Mon compte
    La Dolce Vita
    Note moyenne
    4,0
    4420 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur La Dolce Vita ?

    124 critiques spectateurs

    5
    43 critiques
    4
    29 critiques
    3
    23 critiques
    2
    17 critiques
    1
    7 critiques
    0
    5 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 janvier 2008
    Une chronique amer sur la désintégration inévitable de notre société. un film noir, esthétique. Absolument pas démodé en 2008.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 septembre 2009
    Une très grande oeuvre de Federico Fellini, qui prend tout sons sens en étant conscience de l'enjeu d'un tel film pour l'époque. Comme si le réalisateur italien avait prédit à l'avance l'évolution de notre société.
    Noahdu77
    Noahdu77

    3 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 juillet 2013
    "La dolce Vita", récompensé à Cannes ( créant une polémique ), et classé 40ème meilleur film de tous les temps.
    le film raconte l'histoire, d'un homme perdue dans ces amours. Il est journaliste, marié, à une maitresse et est amoureux d'une actrice hollywoodienne.
    Une magnifique scène avec cette dernière, la fontaine.
    C'est un film, long certes mais on a pas le temps de s’ennuyé. Il faut certainement le voir plusieurs fois, pour l'apprécié à sa juste valeur...
    SOMPTUEUX !!!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 31 décembre 2006
    Hmmm! Je ne sais pas vraiment quoi penser de ce film. Qualifié de chef-d'oeuvre, "La Dolce Vita" m'a quand même laissé nager dans une certaine vague d'ennui. Cela dit, quand je regarde ces richards s'amuser dans la décadence et la barbarie la plus totale, je me dis que c'est ça ce que le film essaie de me faire comprendre: à savoir que la vie de riche est tellement étouffante qu'ils se cachent derrière un miroir de fête et de joie de vivre illusoirs. Marcello semble également être un personnage torturé entre l'attraction et la répulsion pour ce monde. On a également le personnage de Steiner et la fin qui nous montre clairement que "La Dolce Vita" est un film qui cache bien son jeu. Je ne peux malheuresement pas dire que ce film m'a accroché comme "Casablanca", mais il y a définitivement beaucoup à gagner en le regardant ne serait-ce qu'une fois. J'ai bien aimé les actrices et aussi ce mélange anglais/italien/français.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 mars 2010
    Au delà du chef d'oeuvre que représente ce film, "La Dolce Vita" marque dans l'histoire du cinéma mondial une étape primordiale. Tout y est magnifié, la beauté de Rome, le jeu léger mais subtil des acteurs (la voluptueuse Anita Ekberg, le charme et l'intelligence de Marcello Mastroianni) et la réalisation magnifique du maëstro Federico Fellini. Ce film peut se voir et se revoir avec toujours autant de plaisir et de découvertes. Un pur chef d'oeuvre du cinéma.
    jghiugyd
    jghiugyd

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 mars 2019
    Pas indispensable pour un "ancien" film Italien et très long. Le thème musical est prenant et à accédé à la postérité.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 27 avril 2010
    Bouais...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 juin 2008
    Immersion dans le Rome fin des années 50 ou un journaliste se colle a la faune local pour ecrire ses articles, presque un film a sketch on suit marcello dans plusieurs histoires et on ressent le grand amour de Fellini pour cette ville chaque vienne la sublimé, un musique et des acteurs parfaits un chef d'oeuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 avril 2013
    L'histoire :

    Marcello ( Marcello Mastroianni ) est chroniqueur mondain dans la presse, il va et vient au gré des différentes fêtes et autres événements de gala réunissant les stars, la petite bourgeoisie italienne, ou encore les innombrables producteurs.

    On suit donc les nombreuses errances d'un homme qui passe de femme en femme, de lit en lit incapable d'espérer une vie stable et construite.

    Des personnages et une réalisation magistrales :

    Palme d'or à Cannes en 1960, Frédérico Fellini sublime la ville de Rome et ses personnages.

