Avis : Vendredi 13 - Chapitre 2 : le tueur du vendredi - Page 3

Franchement minable. Aucun sursaut, meurtres pourris, scénario franchement encore plus à chier que d'ordinaire, sans oublier Jason, coiffé d'un sac à patates !!! Et oui, c'ets là que l'on voit que les producteurs cherchaient réellement à copier Michael Myers mais qu'ils étaient bien en panne d'inspiration.
La seule étoile que j'attribue à ce film est qu'il y a parfois une amorce de tension (bien qu'automatiquement gâchée par une réalisation brouillonne et faiblarde), et aussi pour le seul plan de l'héroïne se réfugiant dans la maison de Jason, puis celui-ci qui accourt déjà derrière la fenêtre. Ce plan est à la fois le plus effrayant du film et le seul moteur de cette étoile.
Ah et puis j'oubliais, le final : complètement à chier. En bref, au suivant.

Terminée la "surprise" du premier opus mythique, cette suite reprend exactement le même schéma narratif en changeant simplement de tueur. C'est assez mal monté et les personnages sont bien débiles mais Steve Miner nous réserve quelques sursauts tout de même et des mises à mort sympathiques, lorsqu'on les voit ... Bien sûr ça n'a pas très bien vieilli et pas mal de scènes prêtent à rire, en outre le final est totalement bâclé et n'a aucun sens. Bref la nostalgie nous le fait mater de temps en temps mais ce n'est vraiment pas folichon, presque au niveau du premier finalement.

Rien de surprenant pour cette suite hormis le fait de voir le " Jason " aussi immortel qu'un Mickael Myers !! Dès le début on sait comment ca va se passer mais ça fonctionne toujours !! Comme toujours pour ce genre de films, des acteurs médiocres, des belles nanas et tout le monde y passe à la fin !! Un peu plus de moyen que le 1er opus avec des scènes plus violentes et un bon suspense !! A noter une musique angoissante parfaitement dans le ton du film

Cette suite se laisse voir. Scénario identique. Un tueur sévit auprès d'un groupe de jeunes plus nombreux que dans le premier volet. Toujours suggestifs, les meurtres restent original, pour certains. J'ai apprécié les plans, sur certaines séquences. La main du tueur avec un couteau ou les plans avec des cris féminins sans que l'on en voit davantage. Excellente, la décente des marches ! Il y a de très bonnes idées que l'on aimerait voir davantage dans les films d'horreur. Chapeau, le réalisateur, ses plans sont recherchés et nous empêchent l'ennui. On atteint facilement le bout :) Certaines séquences sont même reprises dans des films plus récents, notamment celle de la voiture.

Suite de "Vendredi 13", ce Part 2 reprend presque trait pour trait la trame du premier volet avec les mêmes défauts, qui plus est amplifiés ... Il y a encore moins de surprises, la mère de Jason est donc remplacée par son propre fils revenu des flots de l'Enfer, il va se faire un malin plaisir à tuer un par un ces maudits campeurs venant sur son territoire pour assouvir sa vengeance. Un pur slasher en soit avec des
personnages n'ayant aucun semblant de charisme, le film ne prend même pas la peine de nous attacher un minimum à eux et se font zigouiller successivement dans une monotonie affolante, on ne prend même pas "plaisir" à les voir mourir dans d'atroces souffrances, on s'ennuie profondément. Au passage on a droit à la scène ultra clichée de la nana qui va se baigner nue au milieu de la nuit dans le lac sans aucune raison, tout est du déjà vu, on subit le film jusqu'au bout... De plus Jason n'est même pas effrayant avec son sac à patate sur la tête, il semble même vulnérable, la seule scène qui est un tant soit peu intéressante est celle où ce grand gaillard confond la dernière survivante avec sa mère, j'ai trouvé que ça introduisait un nouveau trait de la personnalité de Jason, la séquence est plutôt bien foutue d'ailleurs. Le long métrage se termine dans un ultime cliché qu'on voit arriver à 4km et on sait tout de suite que la franchise ne va pas s'arrêter là ... "Le Tueur du Vendredi" est une suite décevante d'un film décevant, un slasher sans grande tension ni intérêt, il reste juste à espérer que la saga retrouve un second souffle car elle s'épuise déjà au bout du deuxième opus.

Après "Môman", le fiston revient...avec un sac à patates sur la tête. Et concrètement, il s'en prend plein la tronche... Ce n'est pas encore le Jason au masque de hockey si coriace que la légende a retenu. On ne sait pas trop d'où vient le succès commercial de ce deuxième volet des Vendredi 13, car il est d'une fadeur impressionnante, lui promettant l'oubli total d'ici quelques temps (à la fin du marathon Vendredi 13, il faudra certainement qu'on relise nos notes pour nous en rappeler). Seuls quelques points devraient nous rester bien en mémoire, à commencer par cette BO infernale qui nous fait comprendre que Jason arrive en enchaînant des "tsssss ttt ttt ttt..." épuisants à la centième fois (on comprend à présent pourquoi notre chat nous fuit quand on le lui fait). Le groupe d'ados peu finauds est bien là, les "bouh" qu'ils se font entre eux pour nous faire bondir par la même occasion sont également de la partie (le marqueur d'un film d'épouvante qui ne sait pas comment effrayer), Jason fait plus pitié que peur (surtout dans le final "face à Môman" qui est ridicule), et le twist de la dernière minute est du grand n'importe quoi ( spoiler: les espèces de Sinok des Goonies qui surgissent de derrière le lit pour attraper la fille... Et en fait non, elle l'a rêvé, car elle est devenue maboule, comme la survivante du premier film qu'on voit délirer au début... Et hop, dernier plan incompréhensible sur la tête de Môman avec une petite musique lugubre, pour dire que Jason reviendra, on ne sait pas comment
). Cette fin donne l'impression d'avoir été réfléchie entre la poire et le fromage, par des scénaristes qui n'avaient de toute façon pas grand cas à faire de ce deuxième opus, reprenant à peu de choses près la recette du précédent sans trop se fouler. C'est à eux qu'on devrait faire "tsssss ttt ttt ttt...".

