité qui masque un tel vide... Juste une légère satisfaction sur la qualité de l'image et de la lumière... Mais tout le reste est creux et vide... Les comédiens ne sont au service de rien, ni d'une histoire, ni d'une intrigue, ni d'une émotion... Ils s''ennuient, nous aussi... Ce film, moins en on voit, mieux on se porte... Pour vous faire une idée, eh bien, ne le regardez pas...

Dernier volet de la trilogie, mais quel chef d'oeuvre! Quel travail exceptionnel sur un scenario sans tâches et sans bavure, une fin des plus magistral avec une tension et des émotions à couper le souffle, sans oublier une bande son sublime, mais ...le plus simple c'est de regarder, "silence ça tourne !"

Un excellent film d'action qui applique la technique du "on prend les mêmes et on recommence". Robert Rodriguez ne se prend pas au serieux et c'est tant mieux pour le spectateur qui s'éclate.

Robert Rodriguez l'a toujours dit : il voulait faire revivre son personnage culte du Mariachi dans un troisième et dernier film, bouclant ainsi sa trilogie comme Sergio Leone l'avait fait avant lui. Intitulé donc Il était une fois au Mexique..., le film reprend encore une fois les bases du western et les transpose de nos jours. Certains personnages récurrents de l'univers de Rodriguez, déjà présents dans Desperado, sont ici de retour dans un rôle à nouveau différent (Cheech Marin, Danny Trejo...). L'histoire de ce troisième opus est extrêmement simple mais bigrement efficace, le cerveau étant tout simplement quasi-éteint face à cette débauche d'action magistrale et d'effets spéciaux aussi discrets que nombreux. Niveau interprétation, Rodriguez propose du très lourd. Outre le retour d'Antonio Banderas qui continue donc sa vengeance cette fois-ci entouré de Marco Leonardi et d'un Enrique Iglesias plutôt convaincant, nous faisons face à un Johnny Depp dantesque, déluré, hilarant et majestueux en agent du FBI sorti d'un autre monde amateur de puerco pibil et qui se sent obliger de tuer le cuisiner lorsque son plat est excellent, pour "rétablir l'équilibre". Ajoutons à cela un Mickey Rourke sur le retour, un tout simplement excellent Willem Dafoe ainsi qu'une pléiade de nouveaux venus attachants comme Eva Mendes, Rubén Blades ou encore Pedro Armendariz. De nombreuses séquences rappellent irrémédiablement les deux premiers films, certaines en étant complètement calquées comme par exemple la course-poursuite partant de la chambre d'hôtel (présente dans El Mariachi). Les scènes d'action sont ici encore plus explosives, Rodriguez filmant comme un ballet ces truands se faisant exploser par un Mariachi décidément très énervé (la fusillade dans l'église est juste magnifique). En somme, Desperado 2 est l'un des meilleurs films de Robert Rodriguez, démontrant tout son talent à gérer l'action comme personne dans une débandade sous fond de western moderne totalement jouissif.

Le premier desperado était déjà pas terrible mais là on a affaire à une bouse infâme,certains me diront tu l'as bien cherché!à regarder ce type de film avec ce type de réalisateur,c'est vrai,pour le coup aucun scénario,des acteurs très mal dirigés pour la plupart en roue libre,des dialogues d'une grande médiocrité,un rythme lent, de mauvais cadrages,ce film est totalement indigeste,comment avec un trio comme rourke,depp et dafoe peut on faire un tel navet,il faut vraiment être un très mauvais réalisateur.

Fidèle au premier opus, ce deuxième film est très bon on y retrouve un Antonio Banderas toujours à trouver les embrouilles qui rencontre sur son chemin la charmante Salma Hayek pour une aventure encore plus folles. On y vois aussi un Johnny Depp excellent comme souvent, bourré d'action et d'humour tout comme le premier ce deuxième volet est une valeur sur, les scènes d'action, la réalisation.

Moi j'adore cette suite, Desperado 2 est super, bien interprété, exellent effet spéciaux. Un film fabuleux !

