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Peichan2
52 abonnés
1 431 critiques
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1,0
Publiée le 8 janvier 2009
Film proche du zero par rapport au fait que je me suis ennuyé "j'ai décroché" à une certaine partie pour me raccrocher ensuite et obtenir de la compassion pour cet homme qui a combattu pour le syndicalisme et que ça n'as pas été toujours très facile. Mais je suis toujours pour dire si vous voulez du fric : bossez !
Chacune des composantes de «F.I.S.T.» (USA, 1978) de Norman Jewison converge à en faire un film social, à propension populaire et syndicaliste. Pour preuve, le film retrace la longue intrigue de la création du syndicat jusqu’à sa plus totale corruption. Porté par la personnalité de Sylvester Stallone, il est aisé de discerner le même élan conformiste vers une politique assimilable en France à celle de gauche, au socialisme. Or ce n’est pas un socialisme dans son acception la plus juste, dans sa conception communiste. Stallone, et Jewison à travers lui, met sur pied une idéologie fragile, réduite à ses caractéristiques les plus grossières. Les scénaristes du film eux-mêmes en sont conscients puisque l’évolution du récit emprunte le schéma de la désacralisation. La belle idée du syndicat que Johnny Kovak (Stallone) défend se trouve confrontée à une organisation criminelle et à la rude implacabilité de l’Etat (en la personne du procureur joué par Rod Steiger). Cette conception fragile de l’utopie socialiste replacée dans une Amérique au sortir de la crise de 1929 trouve une application conventionnelle et ultra corsetée par une plastique qui lorgne beaucoup trop du côté de Gordon Willis et de sa photographie de «The Godfather». Cette ambition de faire un film-fleuve (les 140 minutes participe à cette idée d’épopée sociale) destine «F.I.S.T.» à un récit passionnant. Or Jewison, en contrepoint de la petite fougue de Stallone, décline le récit pour mieux se focaliser sur les prestations d’acteurs, dans un de ces films de genre qui crie de toutes parts à l’Oscar. Habitué des stars, Jewison, épaulé de Stallone et Rod Steiger, réussit à faire avec sagacité usage de la matière de ses comédiens. La fiction se contente d’un schéma de l’ascension-décadence, vieille courbe dramaturgique, mis en pratique de façon si académique que même la révolte meurtrière contre un patronat diabolique en reste à la plus ridicule apparence.
J'ai longtemps attendu avant de voir ce film. Je l'attendais vraiment avec impatience car c'est un des seuls Stallone que je n'avais jamais vu. Et j'ai été très déçu. Pourtant l'histoire est bien et originale. La naissance du syndicalisme n'a, à ma mémoire, jamais été abordée. Le début avec les licenciements lance bien le film. Et Stallone est particulièrement charismatique. Mais 2 choses me gênent. Le film va trop loin par moment. En effet, les émeutes entre patrons et syndicalistes est presque parodique. Et le fait qu'il y ait un mort n'est pas un point positif. L'arrivée de la mafia n'est pas terrible non plus. Ils vont trop loin pour faire signer les patrons. Dommage, il aurait pu y avoir une confrontation Stallone/Dennehy avant Rambo. Et la deuxième chose qui me gêne, c'est que part moment, le film est chiant, l'histoire n'avance pas bien vite. Bref un film original mais qui a mal vieilli.
Un très grand film qui parle de lutte pour les ouvriers un film sur le syndicalisme j'ai beaucoup apprécier ce film ou la mafia donne un coup de mains pour aidais le syndicat,
Film poignant montrant la montée d'un simple ouvrier jusqu'aux sommet du patronat sysndicat, tiré d'une gistoire vraie, Sylvester Stallone offre une prestation étincelante, avec un puissant charisme, grâce à un scénario qui ne souffre d'aucun complexe !!!