Avis sur Anthropophage Holocaust

Du bis de chez bis à la rital. Honnêtement si on aime le genre cet Anthropophage Holocaust s'apprécie pour son côté gore et les scènes dénudées de la blonde Alexandra Delli Colli. Plutôt sympa à voir, le film parvient par moment à être inquiétant et d'autres il est involontairement comique.

Le slogan de ce film d'horreur à l’italienne est sans appel: "Rien ne peut les blesser...rien ne peut les tuer..." où l'histoire est dèjà tout un programme! Passons le scènario dèbile pour se concentrer uniquement sur les scènes gores digne d'une boucherie dont Frank Martin s'ingènie à repiquer les bonnes vieilles recettes des zombies de Romero ou de Fulci mais se casse la figure faute de dollars (la première partie est pourtant tournè dans un New York gris et pluvieux), de dialogues faussement hilarants, de personnages aussi dingos les uns que les autres (mention aux cannibales et au savant fou Donald O'Brien) et aussi d'effets spèciaux très fauchès digne de Ed Wood. Jr! Voir par exemple ce pauvre homme perdre son bras, uniquement parce qu’il a plongè d’un immeuble, en devient rapidement comique! En revanche, certaines scènes gores demeurent impressionnantes avec un ètalage de tripes et d'intestins, d'arrachage de yeux et de coeur assez vomitifs! Bon appètit si vous passez à table car le menu de "Anthropophage Holocaust" consiste uniquement à manger de la chair humaine fraîche et bien saignante...

Le mélange de zombie et cannibale est une bonne idée mais quand on voit les zombies euh...bof bof mais cependant le film reste correct, on retrouve des zombie qui nous font legerement penser aux zombie de "L'enfer des zombie" de Lucio Fuci, et qui n'est pas trop mauvais, on apprecie les scenes gores et inoubliables (arrachement d' oeil a main nue, empalement, eventration, déchiquetage de tête avec un moteur de bateau ect...) mais quant a l'histoire elle reste moyen, les son sont mauvais, les jeux d'acteurs correct mais pas génial, je dirais plus que c'est un film de cannibale qu'un film de zombie car on voit très peu ces derniers durant le film. En tout cas on peu passer un bon moment a visionner les scenes du film mais après on peu dire qu'on s'ennuie un petit peu jusqu'à la prochaine scène. Un film italien qui reste bon mais qui aurait pu etre plus mouvementé et plus divertissant. 3/5

La scène de l'homme mannequin qui se jette par la fenêtre et perd sont bras m'a bien fait rire (dédicace à gore13). Choquant car c'est sur cette séquence que débute la bande annonce. La main prédécoupée prête à être coupée par un acteur maladroit est excellente.
Et cette femme, Lorie m'a rendu passionné . Voila. Un gros navet. -----Aout 2012-----

On meurt littéralement de rire devant tant de bêtises, de clichés et de racisme.
Un nanar absolument magnifique.
Mention spécial à la fin du film qui visiblement n'a pas été retenue au montage !

Surfant sur le succès de film tels que Cannibal Holocaust, La Montagne du dieu cannibale ou L'enfer des zombies, ce nanard italien de 1980 vaut bien son pesant de cacahouètes !
Filmé avec le pied gauche, bourré de faux raccords minables et joué par des acteurs qui n'en croient pas leur yeux d'avoir signé pour un tel navet et pourtant...
De ce joyeux bordel, de cette avalanche de tripaille et d'asticots, de ce plagiat permanent et de ce comique involontaire s'échappent une certaine énergie, une vraie gaité qui sauvent le film du naufrage total. Alors évidemment, c'est à réserver aux purs amateurs de Z gore mais, pour peu que vous regardiez au second degré, ce film tourné au premier degré, avec son quota de boyau et de nichons et son exotisme de bazar devrait vous assurer une bonne poilade.
La scène de peinture corporelle façon Ursula Andress dans La montagne du dieu cannibale mais en plus "flower power" est à se faire pipi dessus ! Admirez le maquillage Ziggy Stardust du cannibale ! lol