R. Rodriguez nous offre une suite de Desperado encore plus barrée, plus violente et encore plus invraisemblable dans ses scènes d'action. Le fun est de mise mais le scénario est compliqué à l'extrême, multipliant les double jeu et les fausses pistes et les flashs backs de façon superficielle. Les numéros d'acteur sont savoureux (J. Depp bouffe l'écran) et l'humour est présent dans les moments les plus inattendus (la fusillade dans l'église, le restaurant dans lequel Depp abat le cuistot). Le film se déroule sur fond de coup d'état au Mexique, sur un rythme intensif qui laisse peu de temps pour le comprendre dès la première vision. Rodriguez en fait un patchwork de genres (western, espionnage, jeu vidéo, drame ...) hyper fun, sans franchir la limite vers le 1er degré. D'autres critiques sur

Une suite qui n'était pas vraiment nécessaire; l'effet de surprise est passé , et le personnage du deseperado est émoussé. Bien sûr Rodriguez reste un réalisateur très doué, et certaines séquences sont très brilantes, il sait manier la caméra comme peu savent le faire . Banderas joue son rôle et Salma Hayek est toujours surperbe mais cela ne suffit pas à faire un bon film.

Après s'être éclaté sur les très spéciaux "Spy Kids", Robert Rodriguez revient avec de l'action fun et décomplexé en se repenchant sur la trilogie "El Mariachi" qui l'a rendu célèbre avec ce troisième opus sorti en 2003. Et je dois dire que j'en suis très déçu ! Effectivement, même si je ne suis pas fan des deux premiers films, ce troisième était de loin le plus prometteur. Avec un budget quatre fois plus conséquent que le précédent film et avec une palette d'acteurs qui fait saliver, on était en droit de s'attendre à quelque chose qui déboite ! Mais finalement, et un peu comme dans "Desperado" d'ailleurs, le film manque cruellement de scènes d'action et comporte beaucoup de scènes finalement que très peu utiles (notamment de dialogues ou de scènes un peu western). On retrouve cette fois El Mariachi qui se fait embaucher par un agent de CIA un peu fou pour protéger le président du Mexique (en gros). Mais d'autres personnes sont sur le coup. Bon, c'est vraiment pour la faire courte car j'ai la flemme de résumer tous les tenants et aboutissants du film. Car il semblerait que le réalisateur ai voulu faire passer le casting devant l'intérêt de certains personnages, ce qui fait qu'on se retrouve avec des personnages qui ne servent à rien ou que l'on perd très rapidement de vue ! Ce qui est très dommage, de la même manière que le film se focalise beaucoup plus sur l'agent de la CIA au lieu d'étoffer son personnage d'El Mariachi. Finalement, les scènes les plus fun du film sont les flashbacks avec Salma Hayek qui nous présentent de l'action complètement fun comme on l'attendait. De l'action décomplexée, nous en avons mais pas assez, surtout venant de la part du réalisateur qui nous a habitué à bien mieux. Ainsi, on s’ennuie très rapidement, surtout que la mise en scène est beaucoup moins inspirée que dans les deux précédents (faute de moyens, elle était d'ailleurs bien plus inventive dans "El Mariachi"). "Il était une fois au Mexique... Desperado 2" est donc, de loin, le moins réussi de la trilogie !

Autant celui d'avant était sympa et divertissant, autant celui-là est mauvais malgré un casting assez solide (Antonio Banderas, Johnny Depp, Eva Mendez, Willem Dafeo, Salma Hayek, Mickey Rourke, etc...).

Comme quoi, un casting de choc ; ne fait pas d'emblé un bon film. Apres un premier opus, deja très mauvais pour ma part (car l'engouement était de mise pour le premier... ). La suite, que je trouve tout aussi mauvaise. N'a pas le même engouement du public que le premier. Et là je comprend. Donc toujours pas de scénario vraiment construit. Par là, comme pour le précédent, la trame de fond (la vengeance en gros) est posé sur le papier, sur quelques lignes. Mais cela s'arrète là. Encore une fois, même si l'histoire ; enfin sa base ; est du deja vu. Il y avait toujours matière à brôder... MAis malheureusement non. On s'ennuit du début à la fin. Les coups de feu nous aident à ne pas trop somnoler. Et les dialogues, toujours ; aussi insipide. Bref, rien qui ne remonte le précédent. A part, conclure ; que même avec de bons acteurs. Un bon réalisateur et un scénario basique mais jouable. On peut faire des erreurs, ou du moins ; réaliser un film sans aucune profondeur ni âme. De l'ennuit, du début à la fin (faut il encore tenir jusqu'a la fin^^). A éviter, comme celui dont il en est la suite.

