Ni pour, ni contre (bien au contraire) : Critique presse
Ni pour, ni contre (bien au contraire)
Note moyenne
3,3
18 titres de presse
Cinopsis.com
Aden
Ciné Live
L'Express
L'Humanité
Les Echos
Studio Magazine
Chronic'art.com
Le Figaro
Le Figaroscope
Le Monde
Le Point
MCinéma.com
Première
TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
Les Inrockuptibles
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Cinopsis.com
par Benjamin d'Aoust
Une oeuvre toute en subtilité, sur un moule préconçu et parfaitement adapté à l'histoire développée, NI POUR NI CONTRE est une lente et stylisée descente aux enfers, et à n'en pas douter, un film à découvrir.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Aden
par Philippe Piazzo
Cette entrée en matière efficace (et drôle) fait irrésistiblement penser à Martin Scorsese et à l'ouverture des Affranchis : "Du plus loin que je me souvienne, j'ai toujours voulu être un gangster"... A l'image de cette scène, le film entier est une élégante copie.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Zoé Lin
Avec Ni pour ni contre..., Klapisch a décidé de s'attaquer au film de genre, au polar qui fit la gloire du cinéma français sous la houlette de Jean-Pierre Melville. Sauf que de noirceur, il n'y en a guère et que c'est plutôt du côté des "nanars" qu'on adore avec la bande à Bebel, le côté voyou sympathique, que le film penche. Un mal ? Non, vu de la sorte, ça fonctionne très bien. On n'oublie pas de saluer la prestation de Simon Abkarian, toujours aussi excellent, ici en vendeur de kebabs et de Zinedine Soualem, très drôle dans la peau d'un chorégraphe pour filles à la jambe légère.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Echos
par Annie Coppermann
Ni le casse, ni le film du siècle. Mais un solide polar, tout à fait divertissant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
par Frédéric Bas
Entre le trait sec de Sur mes lèvres de Jacques Audiard et le grand guignolesque des Rivières pourpres de Kassovitz, le polar de Klapisch ne trouve pas son créneau et se perd dans une forme un peu lâche où la volonté d'amuser et le second degré nuisent à la crédibilité d'ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
(...) Klapisch aime changer de style, mais est-ce bien raisonnable de le faire en plein film ? On peut en douter, même si l'image est belle et l'interprétation épatante (Vincent Elbaz en tête).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Thomas Sotinel
Klapisch cherche secours du côté des Américains contemporains (Tarantino et compagnie), pour en recevoir d'Henri Verneuil, question de rythme essentiellement. Le film s'est si brutalement débarrassé de l'intérêt - pas forcément bienveillant - qu'on lui portait jusqu'ici qu'on a peine à le réveiller pour l'épilogue. Celui-ci, par sa netteté, son amertume et par l'intensité que lui donne Marie Gillain, permet enfin de sortir de l'ambivalence qu'énonce son titre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Guillaume Tion
NI POUR, NI CONTRE déçoit, malgré sa maîtrise formelle et l'audace de son démarrage. Les acteurs suivent le mouvement, talentueux mais sans génie, prisonniers eux aussi de cette resucée frenchie des AFFRANCHIS et consorts. Dommage, car le personnage féminin, le twist final et la première demi-heure valent vraiment le coup. Klapisch est passé à côté du grand film.
Première
par Nicolas Schaller
Ici, Klapisch n'a pas à rougir de l'efficacité de son scénario (...), ni de son honorable séquence de casse. Mais il ne faut pas chercher le suspense, l'ambiguïté ou la dimension tagique qui font la richesse du genre dans Les Affranchis ou Le Samouraï, auxquels le réalisateur fait référence.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Bien écrit sans être non plus tout à fait haletant, le film s'impose surtout par l'intelligence de son point de vue, jamais moralisateur ni caricatural.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marc Lalanne
Le cinéaste est encore une fois à son aise dans la blague potache et terriblement maladroit dans l'analyse introspective des forces obscures travaillant les caractères en profondeur.
