Avis : Le Crocodile de la mort - Page 4

j'adore ce film, aussi mal fait et mauvais qu'il en ait l'air. tobe hooper est bien un des rares (avec le massacre à la tronçonneuse certainement plus abouti) à nous convier au spectacle de la violence et de la folie la plus glauque et la plus extrême. tout ici, les scènes interminables, les hurlements à n'en plus finir, comme les improbabilités de scénario, ou la bande-son surchargée, n'est que surenchère volontairement indigeste et nauséeuse. toutes les limites du cinéma d'horreur conventionnel sont franchies, à plus ou moins juste titre. certains trouveront ça trop farfelu, inepte voire carrément imbuvable... d'autres prendront ça comme une peinture d'une vision extrêmement malsaine où le style, naïvement, serait à l'image de ce qu'il cherche à représenter: complètement fou, brouillon, spontané, cru et halluciné. quitte à jouer avec les clichés du genre, embrasser le mauvais goût, et à ne pas se prendre systématiquement au sérieux! une solution paradoxale pour une expérience cinématographique des plus réjouissante!

bouh que c'est nul, j'en ai vu des daubes mais la je suis pres a revoir mon jugement sur ces films tellement celui la est mal tourné, mal joué, a aucun moment on a peur, et on arrive meme pas a rire des moments ridicule tellement c'est mauvais. On m'avait dis que a part massacre a la tronconneuse, ce cher Mr Hooper n'avait rien fait d'exceptionnel, et bien confirmation avec ce film.

Quel ratage ce film ! Intégral. c'est long, le crocodile est à mourir de rire tellemnt le trucage est grotesque. Le scénario est plat .. on ne saura jamais pourquoi le patron de l'hotel est taré, comment le crocodile est arrivé là. Y'a pas un gramme de psychologie, les plans s'enchainent comme des montagnes russes, les décors de studio a base de 3 buissons qui se batent en duel et la musique jouée à la scie..etc . eTc... Bref une étoile et encore je cherche pourquoi ? Ha oui... ça ne dure que 1h20 !

Bon film sordide a l'ambiance jaunie et imprégnée de seconds roles sur le retour et par un psychopate ex-soldat tailladant des rednecks a la faux.

Bref tres glauque et tres bon

Que faut-il retenir de cette oeuvre? Complétement plagié sur l'idée du mythique "Psychose" et renforcé naivement par la présence d'un crocodile en carton, ce film aux effets gores à répétition n'avantage pas son réalisateur. Une série Z navrante et affligeante; Mel Ferrer, Stuart Whitman, Carolyn Jones et Neville Brand ont-ils lu le scénario avant de signer? Pas sur...

Le Crocodile de la Mort fait partie des plus grandes réussites du cinéaste avec Massacre à la Tronçonneuse et Poltergeist. Son ambiance réunie tous le ingrédients pour créer une atmosphère étouffante et donne un côté craspec à l'oeuvre qui procure un réel plaisir. Le film date mais ne perd aucunement de son charme, au contraire. Mais ce qui est très dérangeant, ce n'est pas le crocodile en soit mais le rôle du gérant qui fait froid dans le dos. Là on peut féliciter Tobe Hooper pour ce chef d'oeuvre d'épouvante qui montre une amérique redneck comme on en a rarement vu au cinéma pour être souligné.
Ce film est à découvrir de toute urgence, voici un bijou qui ne perd pas de son éclat malgré le nombre des années tout comme Massacre à la Tronçonneuse.

Un véritable bijou d'horreur malsaine, comme seul Tobe Hooper a su le pondre à cette époque, après la révolution TEXAS CHAINSAW MASSACRE. LE CROCODILE DE LA MORT (titre VF quelque peu ridicule, préférons-lui l'original, EATEN ALIVE) est d'autant plus dérangeant qu'il n'hésite pas une seconde, au contraire de l'oeuvre-culte précédente, à verser dans l'hémoglobine. Mais ce qui prime, c'est avant tout l'esthétisme du film, d'où emane une photographie variant entre les tons verdâtres et orangeâtres, d'un rare stylisme, visuellement parlant. L'ambiance s'avère bien évidemment étouffante, malgré ses accents grand-guignolesques, voire lyriques, prenant pour décor ce motel sordide perdu dans les marais, lieu quasi clos, avec une BO stridente au possible à l'appui. Le fait que Hooper se refuse à révéler les profondeurs de la mare où vit le crocodile apporte une fascination toute inattendue à nos yeux: qu'est-ce qu'il peut bien y avoir, là en-dessous ? Telle est la question que je me suis posée, tant la manière dont le réalisateur suggère ce détail m'a saisi, marqué, presque bouleversé. EATEN ALIVE ou un bon grand brut de décoffrage, n'ayant sans doute rien à envier à la précédente oeuvre-culte du même auteur, l'inénarrable TEXAS CHAINSAW MASSACRE. Ah, qu'il était beau, le temps de l'horreur 70's !

J’ai beau faire l’effort de le remettre dans le contexte des années 70 en mettant de côté le fait que le film a dû prendre un sacré coup de vieux… J’étais près à être complaisant. Eh bien, non ! Il est dit que le ridicule ne tue pas. Fort heureusement !
L’hôtel miteux n’est vraiment pas crédible pour attirer une clientèle, quelle qu’elle soit, le croco est boulimique mais s’en sort bien, car il n’a pas de dialogue, la gamine est forte en gueule, l’éclairage rouge est aussi naturel qu’une pêche à la baleine sur la Seine, et la jambe de bois court plus vite que les victimes. La cerise sur le gâteau, c'est qu'il a été sacré Grand Prix du Festival du Film Fantastique de Paris en 78. Faut croire qu'il n'y avait rien d'autre...

j ador se film comme son realisateur qui a creé THE TEXAS CHAINSAW MASSACRE super photographie quand on sait que se film a été tourné dans un studio super bruitage des marrais c est bien gloque avec la lumiere passant de rouge a bleu et des acteurs secondaires geniaux tel que (robert englund le celebre freddy mais aussi marylin burns qui avait le role de sally le role principal de MASSACRE A LA TRONCONNEUSE 1974 et la petite angie qui aura le role de lyndsay 2 an plus tard dans halloween) et la proprietaire completement malade le crocodile qui renforce les dangers de l hotel starlight bref super

Je suis relativement bon public mais là c'est absolument sans intérêt... Le film est surement à regarder au 36e dégré mais franchement c'est à mourir de rire (c'est déjà ça). Acteurs minables, ambiance minable, crocodile en carton,... allez vite à oublier !