Avis : Allan Quatermain et la cité de l'or perdu - Page 2

Richard Chamberlain reprend le chapeau de l'aventurier Allan Quatermain dans cette suite ayant mauvaise réputation pourtant ce film n'a rien de désastreux et nous offre pendant plus d'1h30 un sympathique spectacle varié et riche en péripéties. L'ensemble se regarde sans ennui et à un scénario tout à fait correct ; c'est juste que lorsque Allan Quatermain avec ses compagnons arrivent dans la Cité de l'or en question que peut-être ce film baisse un petit peu son niveau. Cette suite reprend l'agréable thème musical signé Jerry Goldsmith du 1er film.

Gros nanar,suite d'un misérable navet.....

Tourné en même temps que son prédécesseur, Allan Quatermain et la cité de l'or perdu bénéficie pourtant d'une meilleure qualité, autant sur la réalisation un temps soit peu soignée et moins kitch de Gary Nelson (Le trou noir, Les faucons de la nuit) que sur le scénario beaucoup plus riche et mieux soutenu. À nouveau librement basée sur un roman de H.R. Haggard ("Allan Quatermain", tout simplement), cette nouvelle aventure suit notre héros accompagné de sa fidèle mais énervante épouse Jesse (toujours aussi niaise Sharon Stone) et de deux nouveaux sidekicks : le géant Umslopogaas (très attachant James Earl Jones) et Swarma le pseudo-voyant gaffeur et constamment avide de richesse interprété par Robert Donner (inoubliable Pasteur dans L'homme des hautes plaines). Ensemble, ils vont tenter de retrouver le frère de Quatermain et découvrir par la même occasion la mystérieuse cité d'or, monde utopique contrôlé par le gourou Agon (Henry Silva, un abonné aux rôles de méchants). Cannibales, sbires masqués, guerriers stupides et créatures tropicales sont donc au programme pour une péripétie beaucoup plus attractive, en témoignent cette agréable course-poursuite en descente de rapides ou encore la bataille finale sous la pluie. Si Les mines du roi Salomon était vu comme un joli nanar, ce deuxième opus est quant à lui considéré comme un navet par un bon nombre de cinéphile. Pour ma part, je trouve cette suite très divertissante, assumant pleinement son côté "film d'aventure cheap" bien mené, aux extravagances scénaristiques peut-être poussives mais dont l'ensemble suffit amplement à passer le temps en bonne compagnie.

Tourné simultanément avec son prédécesseur (à savoir, "King Solomon's Mines"), "Allan Quatermain and the Lost City of Gold" sortit pourtant 2 ans après. On y retrouve l'aventurier Allan Quatermain, installé en Afrique avec sa fiancée Jesse. Jusqu'à ce qu'il apprenne que son frère disparu a semble-t-il découvert une cité légendaire ! Il va alors monter une expédition pour le retrouver... Cette suite se veut un poil plus sombre, sans pour autant délaisser l'humour. Richard Chamberlain s'amuse toujours dans le rôle principal, mais les autres personnages sont sous-développés, voire anecdotiques. En particulier, Henry Silva (avec une perruque improbable !) est à peine exploité. Cependant James Earl Jones est imposant en compagnon de route à la hache guerrière. Et pour l'anecdote, le frère de Quatermain est joué par Martin Rabbett, qui n'était autre que le compagnon de Richard Chamberlain à l'époque (!). Le film se veut riche en péripéties, et comme son prédécesseur, propose de nombreux décors & figurants pour une production Cannon. Ainsi, il n'ennuie jamais vraiment, toutefois le manque de punch dans la réalisation, et un dernier acte mou du genou l'alourdissent quelques peu. Sans compter plusieurs trucages qui ont mal vieilli, et des décalques d'Indiana Jones plus visibles que dans l'opus précédent. Enfin, à noter que la BO de Jerry Goldsmith reprend les mêmes partitions que le premier volet, avec ici une utilisation à outrance du thème principal... A l'arrivée, "Allan Quatermain and the Lost City of Gold" n'est pas déplaisant et ne mérite certainement pas sa mauvaise réputation, pour autant ce n'est tout de même pas très glorieux.

