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    Rose bonbon
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    3,3
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    Raph
    Raph

    1 abonné 130 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 octobre 2023
    "Les années lycée !"

    Après “Sixteen Candles”, “Breakfast Club”, et “Weird Science” et juste avant “Ferris Bueller day’s off”, John Hughes le très prolifique cinéaste et scénariste n’en a toujours pas fini avec les frasques et les questionnements de l’adolescence.
    Nous sommes à la fin de l’année 1985, au beau milieu des mandatures de Ronald Reagan aux Etats-Unis. Le pays est fracturé comme jamais, en cause, une politique sauvage d’ultra-libéralisme tous azimuts instaurée par l’administration en place. Le fossé entre la “Middle Class” étasunienne (les fondations du cinéma de Hughes), et la frange la plus aisée du pays, n’a jamais été aussi profond ! Bref, cette rupture sociale servira de socle à “Pretty in Pink” (“Rose Bonbon”, dans la langue de Molière), la nouvelle chronique adolescente de John Hughes qui nous intéresse ici.
    Une fois n’est pas coutume, John Hughes se cantonne à l’écriture et délègue la réalisation à Howard Deutch (“Some Kinds of Wonderful”). Dès les premières images, nous voici plongés au cœur d’une banlieue populaire - pour ne pas dire pauvre - de Chicago. Dans un pavillon quelque peu délabré, nous faisons la connaissance de Andie (la pétillante Molly Ringwald), une lycéenne de 17 ans et de Jack (Harry Dean Stanton), son papa. Howard Deutch nous présente une jeune femme dynamique et romantique qui, entre ses cours, son travail dans l’échoppe de vinyles de la truculente Iona (Annie Potts), trouve le temps de s’occuper de son père - en dépression - depuis le départ de sa mère.
    Accompagnée de Duckie (Jon Cryer, en véritable frère jumeau de Ferris Bueller et en amoureux transi figure récurrente du teen-movie), Andie affronte chaque jour, les quolibets et les dérives verbales des élèves les plus populaires du lycée.
    Tous ces désagréments n’entament pas l’optimisme de cette jeune rêveuse, jusqu’au jour où Blane (Andrew McCarthy), l’un des “riches” de l’école, tombe amoureux d’elle !
    Blane osera même inviter Andie au bal de fin d’année, l’événement le plus en vue, synonyme d’entrée dans l’âge adulte pour toute une génération ! Cette idylle naissante - qui pourrait être magnifique - se verra menacée par la douloureuse réalité de la pression des carcans sociaux. Une pression qui prend le visage de Steff (James Spader), petit bourgeois arrogant et odieux. Celui-ci se trouve être le meilleur ami de Blane et devant la caméra de Howard Deutch, il se pose en figure emblématique de l’inégalité américaine… Durant 1h40’, cette relecture fun et moderne de Roméo et Juliette (certes moins dramatique), réussit l’exploit - en un minimum de temps - le temps d’une fin d’année scolaire dans un lycée américain, véritable microcosme et miroir de la société, de nous questionner sur la place de chacun en ce monde, sur la vie, sur l’amour et sur l’avenir !
    Luuuuuuuuc
    Luuuuuuuuc

    6 abonnés 594 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 juillet 2023
    « Je veux qu’ils voient qu’ils ne m’ont pas démolie. »

    Ne vous fiez pas au résumé fait ici, il reprend, avec 40 ans de retard, les clichés en vogue dans les années '80, époque où on pouvait les tolérer. "Andie est plutôt jolie, gnagna". A vomir.

    Scénarisé et produit par John Hughes, ce Pretty in Pink n’est pas réalisé par lui mais par un directeur de seconde zone, ce qui, hormis quelques découpages hasardeux, ne se voit pas trop : c’est classique mais regardable.

    L’intérêt réel de ce film réside dans certaines interprétations, dont celle de Jon Cryer, infatigable baratineur et showman survolté (la scène du playback d’Otis Redding est d’anthologie). Comme dans 16 Bougies pour Sam, Molly Ringwald, pourtant excellente, se fait ainsi encore voler la vedette par un garçon amoureux d’elle à sens unique ; heureusement, c’est moins parasite que dans le film cité. Harry Dean Stanton, trop rare acteur, étale toute sa palette de sensibilité au fil des scènes plus intimes. James Spader, enfin, dont c’est l’un des premiers rôles, est assez caricatural mais témoigne du talent qui sera le sien. Annie Potts, enfin, donne une réplique déjantée mais adorable en grande sœur par procuration.

    Si le scénario tient en une page et regorge de clichés et de rebondissements ultra prévisibles, il est aussi porté par des dialogues très matures et une conception de la lutte des classes assez intéressante, ainsi que dans le regard porté que une famille monoparentale. Cerise sur le gâteau, il met en scène un personnage féminin comme héroïne, un personnage qui parle à tou·tes.