Réalisateur inclassable vouant un amour insondable pour le cinéma et de son pays, Robert Rodriguez est devenu une valeur sûre en terme de divertissement pur depuis "Desperado". De là à attendre une suite à ce film fondateur, il y a un pas. Pourtant, difficile de ne pas saliver devant le casting époustouflant réuni pour l’occasion. Entre le flippant Willem Dafoe en trafiquant, la pulpeuse Eva Mendes en flic, l’empathique Ruben Blades, le revenant Mickey Rourke (qu’on croyait fini pour le cinéma et qui s’offre un come-back inespéré), les indispensables Danny Trejo et Cheech Marin et surtout l’exceptionnel Johnny Depp en agent Sands de la CIA pour le moins atypique (voir la scène où il se balade avec un T-Shirt CIA), le spectacle était presque garanti. Mais, et ce le 1er défaut du film, cette galerie de 2nds rôles et l’importance accordé au personnage de l’agent Sands (qui se réserve les meilleures scènes du film, dont les séquences au restaurant ou à la corrida) viennent considérablement étouffer l’impact du personnage du Mariachi (toujours campé par Antonio Banderas) qui souffre d’un manque notable de renouvellement, à commencer par la mort très prématurée de sa femme (Salma Hayek dégagée entre 3 scènes, qui plus est en flash-back, et qui a pourtant les honneurs d’une affiche trompeuse) qui fait copié-collé du 1er opus. A croire que Rodriguez n’a conservé le personnage que pour trouver un financement plus rapidement et qu’il n’a ensuite pas su comment l’incorporer au récit. Car le défaut majeur de ce "Desperado 2", c’est son scénario bordélique, gangrené par de multiples intrigues venant alourdir une mise en scène toujours aussi explosive. Quelques maladresses sont également à déplorer comme l’usage ponctuel et voyant de la caméra DV, la scène d’évasion où le Mariachi et Carolina sont enchaîné, la mort du Général Marquez ou le soudain élan patriotique gagnant le Mariachi, jusque là héros solitaire et qui se transforme d’un seul coup en porte drapeau de tout un pays. Ce parti-pris scénaristique aurait d’ailleurs pu être très pertinent s’il avait été un peu mieux amené. Heureusement, un film de Robert Rodriguez réserve toujours ce qu’il faut de fun pour faire passer des scènes aberrantes sur le papier. On se délectera ainsi des multiples séquences de fusillades où le Mariachi s’en donne à cœur joie, de l’assaut final du palais présidentiel et du baroud d’honneur d’un agent Sand aveuglé qui achève de rendre terriblement sympathique un personnage qui n’hésite pas à tuer de sang-froid un cuisinier qui réussissait trop bien son puerco pibil pour rétablir l’équilibre. Dommage que ce "Desperado 2" n’ait pas été davantage travaillé à l’écriture et alléger en postproduction, ce qui lui aurait permis d’être plus homogène et donc plus efficace. Malgré tout, même les plus réfractaires devrait trouver leur compte grâce au show de Johnny Depp, qui vaut à lui seul le détour.

Un peu moins bon que le 1er (concept qui s'essouffle sans doute), mais Antonio Banderas mène toujours le film avec talent, aidé par la présence de Johnny Depp.

Ce qui est marrant avec la saga Desperado, c'est que plus le budget augmente, plus les films sont médiocres. Visiblement dépassé par son sujet, Robert Rodriguez multiplie les sous-intrigues pour tenter de masquer la totale platitude de son scénario. L'ensemble n'en est que plus indigeste. Les scènes d'action s'enchainent sans âme et sans jamais renouer avec le second degré qui faisait le sel des deux premiers volets. Comble du gâchis, le casting à première vue excitant est totalement sous-exploité. Antonio Banderas s'avère plus fade que jamais, Johnny Depp cabotine sans vergogne et Salma Hayek n'apparait que dans quelques flashbacks peu inspirés. Quant à Mickey Rourke, Willem Dafoe et Eva Mendes, ils pourraient tout simplement disparaitre du long-métrage sans problème tant leurs rôles sont anecdotiques. Comme quoi, un budget conséquent ne fera jamais la différence sans un scénario solide.