    Resplendissant, Marcelo Mastroianni qui va devenir par la suite son acteur fétiche, porte le film sur ses épaules, tout en retenue et minutie dans son interprétation, il joue parfaitement le rôle de ce chroniqueur paumé et terriblement seul.

    En pensant à la Dolce Vita on ne peut que se remémorer la fameuse scène de la fontaine de Trévi où Anita Ekberg ( Sylvia dans le film ), magnifique et délicieuse actrice nous montre tout ses charmes mais également son sens de théâtralité.

    Tous les plans, les cadres sont filmés simplement et esthétiquement, face à la ville de Rome grandiose et superbe.

    Au même titre que le noir et blanc, qui rajoute une certaine touche de charme et de nostalgie quand au pérégrinations de Marcello.

    Le journal d'un homme en perdition dans une ville immense :

    Marcello dispose de tout, il est jeune, beau, à une bonne situation et côtoie les stars de l'époque. Qui ne révérait-pas d'une vie pareille ?

    Et pourtant sa vie ne le satisfait pas, la futilité,la frivolité du monde qui l'entoure le consume petit à petit. C'est la chronique d'un homme incapable de faire un choix, refusant de vivre une vie banale avec sa fiancée mais détestant le monde fantasque du showbizness.

    Un dilemme qui le suit tout le long du film, d'une part avec la vision d'un de ses amis tellement enfermé dans sa vie familiale qu'il en vient à se suicider et d'autre part la vie d'une star représentée par Sylvia ( la sculpturale Anita Ekberg ) malheureuse avec un mari jaloux et quelque peu ivrogne.

    C'est un étrange sentiment de se savoir au bon endroit selon les tabloïds mais ruinant nos propres ambitions personnelles ( dans le film Marcello rêve de littérature et de poésie ).

    Un homme en danger, en perte d'identité :

    Marcello joue un rôle, le rôle qu'on lui a octroyé, un homme qui a réussi, dont tout réussi, qui ne cesse de perdre confiance en lui et en ses propres idées.

    Tellement embrigadé par le système qu'il en perd sa propre identité, il n'est plus qu'un homme à femmes, perdu dans Rome dont le métier est d'épié les moindres faits et gestes des stars.

    Mais surtout, ce n'est plus seulement le système qu'il haït, mais aussi sa propre personne. L'homme qui rêvait d'art et de culture n'est plus qu'une farce de la société qu'il a détesté.

    Vision finale de Marcello, participant à une autre fête, l'homme a atteint son point de non retour, décadent et frisant le ridicule, il cherche par tout les moyens à continuer une soirée pourtant finie .

    spoiler: Comme un signe, une dernière main tendue pour le sauver, une jeune fille rencontrée plus tôt lui demande de venir la rejoindre mais celui-ci feignant de rien entendre préfère continuer sa route de l'autre côté vers ses hypothétiques amis et sa vie outrancière.
    FredGéo
    FredGéo

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 janvier 2024
    Marcello et la société du spectacle en plan large et mouvements de camera. Des orgies aux miracles, ou l'impossibilité permanente d'exister, l'art étant reclus. Seul le clown poéte dénonce.
    Maxime R
    Maxime R