    Si on se concentre sur le fait que ce film est sorti dans les années ‘80, à destination des adolescents de l’époque, on peut le considérer comme réussi. (Sinon, ça regarde la sociologie.)
    Serpiko77
    Serpiko77

    47 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 mars 2023
    L'histoire est certes un peu mièvre, conventionnelle, voire même peut-être "gnan-gnan", mais il faut impérativement remettre ce film dans son contexte de l'époque, comme la majeur partie de l'œuvre de John Hughes d'ailleurs.
    Tout respire tellement les années 80, l'acting (pas toujours ici au top), les musiques, les habits, les répliques, la poésie, on est loin des teen-movies vulgaires de notre époque.
    Mais malgré toutes ses qualités, il faut reconnaitre que ce n'est pas le meilleur dans son genre et il faut probablement avoir grandit à cette époque pour l'apprécier véritablement.
    Shawn777
    Shawn777

    463 abonnés 3 331 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 janvier 2022
    Ce film, réalisé par Howard Deutch mais surtout écrit par John Hughes et sorti en 1986, ne paye pas de mine mais est plus malin qu'on le croit ! Ce film aux allures de teen movie 80's gentillet et légèrement niais sur les bords nous présente en réalité des thèmes très intéressants ! C'est ici l'histoire de Andie qui tombe amoureuse d'un gosse de riche mais étant donné qu'elle est "pauvre", la relation va être compliquée. Bon voilà, on est ni plus ni moins dans du "Roméo & Juliette" mais avec la lutte des classes en toile de fond, concept que reprendra par ailleurs "Titanic" dix ans plus tard. Même si nous sommes loin de la tragédie Shakespearienne, le film travaille tout de même son scénario qui est par ailleurs beaucoup moins linéaire que ce à quoi on peut s'attendre dans un teen movie classique de l'époque. Tout d'abord, en plus de la lutte des classes, le film met également en place un triangle amoureux avec le meilleur ami de Andie qui est amoureux de cette dernière et qui ne supporte pas de la voir partir dans les bras d'un autre garçon. Sans être transcendant non plus, le concept étant éculé au cinéma, et dans les autres médias culturels en général, cela apporte tout de même plus de matière au scénario et donc à l'ensemble. Le film est également la représentation d'une adolescence plutôt triste et fade. Andie, qui est déjà montrée du doigt de par son statut dans la classe sociale, doit en plus vivre seule avec son père et, d'une certaine manière, remplacer sa mère. C'est ainsi que le film nous montre un personnage déjà très mature pour son jeune âge qui doit littéralement prendre en charge son père en le réveillant le matin, en préparant le petit déjeuné et en le poussant à chercher un boulot. La vie de Duckie n'est pas rose non plus, en plus d'un amour en sens unique auquel il fait face, il vit dans un espèce d'appartement crasseux aux murs tagués et avec un matelas posé au sol. Les riches ne sont pas non plus épargnés, de par leur vie confortable, ils sont avant tout représentés à travers l'absence de modèle parental et existent à travers leur mode de vie matérialiste qui ne leur apporte finalement pas grand-chose. Malgré tout, cela n'empêche pas au film d'accumuler les clichés du genre, comme l'inévitable bal de promo, les personnages stéréotypés et relativement manichéens et puis surtout la fin prévisible mais c'est aussi ce qui en fait le charme. "Rose bonbon" est donc un teen movie très 80's (et d'ailleurs à l'excellente B.O.) mais qui n'est pas aussi simpliste qu'on pourrait le penser.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 430 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juin 2021
    Un film des années 80 vous devez aimer ces années sinon ce n'est pas pour vous. Rose bonbon est l'un des rares films dont la fin est légèrement tordue. J'aime ce film pour de nombreuses raisons Molly Ringwald est la reine des films d'adolescent des années 80. Elle est incontournable dans tous ces films classiques. J'ai aussi aimé le fait que l'on voit apparaître des stars plus tardives comme Kristy Swanson et Gina Gershon. Ni l'une ni l'autre n'avait vraiment de réplique mais elles étaient là alors romance ou pas c'est juste un bon film...
    Romaric44
    Romaric44

    13 abonnés 323 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 octobre 2020
    Ce qu'on peut reprocher à Howard Deutch c'est de traiter les mêmes sujets dans la plupart de ses films des années 80 à savoir les amours impossibles adolescentes.
    Il n'en demeure pas moins qu'on passe un bon moment et que c'est un plaisir de revoir tout ce qui était à la mode alors!!
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 29 juillet 2018
    Après 16 bougies pour Sam et Breakfast Club, Molly Ringwald retrouve John Hughes (ici au scénario, mais ça ne fait pas une grande différence) dans un autre teen movie, cette fois-ci un peu plus proche de la recette qui nous est devenue familière par la suite. On retrouve par exemple les meilleurs amis excentriques, le garçon et la fille que tout oppose, les pestes du lycée, les rendez-vous devant le casier et le bal de promo où tout se joue. Par contre, le rythme n’y est pas encore, on aurait facilement pu couper un bon 1/4 d’heure au montage, mais c’est aussi ce qui donne le côté un peu maladroit et très 80’s. D’ailleurs, on peut difficilement faire plus années 80 que ce film, il vaut mieux le savoir si on est allergique. A part ça (et un ou deux acteurs calamiteux) c’est plutôt sympathique.
    Alasky
    Alasky