Zombie Holocaust produit par Fabrizio De Angelis, le producteur de Lucio Fulci durant une courte période (L'au-delà, L'enfer des zombies, La maison près du cimetiere,...), est un film de seconde zone fort sympathique pour qui aime le gore.
Même si les zombies sont trop peu présents à l'écran, le gore est présent avec des scènes de cannibalisme assez crades: empalements, énucléations, éventrations,... Cela dit, il y a aussi un zombie qui se fait déchirer la gueule avec un moteur de bateau !!! A part les zombies et les cannibales, il y a aussi Donald O'Brien dans le rôle d'un médecin sadique qui ira jusqu'à scalper et couper la glotte d'une fille (pour la faire taire): une scène particulièrement marquante.
Si je mets deux étoiles, c'est à cause de la ringardise de l'interpétation et du fait de quelques effets spéciaux ratés (Un mannequin, censé représenté un homme, laché d'une fenêtre perd un bras en touchant le sol). A part ça, j'ai passé un bon moment et plutôt apprécié ce film !!!

Il n'y a que deux choses qui font que l'on gardera un vague souvenir de ce «Anthropophage Holocaust». Première on retrouve le mot holocaust dans le titre et deuxièmement car il est sorti en France le même jour que le célèbre et très controversé «Cannibal Holocaust» de Ruggero Deoddato. A part ça, il n'y a rien à retenir de cette production bis (voire Z) italienne. Ah si, j'oubliais un détail, ce film présente tout de même une petite originalité: celle de mettre en scène des cannibales et des zombies. Autrement, tout est à jeter, à commencer par un scénario qui respire la débilité, des acteurs bidons, inexpressifs et qui ont autant de charisme qu'une feuille de laitue et une mise en scène désolante mais il parait que Marino Girolami est réputé pour être un tâcheron. Au menu: beaucoup de médiocrité et quelques scènes gores, rien de plus. Les zombies, quant à eux ne sont pas trop mal foutus mais sont trop peu présents. Allez hop, à la poubelle et fissa.

Ce film, quelque soit son titre (je l’ai vu sous celui d’Anthropophage Holocaust) reste tout de même du très gros bis qui tache, et même si l’ensemble se laisser regarder, il ne faut vraiment être regardant sur rien.
D’abord les acteurs sont loin d’être mémorables. Aucun d’entre eux ne parvient à retenir outre mesure l’attention, sauf peut-être, curieusement, le prof dans la première partie, qui m’a mémorablement marqué, en faisant pourtant pas grand-chose. Alexandra Delli Colli se dessape, certes, mais cela ne fait pas d’elle une actrice de grande qualité. Dakar dans le rôle de Molotto ne s’en tire pas trop mal, mais là encore il s’agit d’un personnage secondaire qui ne parvient pas à rattraper un héros principal bien fade (Ian McCulloch) et un méchant de service premier prix en la personne de Donald O’Brien. En clair rien de bien fameux.
Le scénario est lénifiant. Le début est particulièrement improbable et débile. Non mais franchement, parce qu’il y a des vols de morceaux de cadavres dans une morgue, une poignée d’individus improbables décident de partir en expédition au milieu de la jungle des Moluques ? C’est juste incroyable, et en plus la manière dont ils parviennent à leur conclusion est hilarante. La suite n’est guère mieux, ajoutant des espèces de pseudo-zombis sans intérêt, proposant une histoire de cannibales à des années lumières de la force de Cannibal Holocaust (voir de Cannibal Ferox), et piochant énormément vers l’Enfer des Zombis de Fulci (plus que perceptible sur la fin). Reste un rythme correct et une durée courte qui évite l’ennui (bien aidé cependant par un coté franchement nanar qui le rend assez amusant).
Visuellement c’est du bis italien de dernière zone, au même niveau qu’un Bruno Mattei de derrière les fagots. La mise en scène est plus que ric-rac. Le réalisateur n’arrive jamais à créer d’ambiance, il sabote la plupart de ses scènes de tension en les rendant plus comiques qu’autre chose (les morts en général sont bien ratées) et dans l’ensemble c’est tout de même très fade. La photographie et les décors sont du même acabit, avec un film qui sent le petit budget, et malheureusement n’a pas du tout l’exotisme de ses rivaux dans le registre cannibale. La forêt dans la deuxième partie n’a rien de l’enfer vert de Cannibal Holocaust ou Ferox, pour reprendre ces deux exemples. A cela s’ajoute des maquillages bien foireux, des effets horrifiques souvent risibles, bien que le faux sang est belle allure (mais bon le reste ne suivant pas, dur de prendre les scènes au sérieux), et quelques passages qui feront en effet sourire (le mannequin qui perd son bras est tout de même assez exceptionnel). La bande son est elle aussi assez faible, voir même assez pénible à écouter parfois (en la matière l’introduction donne une mauvaise impression).
Je conclurai donc sur ce film en disant qu’il s’agit d’un bien faible métrage, qui reste tout de même bien médiocre. Certes il amuse mais malgré lui, et quoiqu’on en dise il n’offre ni de bons jeux d’acteurs, ni une histoire structurée (et en plus elle est pompée de ci de là), ni un aspect visuel et technique en mesure de rattraper ces défauts. En dehors du fait qu’il n’est pas trop indigeste, je ne vois pas trop qu’elles sont les qualités que l’on peut trouver à Anthropophage Holocaust, qui ressemble beaucoup à une série Z estampillée Mattei. 1.