Cette suite est toute aussi plaisante que le premier volet. On retrouve donc notre héros aventurier Allan Quatermain (Richard Chamberlain) et sa fiancée Jessie (Sharon Stone). Cette fois ils partent à la recherche du frère d'allan, disparu lors d'une expédition à la recherche d'une ancienne cité remplie d'or. Le duo fonctionne toujours aussi bien, la bande originale de Jerry Goldsmith est toujours aussi percutante. Comme pour le premier, les effets spéciaux ont un peu vieilli mais ce n'est pas gênant. Ça reste un bon film d'aventures grand public.

Allan Quatermain, un film d'aventure qui s'inspire fortement du succès d'Indiana Jones quelques années auparavant, Sharon Stone et Richard Chamberlain ne parviennent pas à donner toute la teneur attendue dans cette aventure. Un scénario de quête symbolique classique et les grosses ficelles du film d'aventure vues et revues. Une réalisation classique qui fait que le film demeure agréable à regarder, malgré les accessoires en mousse, les décors en polystyrène, une afrique approximative et des longueurs. Un petit divertissement qui se regarde avec distance et qui a du mal à conserver le spectateur avec lui.
Un ersatz d'Indiana Jones.

bon film

Suite divertissante de "King Solomon's Mines" où le britannique Jack Lee Thompson laisse place à l'amèricain Gary Nelson pour conter les nouvelles aventures d'Allan Quatermain et de Jessie Huston! De l'action, du spectacle et du suspense où le duo charismatique Richard Chamberlain-Sharon Stone se lance cette fois dans les tènèbres de la jungle à la recherche du petit frère Quatermain et surtout de la Citè de l'Or perdue dans la montagne! Toujours donc prêt à foncer dès qu'il y a une lègende avec ici de nouveaux personnages comme l'imposant Umslopogaas alias James Earl Jones, le porte voix des dieux avec sa grosse hache, Swarma, le maître spirituel et peureux, et le mèchant et très chevelu Henry Silva! D'accord il y a moins d'originalitè et de pèripèties que le premier opus mais au bout du compte, ça fait un joli plaisir de cinèma d'aventures (le sol qui s'ouvre par exemple et dèvore les intrus) car la structure scènaristique n'est jamais ennuyeuse! Et puis le thème musical est toujours aussi entraînant! Dommage qu’Allan Quatermain n’est jamais connu de troisième volet, histoire de faire une trilogie digne de ce nom de cet intrèpide et charismatique aventurier...

Suite du premier volet qui était plutôt réussi, là on surfe nettement sur le filon et on creuse avec ce sous Indiana Jones et le couple glamour et sexy Richard Chamberlain et Sharon Stone. Les moyens sont là, les costumes, décors assez somptueux mais c'est plutôt mal joué, mal réalisé, heurté et sans souffle épique et très kitch. C'est surtout déplorant de naïveté dans les dialogues et situations et donc globalement raté, sans souffle et sans rythme. Ne parlons pas des pseudo effets spéciaux bien cheap. Dommage car on passe à peu de choses du bon divertissement. Sharon Stone est toujours aussi sublime.

Il est des films qui nous ont fait voyager durant notre enfance et qui une fois revu sont de vrais nanards. Tout ici est cliché (du gentil blanc au méchant noir, de la belle blonde aimé du peuple et la brune mauvaise); les acteurs sont terriblement mauvais : une Sharon Stone chiante au possible, Richard Chamberlain n'a pas l'humour ni le charisme de Ford, sans parler des seconds rôles digne d'une série B mal exploités. L'ensemble est jamais crédible. Reste que c'est du pur divertissement (surtout adressé aux enfants je pense, enfin j'espère...) et que ma note ne punira pas le joli decor naturel africain et les quelques bonnes idées (même si pompées) de pièges.