    287 abonnés 3 084 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 avril 2017
    Petit film qui vieillit mal mais on a le plaisir de voir la jolie Molly Ringwald et l'excellent Harry Dean Stanton dans le même casting. Sans grande surprise et vite oublié, mais ça se regarde.
    bobmorane63
    bobmorane63

    155 abonnés 1 899 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 décembre 2016
    Un film écrit et produit par le metteur en scène en vogue à ce moment là John Hugues et réalisé par Howard Deutch qui sent bon les années 80 pour son univers des teen-movies à la mode , les looks des personnages et la musique !! Justement la musique, une jeune étudiante pauvre travaille dans un magasin en vendant des 45 Tours et y rencontre un garçon beau gosse et qui est riche, tout le contraire de l'héroine qui, dans les rencards, lui cache qu'elle vient d'un milieu défavorisé de peur d'ètre rejeter, notamment dans les bals et soirées. Un long métrage taillé pour mesure pour son actrice principale Molly Ringwald qui était la muse à l'époque de John Hugues qui se révèle excellente. J'ai bien aimé dans sa globalité "Rose bonbon" mème si ça fait un peu fleur bleue, mais ceux qui ont grandit dans les années 80 y voit ce film comme une nostalgie. On reconnaitra dans les seconds roles Harry Dean Stanton qui joue le père chomeur de l'héroine ou James Spader dans la peau du mauvais garçon. A découvrir.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 091 abonnés 4 219 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 mars 2016
    Ah, les films romantiques pour jeunes qu’à promu John Hughes à une époque déjà lointaine, tout un programme ! Après avoir visionné toute la filmo du réalisateur, il fallait bien que je me lance dans ses productions, et notamment dans ce Rose bonbon, signé d’un petit débutant Howard Deutch. Pas le meilleur film du genre, mais un bon moment romantique, bien qu’on ne trouve pas la patte singulière de Hughes, plus talentueux dans le genre.
    Le film souffre surtout un peu trop de son histoire d’un classicisme assez gênant. Au pire il aurait été bon d’apporter plus de singularité, d’originalité, mais Deutch n’est pas Hughes, et son film apparait aujourd’hui trop banal avec cette histoire d’amour entre riches et pauvres. Alors certes c’est plutôt pêchu, et il y a de la poésie, du charme, parfois une certaine méchanceté aussi, mais il aurait fallu plus d’originalité tout de même, et plus de subtilité aussi.
    Après le métrage peut quand même compter sur son casting. Si les acteurs ont parfois des personnages très caricaturaux (comme James Spader), pour autant la qualité des interprètes est bien là, avec, en tête la toujours sublime Molly Ringwald. Grande spécialiste du genre, elle est aussi belle qu’efficace dans son rôle. Elle est épaulée par Harry Dean Stanton, grand acteur souvent méconnu, tandis que le casting masculin est parfois un poil en retrait, avec Jon Cryer et Andrew McCarthy parfois un peu tièdes.
    Formellement Rose bonbon est, comme l’indique son titre, un métrage coloré, vif, et attrayant. La mise en scène de Deutch est parfois un peu roide, mais le film profite de son ambiance eighties à fond, et la bande son dans le coup donne du peps. Bien sûr c’est l’ambiance lycée, bal de promo typique, mais le film vieilli bien avec une petite touche nostalgie qui fonctionne à merveille.
    Sans être mirobolant, Rose bonbon est un film d’ado sympathique qui saura plaire aux amateurs du genre. Pas le meilleur du genre cependant, malgré la présence lumineuse de Molly Ringwald. Je donne 3.
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 028 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 juin 2014
    Produit par le regrettè John Hughes, "Pretty in Pink" attira l'attention sur Howard Deutch à l'èpoque, cinèaste qui vaut souvent mieux que sa rèputation! L'histoire même superficielle est belle et emporte facilement l'adhèsion en respectant les conventions du genre! Celle d'une ètudiante qui provoque la jalousie de ses condisciples quand elle est invitèe par un riche hèritier! Tout se trouve rèuni pour en faire une comèdie de moeurs typique de la jeunesse amèricaine des 80's! Ce qui compte ici, c'est la façon dont Deutch utilise le conte de fèes moderne pour l'accorder aux sentiments de ses personnages! Parmi l'excellente Molly Ringwald se dètache la prèsence timide de Andrew McCarthy! Une scène suffit pour que le charme agisse telle l'entrèe de Blane dans la boutique des vinyles! Les coiffures, les fringues, la boîte du nuit du coin (« Le Gats »), la B.O (The Psychedelic Furs, INXS, The Smiths, Suzanne Vega...) font le reste et donne un charme lègèrement rètro à l'ensemble! Rèpliques fleur bleue ( « Il est 19h passèes, ne gâche pas ton rouge baiser ! » ) et justesse d'observation d'une ètudiante dèbrouillarde et sensible nous renvoient à la grande tradition du teen movie où l’on prend le temps de flirter, d'hèsiter, de se rèconcilier ou de s'aimer pour la vie au bal de la promo! On reconnaîtra dans les seconds rôles James Spader et même Gina Gershon qui a un petit rôle dans une oeuvre placèe sous le signe de la nostalgie, mais aussi de l'adolescence entre amour et pleurs! "Pretty in Pink" est comme un bonbon arlequin multicolore et finement acidulè, par ailleurs plus digeste que tellement d'autres teen movies d'aujourd'hui aux ingrèdients souvent lourds et vulgaires...
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    252 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 janvier 2014
    Je comprends totalement l’engouement que les trentenaires ont pour John Hughes. Dans les années 80, l’Américain a su parler à ses compatriotes avec d’excellents films comme The Breakfast Club ou Vacation.