Les Inrockuptibles
par Alex Masson
Un fantasme de polar mollement rythmé. Pas pour, plutôt contre, malgré quelques bons comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Frédéric Strauss
Plus que de la violence des jeunes, voilà probablement de quoi voulait parler Klapisch : la bêtise crasse que ses personnages ont reçue en partage. La connerie noire qui baigne ce film sombre. Un vaste sujet qui reste, malheureusement, à l'état brut.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cinopsis.com
Une oeuvre toute en subtilité, sur un moule préconçu et parfaitement adapté à l'histoire développée, NI POUR NI CONTRE est une lente et stylisée descente aux enfers, et à n'en pas douter, un film à découvrir.
Aden
Cette entrée en matière efficace (et drôle) fait irrésistiblement penser à Martin Scorsese et à l'ouverture des Affranchis : "Du plus loin que je me souvienne, j'ai toujours voulu être un gangster"... A l'image de cette scène, le film entier est une élégante copie.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Avec Ni pour ni contre..., Klapisch a décidé de s'attaquer au film de genre, au polar qui fit la gloire du cinéma français sous la houlette de Jean-Pierre Melville. Sauf que de noirceur, il n'y en a guère et que c'est plutôt du côté des "nanars" qu'on adore avec la bande à Bebel, le côté voyou sympathique, que le film penche. Un mal ? Non, vu de la sorte, ça fonctionne très bien. On n'oublie pas de saluer la prestation de Simon Abkarian, toujours aussi excellent, ici en vendeur de kebabs et de Zinedine Soualem, très drôle dans la peau d'un chorégraphe pour filles à la jambe légère.
Les Echos
Ni le casse, ni le film du siècle. Mais un solide polar, tout à fait divertissant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
Entre le trait sec de Sur mes lèvres de Jacques Audiard et le grand guignolesque des Rivières pourpres de Kassovitz, le polar de Klapisch ne trouve pas son créneau et se perd dans une forme un peu lâche où la volonté d'amuser et le second degré nuisent à la crédibilité d'ensemble.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
(...) Klapisch aime changer de style, mais est-ce bien raisonnable de le faire en plein film ? On peut en douter, même si l'image est belle et l'interprétation épatante (Vincent Elbaz en tête).
Le Monde
Klapisch cherche secours du côté des Américains contemporains (Tarantino et compagnie), pour en recevoir d'Henri Verneuil, question de rythme essentiellement. Le film s'est si brutalement débarrassé de l'intérêt - pas forcément bienveillant - qu'on lui portait jusqu'ici qu'on a peine à le réveiller pour l'épilogue. Celui-ci, par sa netteté, son amertume et par l'intensité que lui donne Marie Gillain, permet enfin de sortir de l'ambivalence qu'énonce son titre.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
NI POUR, NI CONTRE déçoit, malgré sa maîtrise formelle et l'audace de son démarrage. Les acteurs suivent le mouvement, talentueux mais sans génie, prisonniers eux aussi de cette resucée frenchie des AFFRANCHIS et consorts. Dommage, car le personnage féminin, le twist final et la première demi-heure valent vraiment le coup. Klapisch est passé à côté du grand film.
Première
Ici, Klapisch n'a pas à rougir de l'efficacité de son scénario (...), ni de son honorable séquence de casse. Mais il ne faut pas chercher le suspense, l'ambiguïté ou la dimension tagique qui font la richesse du genre dans Les Affranchis ou Le Samouraï, auxquels le réalisateur fait référence.
TéléCinéObs
Bien écrit sans être non plus tout à fait haletant, le film s'impose surtout par l'intelligence de son point de vue, jamais moralisateur ni caricatural.
Cahiers du Cinéma
Le cinéaste est encore une fois à son aise dans la blague potache et terriblement maladroit dans l'analyse introspective des forces obscures travaillant les caractères en profondeur.
Les Inrockuptibles
Un fantasme de polar mollement rythmé. Pas pour, plutôt contre, malgré quelques bons comédiens.
Télérama
Plus que de la violence des jeunes, voilà probablement de quoi voulait parler Klapisch : la bêtise crasse que ses personnages ont reçue en partage. La connerie noire qui baigne ce film sombre. Un vaste sujet qui reste, malheureusement, à l'état brut.