Voila un film d'aventures sans envergure qui essai de réusir en plagiant Indiana Jones...c'et pathétiqe.

Si le premier film était un agréable récit au scénario certes faible mais au rythme trépidant, ce deuxième opus n’est supportable que jusqu’à la moitié de son entreprise. Bénéficiant d’un budget confortable avec de formidables décors naturels et une distribution correcte, il parvient à faire illusion jusqu’au moment où les protagonistes s’approchent de la fameuse cité. Ensuite les affreuses superpositions dans la caverne, les effets spéciaux de pacotille, les bêbêtes en plastique et la bêtise affligeante du scénario finissent par décourager le spectateur le plus tolérant.
Il faut entendre la vacuité des dialogues, il faut voir la bêtise des péripéties, il faut supporter de voir le grand méchant Henry Silva ainsi maltraité avec une perruque hideuse, il faut se taper la musique pétaradante toutes les trois minutes, il faut accepter le pompage du « Temple maudit ». Comment peut-on tourner de telles inepties alors qu’on bénéficie d’un cadre aussi inspirant ? Pourquoi s’entêter à s’encastrer la cervelle dans des scènes où on sait qu’on n’aura jamais les moyens d’être crédibles ? Comment peut-on à ce point manquer d’imagination pour sombrer dans une bêtise aussi affligeante ?
C’est dommage car les personnages sont sympathiques et la première partie du film se suit avec une certaine indulgence. La dernière demi-heure est, en revanche, totalement impardonnable car, poussée à ce degré, la bêtise ne fait même plus rire.

Allan Quatermain, sur le point de se marier voit arrivé un homme blessé qui était parti à l’aventure avec le frère du célèbre aventurier. Inquiet, Allan se lance sur les traces de son petit frère, parti pour la Cité de l’or perdu… Mieux que le précédent, Allan Quatermain et La Cité de l’Or Perdu garde quand même de nombreuses erreurs, identiques au premier. Faux raccords, incohérences dans le scénario, répliques mornes, creuses et sans intérêts. Et pourtant, le film nous captive un peu plus avec une histoire mieux fondée et plus fouillée. On pourrait quand même changer le titre en « La Mauvaise Réplique d’Indiana Jones au Pays des Hippies Écolos ». La musique ressemble à du mauvais John Williams et les costumes laissent franchement à désirer (kitsch et moulant comme pas possible en plus). Les décors, qui ne sont pas faux ou en toc, sont magnifiques mais malheureusement déjà (trop) vus depuis longtemps. Les effets spéciaux qui tuent les gens sont plus marrants que mortels (sauf si on s’étouffe en rigolant) tellement ils sont mal faits et nuls. Encore plus drôle, c’est l’expression et la réaction de ceux qui meurent, parfois une vingtaine de secondes après le temps prévu. Les acteurs principaux ne sont pas non plus à admirer et surtout Sharon Stone, si dynamique et pétillante d’habitude, dans ses débuts qui à l’air de s’ennuyer et qui ne donne rien de sa personne pour l’intégrité de son personnage. La fin est plutôt étrange et on à l’impression qu’ils n’ont pas choisi le bon moment pour arrêter le film. Bien sûr, l’aventure pathétique, l’amour platonique au dessus de toutes choses, les mystères quasi résolus d’avance et l’humour semi-drôle sont encore présents dans ce film à classer dans les catégories « Films pour rire de l’ancien temps » et « Films à voir si il n’y a rien d’autre à la TV ».

C'est un bon film d'aventure mais quand même très loin derrière Indiana Jones. Le scénario n'est pas brillant et le jeu des acteurs est moyen.

Mauvais. Ce film manque d'originalité est n'est qu'une pâle copie d'Indiana Jones avec en plus l'inventivité en moins.