    Cependant, vers 1986, le type stagne. En effet, après l’excellent The Breakfast Club et European Vacation, il réalise Weird Science qui est un film plus irritant que drôle et livre un scénario semblable à Seize Bougies Pour Sam à Howard Deutch, Pretty in Pink. On y retrouve donc Molly Ringwald comme d’habitude, mais pas d’Anthony Michael Hall, qui voulait faire autre chose. Bien lui en a pris, tant Pretty in Pink ressemble comme deux gouttes d’eau à ce que Hughes a fait auparavant, mais en moins bien. Le scénario du film est cousu de fil blanc et va totalement à l’encontre de ce que le natif de Lansing a tenté de nous démontrer au cours de sa carrière et se trouve être même détestable dans son dernier acte. Sans concept à la Breakfast Club, le film passe par tous les poncifs du genre, réalisé sans génie par un yes man qui n’a jamais brillé par son talent derrière la caméra et joué par des acteurs qui ne semblent pas concernés. Molly Ringwald et James Spader sont médiocres, Jon Cryer est particulièrement irritant, comme d’habitude, et Harry Dean Stanton apparaît trop peu à l’écran. Pour ce qui est d’Andrew McCarthy, pourtant dans un rôle charnière, il est tellement insignifiant qu’on l’oublie, ce qui est un comble pour un tel rôle.

    Pretty in Pink n’est pas un si mauvais film que ça, certaines scènes sont très réussies et Andrew Dice Clay a plusieurs bonnes scènes en videur d’un bar branché. Mais quand on prend en compte les talents en place, c’est un vrai gâchis, aussi inutile que trop long.
    Jean-philippe N.
    Jean-philippe N.

    104 abonnés 925 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 septembre 2013
    Il faut forcément avoir le goût de la nostalgie pour (re) voir et apprécier ce genre de film en 2013. Devenu culte, me murmure t'on à l'oreille? Pas surprenant, vu le nombre de produits dérivés sortis depuis près de trente ans...
    Akamaru
    Akamaru

    2 807 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 avril 2013
    Un teen-movie forcément emblématique de la jeunesse américaine des années 80 et de l'omniprésence de John Hugues(ici scénariste et producteur)dans le genre. "Rose Bonbon"(1985) a pas mal vieilli sous plusieurs aspects,principalement visuels. Pour certains,ça peut rester un atout... Quoi qu'il en soit,c'est une sorte de conte de fées moderne puisque une lycéenne désargentée et mature va tomber amoureuse d'un riche garçon timide et influençé par son groupe d'amis. Les obstacles sont essentiellement sociaux. Dans l'Amérique Reaganienne qui marginalise les modestes tout en glorifiant les puissants, la naissance d'un tel amour semble condamné. Molly Ringwald,la pétillante rousse avec ses adorables mimiques est parfaite. Pas étonnant que tous les garçons lui tournent autour! Le film est peuplé de personnages excentriques comme une vendeuse de disques frappadingue et aux coiffures extravagantes,ou un meilleur ami habillé comme l'as de pique et adepte de bicross!! La BO est excellement choisie,variée et entraînante et quelques messages sur les premiers émois amoureux nous rappellent forcément des souvenirs. Il manque juste un aspect moins manichéen,et une fin moins consensuelle.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 août 2012
    Un très joli souvenir qui ne me quitte jamais...
    ...
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