mélande de Droopy et de Calimero, W.H. Macy nous entraîne dans les coulisses d'un Las Vegas moins paillettes que d'habitude. l'image granuleuse et colorée accompagne idéalement cette fable amoureuse. un bon film découvert un an plus tôt lors du dernier festival de Deauville.
Je m'attendais à un peu mieux, mais ce film est tout de même intéréssant, avec un scénario assez original et intelligent. Même si quelques scènes sont franchement maladroites et que parfois, on s'ennuie un peu, ce film compte tout de même une épatante distribution, avec en tête William H. Macy, impérial. Pas mal, donc.
Un bon polar se situant dans un casino "ancienne école" avec des moments de grace , tout dans la retenue, et un alec baldwin tres bon en patron de casino mi mafieux mi patron tourmenté, un film divertissant sanns prétentions, du tout bon.
tout à fait jubilatoire. Les acteurs sont tous excellents à commencer par William H Macy, acteur mésestimé, quasi-culte dans le milieu du ciné indé' américain, avec son impaybale tronche à la droopy. Mention spéciale également pour Alec Baldwin.
Le cinéma américain a encore quelques perles à nous offrir! En cherchant à retrouver le charme des vieux films (autant pour les films de gangsters que les films d'horreur ou les comédies), Hollywood regagne notre confiance! The Cooler fait partie des incontournables du moment, parfois drôle, des fois dérangeant et souvent émouvant. Tout y est soigné, la photo, la musique jazzy, et la direction d'acteur qui révèle un nouveau Alec Baldwin, charismatique comme jamais, une Maria Bello bouleversante dans un des meilleurs seconds rôles de l'année, et William H. Macy, moins chien battu que d'habitude. A voir absolument, on en ressort heureux et la larmichette à l'oeil!
Le jury de Deauville ne s'y est pas trompé en décernant son prix spécial à ce joli polar à la gloire de la "vieille école" des casinos. Romantique et cruel, noir et rose... ce film joue sur une large palette de registres tout en gardant un tenue très ferme. Un casting savoureux, des rebondissements surprenants mais très discrets, servant non pas à perdre le spectateur comme c'est à la mode ces temps-ci, mais juste à dévoiler l'histoire au fil du temps et des points de vue. A ne pas louper, ce serait dommage.
Excellent premier film. Le casting est irreprochable : Willam H.Macy est encore une fois impeccable en Monsieur Scoumoune paumé, Maria Bello est "Bella" et très bonne, Alec Baldwin joue maintenant de son âge mur et joue le salaud qu'on aime detester. Cela fait longtemps qu'il n'avait pas été aussi bon. La realisation se situe à mi-chemin entre Casino et Leaving Las Vegas et derrière les néons de Vegas se cachent toujours les noirs desseins... un film noir avec des personnages bien dessinés.
CASINO MAIS PAS ROYAL. Bernie la poisse se retrouve amoureux et la chance tourne. Le gros probleme réside dans le déroulement de l'histoire. A aucun moment, on est surpris par son destin et tout s'enchaine comme un film populaire hollywoodien. Tout ce qu'il ne voulait pourtant pas ressembler.
2 étoiles car on voit Maria Bello nue et pas qu'une fois !
Sinon à part ça, le film est d'un ennui mortel : dès le départ je n'ai pas accroché du tout à un gars qui porte la poisse, une histoire d'amour plus nulle, tu meurs...
Lorsque l'on voit le synopsis, on peut se demander comment peut-on faire un film avec une telle histoire. La réponse : très mal. On se croirait dans un Disney : le vilain petit canard ( le porte-poisse ) tombe amoureux de la souillon ( la serveuse ), mais leur amour est impossible à cause du grand méchant loup ( le patron du casino ). J'étais rassuré par la présence de trois grands acteurs, mais malheureusement, ils obéissent aux ordres peu judicieux du réalisateur et enchaînent les clichés les uns après les autres pour notre plus grand déplaisir. L'histoire d'amour est peu crédible et déjà vue. On a droit au quota habituel de scènes de violence et de sexe gratuit confirmant le haut niveau de médiocrité du film. Un conseil : retournez voir Oceans Eleven.