    50 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 mai 2020
    Très beau, mais sans aucun but. Connaître les soirées mondaines italiennes...ok. Mais c'est beaucoup trop long et ça devient vite ennuyant.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Parlons un peu de la Dolce Vita de Fellini. Palme d'or à Cannes. Film polémique, scandales en tout genre, film qui fit de Federico Fellini un des plus grands cinéastes de l'histoire du cinéma. Car Fellini, c'est l'intelligence, c'est une forme d'intellectualisme, mais aussi c'est le peuple dans toute sa pluralité. Et l'on retrouve toute cette force dans La Dolce Vita à travers des destins particuliers, le plus célèbre étant bien sur Marcello Mastroianni qui commença à apparaître alors comme l'alter-ego du cinéaste. Ce film éblouissant et merveilleux est à la frontière entre le fantasme fellinien, magique, souvent burlesque, et le néoréalisme Italien des années 50 de Visconti ou De Sica. Et c'est celà qui fait sa force, sa puissance d'envoûtement. Il ne faut pas voir de véritables caricatures des italiens, mais plutôt un mélange entre l'image fantasmatique de l'Italien et la réalité de l'époque. La douceur de vivre grâce à fellini est d'un esthétiqme magique, plein d'humour et de passions amoureuses. Cinéma qui se donne à nous comme une successions de scènes de la vie de Marcello. Voyage au bout de L'italie, pourrait-on dire. Pour conclure, "La Dolce Vita" est selon moi, une petite perle, immortelle, du cinéma italien.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 juillet 2009
    Anita Ekberg est envoutante, Mastroianni a la classe et Fellini est au sommet de son art. Magnifique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 avril 2013
    Magnifique version restaurée de ce chef-d’œuvre incontestable, à voir et à revoir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 mars 2015
    Alors, évidemment, c'est en noir et blanc et ça plus de cinquante ans... Mais précisément, le cinéma, c'est un ensemble de styles, de préoccupations, de visions des choses qui s'enrichit de décennies en décennies. Peut-être faudrait-il parler de cinéma et de cinéma contemporain? Ce serait prétendre qu'on "faisait mieux avant". Ce n'est pas le but.
    Pourquoi ce film-ci, qui raconte l'histoire d'un jeune journaliste "à sensation", son quotidien lardé entre sa vie maritale mouvementée, ses "enquêtes" journalistiques dont il méprise lui-même le sens, ses soirées, ses nuits, ses petits matins dans lesquels il perd son identité, pourquoi s'agit-il d'un chef-d'oeuvre?
    Ce ne pourrait se limiter au jeu des acteurs, sensationnel, ou à l'oeil de la caméra, dont la mobilité suit le sujet, tantôt proche et intimiste, tantôt lointaine et comme objectiviste, suivant les scènes, avec une justesse désarmante. Ce ne pourrait se limiter non plus sur un scénario qui semble décousu, au point que la plupart des personnages qui gravitent autour de Marcello disparaissent d'une scène à l'autre. Ce scénario, qui est pourtant d'une précision somme toute remarquable: après tout, si l'on devait être suivi par une caméra, dans notre propre vie, nous ne serions pas non plus suivis par les mêmes personnages d'un jour à l'autre, surtout si nous avions une profession comme la sienne.
    Certes, le sujet est un peu démodé, la musique passée, le rythme abstrait, les décors et les lieux disparus aujourd'hui. Pourtant, ils parlent encore, ces endroits: la terrasse du restaurant près de laquelle on se gare den triple file, la plage et son petit restaurant, dans lequel Marcello flirte avec la petite serveuse qui reviendra à la toute fin du film pour tenter de le "sauver", la boîte de nuit où il emmène son père, la maison presque insalubre où il retrouve sa femme, la scène de la nuit finale, grotesque et vide... C'est une Rome multiple, à la limite entre le rêve de Fellini et la réalité toute brute, avec une vision fabuleuse, au centre du film, lorsque l'on retrouve l'épouse de l'écrivain qui vient de se suicider (et a fait bien pire encore), dans le décor d'une banlieue non-finie, parsemée d'immeubles perdus comme des ilôts au milieu de rien, où s'arrête le bus qu'attendent les paparazzi avides d'images intellectuellement obscènes: celles d'une mère et d'une femme qui ne sait pas encore qu'elle a tout perdu et que tente en vain d'abriter de ses collègues un Marcello effondré, mais qui se relèvera dans sa vanité presque aussitôt après.

    Et ces cinq dernières minutes... entre la raie géante, dont le regard semble être celui de Dieu, mort, qui juge les fêtards, et la gamine, ange de dernière minute, qui danse légèrement derrière un pathétique bras de mer, facile à franchir, cherchant à agripper le héros de sa déchéance, dans un pauvre sourire qui sait déjà que tout est consommé... Ah! Ce dernier geste de la main de Marcello...

    Je comprends que certains s'ennuient: ce film ne s'adresse pas à ceux qui viennent voir un film, mais à ceux qui s'interrogent sur le sens de tout ce que nous faisons sur Terre, puisque Dieu est mort...
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top