Moué...je m'attendais a quelque chose d'un peu plus marrant; des zombies contre des cannibales ! Mais malheureusement on se fait vraiment chier durant la première partie et la deuxième n'a rien d'extraordinaire...même si quelques scènes gores sont assez sympathique !

Nanar parmi les nanars, ce film à un mérite: faire rire (à ses dépens). Les effets spéciaux sont minables (coucou le mannequin jeté par la fenêtre), l'histoire n'a ni queue ni tête et bien entendu on a droit à un peu de nudité féminine totalement gratuite. Le film est mauvais mais au moins sa médiocrité est distrayante. C'est toujours mieux que rien.

Série Z à l'italienne surfant sur le succès de l'enfer des zombies et cannibal holocaust. Le problème dans ce film c'est que tout est raté, l'interprétation est d'une nullité rarement atteinte, je pense notamment a la scene de l'empalement ou le chinois se fait bouffer les intestins en clignant des yeux tranquillement. Certes quelques fx sont à peu près réussis pour l'époque mais le coup du mannequin qui perd le bras il fallait oser. Et mallheureusement on ne voit les zombies que quelques minutes et ils ne font pa peur une seconde. A voir donc au 10e degré si vous voulez vous marrer.

Un film bien pour se marrer, car il faut l'avouer, zombie holocaust est un nanar. Dès le générique de début, une musique répétitive et particulièrement pourrie sur des plans totalement illisibles d'une ville la nuit, on s'en doute. L'interprétation laisse à désirer et dès les premières scènes on a le doirt à des effets gores bien crades mais ratés (quand un cadavre se fait ouvrir le ventre à la morgue, les ventres changent sur à peu près chaque plan et prennent, soudainement, une allure de caoutchouc), et des dialogues hilarants. Ensuite, quand les héros partent sur l'île aux zombies et aux cannibales, là ça devient du grand art. Plans en caméra portés qui font très mauvais effets (autant dans zombie Holocaust ça servait une ambiance, volontairement ou non, mais là c'est juste horrible), et scènes de meurtres très drôles. Vous pourrez observer un mec qui se fait empaler puis manger les intestins, toujours vivant bien sûr, et qui semblent n'en avoir strictement rien à cirer tellement l'acteur joue bien. Enfin, je ne vais pas citer toutes les incohérences et fautes du film, mais on ne peut lui enlever ses scènes gores à souhait, donc quelques unes sont réussies et particulièrement vomitives. Je remarque aussi que, dans une démarche purement commerciale, l'héroïne se met nue à à peu près chaque occasion, et que même si ses "streap tease" peu excitants n'ont aucun rapport avec le reste du film, le réalisateur ne loupe pas une occasion de les montrer. Enfin bref, si vous aimez le grand cinéma fait avec une grande attention et une véritable passion dans ce moyen d'expression, Zombie Holocaust est fait pour vous!