Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Marie-Anne Guerin
Ce film donne une version à la fois désolée, précise, violente et impuissante de l'amour de Pedro Costa pour le cinéma des Straub.
Le Monde
par Jean-François Rauger
La beauté du film de Pedro Costa réside aussi dans sa propre gaieté. Les Straub deviennent les personnages d'une comédie conjugale particulière, qui dessine une relation singulière et vivante, un peu théâtrale, dans l'accomplissement malgré tout joyeux d'une tâche noble et précise.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
(...) cette "comédie du remontage" se calque sur la persévérance des cinéastes pour, dans la durée, faire émerger une forme, un sourire dans des yeux, et soulever la véritable nature de l'émotion cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Pedro Costa, plus que quiconque, est probablement sensible à ce discours, lui qui se lève tous les matins pour aller filmer la ruine du quartier le plus déshérité de sa ville, qui le fait en dehors de tout souci de rentabilité, mais par fidélité à une idée, à une morale, à des gens sans protection qu'il a vus et qu'il ne saurait désormais être question pour lui de ne plus regarder. Et puis, Costa a découvert les Straub en même temps que le punk rock. Dans son esprit, c'était et ça reste la même chose.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Au final, Pedro Costa a réalisé un documentaire assez hermétique et sombre, qui ne doit pas forcément être pris pour une leçon de cinéma mais pour un portrait de cinéastes singuliers, le temps d'une visite entre amis.
Télérama
par Jacques Morice
N'empêche, à les voir ainsi façonner au millimètre près l'image et le son comme des sculpteurs ou des géomètres, on s'explique mieux comment leur cinéma de mots forgés peut atteindre une telle densité de pierre. Pour inconditionnels seulement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Marion L'Hour
On admire la minutie et la patience, tant du couple mis en scène que des courageux spectateurs.
AlloCiné
Cahiers du Cinéma
Ce film donne une version à la fois désolée, précise, violente et impuissante de l'amour de Pedro Costa pour le cinéma des Straub.
Le Monde
La beauté du film de Pedro Costa réside aussi dans sa propre gaieté. Les Straub deviennent les personnages d'une comédie conjugale particulière, qui dessine une relation singulière et vivante, un peu théâtrale, dans l'accomplissement malgré tout joyeux d'une tâche noble et précise.
Les Inrockuptibles
(...) cette "comédie du remontage" se calque sur la persévérance des cinéastes pour, dans la durée, faire émerger une forme, un sourire dans des yeux, et soulever la véritable nature de l'émotion cinématographique.
Libération
Pedro Costa, plus que quiconque, est probablement sensible à ce discours, lui qui se lève tous les matins pour aller filmer la ruine du quartier le plus déshérité de sa ville, qui le fait en dehors de tout souci de rentabilité, mais par fidélité à une idée, à une morale, à des gens sans protection qu'il a vus et qu'il ne saurait désormais être question pour lui de ne plus regarder. Et puis, Costa a découvert les Straub en même temps que le punk rock. Dans son esprit, c'était et ça reste la même chose.
MCinéma.com
Au final, Pedro Costa a réalisé un documentaire assez hermétique et sombre, qui ne doit pas forcément être pris pour une leçon de cinéma mais pour un portrait de cinéastes singuliers, le temps d'une visite entre amis.
Télérama
N'empêche, à les voir ainsi façonner au millimètre près l'image et le son comme des sculpteurs ou des géomètres, on s'explique mieux comment leur cinéma de mots forgés peut atteindre une telle densité de pierre. Pour inconditionnels seulement.
Zurban
On admire la minutie et la patience, tant du couple mis en scène que des courageux spectateurs.