Important pour la série : première apparition de Jason ! . Plutôt bien réalisé. C est le tout début des années 80 et le slasher commence à devenir un genre à lui tout seul . Introduction réussie pour ce personnage qui allait durer très longtemps .

Suite logique du premier (tiens donc, comme Halloween...), la scène d'intro aura au moins inspiré celle d'HOSTEL 2: le rescapé, la cuisine, la tête etc etc.
Ici, Jacky redevient bien Jason (traduction dans les flash back du début refaite!), un tueur bizarrement décris comme étant l'enfant rescapé ayant survécu dans la forêt.
Ici pas encore de masque de Hockey mais le monstre dessoude à nouveau, un drap sur la tête, un centre de formation de moniteurs de colonie de vacances situé à deux pas de celui où lui et sa mère seraient mort. Il voue d'ailleurs un drôle de sanctuaire en hommage à sa mère.
Pas de scénario donc, et on tue sans grande originalité pendant une heure avant d'assister au combat final avec deux mono récalcitrant.
Un film de genre qui reste comme son premier du nom un peu bateau mais efficace par moment.

Suite directe du premier opus où cette fois, Jason entre en scène. Même scénario, même jeu d'acteur bancal. Pour les amateurs du genre. On sursaute de temps à autre et le sang est légion. Du Vendredi 13 en somme!

Après un premier volet qui ne cassait pas des briques, cette suite s'avère bien pauvre. Entre une intro poussive passant 5 bonnes minutes sur des flash-backs de l'épisode précédent, et de nombreuses scènes de remplissages, il y a peu de passages horrifiques. Et ceux-ci utilisent des effets qui conviendraient parfaitement pour illustrer un guide des clichés de teen-slasher (personnages neuneus, musique dissonante, pseudo effets de surprises, etc.). Restent quelques meurtres crapuleux plutôt bien rendus pour l'époque. Etrangement, malgré son look ridicule, le boogeyman Jason Vorhees deviendra par la suite une figure de proue du genre. Heureusement, il laissera tomber le sac de toile pour un masque de hockey.

Sensiblement du même niveau que le premier épisode, même si l'ambiance est un peu moins pesante. Jason (qui cesse enfin de s'appeler Jacky dans la version française) fait un tueur bien plus crédible même s'il a pour l'instant un sac à patates sur la tête en lieu et place de son célèbre masque de hockey et que ses mouvements sont parfois un peu ridicules. Quelques trouvailles sympas : des meurtres brutaux et un inquiétant autel dédié à sa mère.

Pas de suspens inutile, puisque de toute façon c’est sa franchise, le tueur n’est autre que Jason, revenu des morts sans explications, avec un corps adulte musculeux, bien qu’il soit mort à l’âge de 10 ans. À partir du moment où le personnage est identifié comme tel, la saga bascule directement dans le surnaturel. Contrairement à ‘’Friday the 13th’’ qui possédait une touche de réalisme, l’arrivée de Jason met en place le mythe.

Sorte de copie carbone du numéro 1, ce Vendredi 13 est donc aussi drôle, aussi inventif mais malheureusement pas aussi original. Si Sean Cunningham avait inventé le tueur qui tue de plusieurs façons différentes, Steve Miner, qui sortira pas mal de navets ensuites, de Halloween H20 au terriblement ennuyeux Lake Placid, innove encore avec beaucoup moins de meurtres en plein écran, et pas trop de off-screen.

Pour une fois, les deux films se suivent VRAIMENT, avec le personnage de Crazy Ralph en commun. Heureusement, comme dans tout slasher, la scène pré-générique est très "sympathique", bien filmé, et plutôt prenante, qui montre que Steve Miner peut être un bon réalisateur. Il est bon réalisateur sur ce film d'ailleurs. Malheureusement, le film est trop oubliable pour être un vrai bon slasher. Si la saga Jason a commencé par deux bons films, on attend encore le film qui va faire démarrer cette saga.

A noter que c'est le premier film avec Jason Vorhees comme tueur principal et qu'il n'a pas encore son masque de hockey.

Dans l'ensemble, j'ai trouvé le film sympa, l'ambiance Crystal Lake est toujours aussi immersive. Par contre, j'ai trouvé le film assez soft au niveau des meurtres, pas assez trash ni assez osés à mon goût, tout comme le 1er film. Néanmoins, première apparition de Jason, on y voit même son vrai visage cauchemardesque à la fin.

On voit là que le fifils à sa maman a bien été éduqué... Aprés les 9 meurtres de sa mère, c'est Jason qui prend la reléve !!! Pour sa première apparition, il ne fera pas mieux qu'elle: aiguille à tricoter, marteau, machette, poignard, tout y passe...
Cette excellente suite marque bien l'arrivée de Jason.