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    La Reine vierge
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    3,1
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    4 critiques spectateurs

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    chrischambers86
    chrischambers86

    11 908 abonnés 12 156 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 décembre 2012
    Cette èvocation d'Elisabeth Ire d’Angleterre, rèalisèe par George Sidney en 1953, n'en demeure pas moins un film passionnant à suivre! Son père Henri VIII (Charles Laughton dont on se demande s'il n'ètait pas Roi d'Angleterre dans une autre vie), l'appelait sa jeune Bess! Sa mère, Anne Boleyn, pèrit sous la hache du bourreau! Nèe à une èpoque où les têtes tombaient comme des mouches, elle survècut, fait extraordinaire! Et devint en outre une grande reine, vèritable miracle! il fallait tout le talent de la belle Jean Simmons pour incarner avec talent cette reine à l'ècran! C'est simple, il n'a d'yeux que pour elle et donne du fil à retordre pour le spectateur qui ne se plaint pas du charmant spectacle! Le reste de la distribution est prestigieuse (le sèduisant Stewart Granger, Deborah Kerr en èpouse du sinistre Henry VIII...) et la reconstitution de l'èpoque rèussie parce que soignèe! Sidney, très à l'aise dans le genre, signe au final un beau film historique dont la version française est tout à fait honorable...
    loulou451
    loulou451

    105 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 juin 2013
    Film historique typique des années cinquante, la "Reine Vierge" n'en reste pas moins une oeuvre forte dans la carrière de George Sidney qui signa ce film dans la foulée de son chef-d'oeuvre "Scaramouche". On retrouve d'ailleurs ici son acteur fétiche : Stewart Granger, qui campe le fameux amiral Seymour, frère de la défunte épouse du roi Henry VIII. Avec Jean Simmons (Elisabeth), Deborah Kerr et Charles Laughton au casting, on pouvait alors faire rarement mieux à l'époque. Quel casting ! Du coup, cette "Reine Vierge", certes très romancée, n'en retrouve pas moins une réelle épaisseur. Le scénario est soigné, l'histoire certes simplifiée mais respectueuse des grandes lignes, les dialogues plutôt bien menés et la mise en scène solide. Que demander de plus ? Tant de films d'aujourd'hui souffrent d'une absence cruelle de scénarios...
    Plume231
    Plume231

    3 464 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 septembre 2011
    Une vision de la Cour des règnes d'Henry VIII et d'Edward VI qui ressemble plus à la Bande à Basile qu'à une quelconque vision ne serait-ce un minimum crédible de cette partie de l'histoire d'Angleterre. Le casting est prestigieux mais pas étincelant. Stewart Granger se contente ici de ressortir son plus beau sourire colgate, Charles Laughton de reprendre vingt ans après le film de Korda avec le minimum syndical le rôle du monarque coupeur de têtes aux six épouses et Jean Simmons est toute mimi mais le problème c'est justement cela car elle était beaucoup trop belle pour le rôle de la future "Reine vierge". Bon les décors, les costumes (complètement anachroniques au passage !!!) et la photo sont jolis. On ne peut pas enlever cela à ce film en costumes en panne sèche de conviction.
    Cocobusiness
    Cocobusiness

    11 abonnés 382 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 septembre 2008
    La Reine Vierge, 1953, de Georges Sidney, avec Jean Simmons, Stewart Granger, Charles Laughton et Deborah Kerr. Film historique, très « daté », ce qui n’est pas bien grave, puisque l’histoire de « Young Bess » (titre original) est celle, très romancée, de la Reine Elizabeth 1ère, en plein XVIè siècle. Lorsqu’elle accède au trône, qui ne lui était pas du tout destiné, à 25 ans, en 1558, sa gouvernante et l’intendant, revoient le passé, depuis la petite enfance de Bess, avec les différents mariages de son père, le terrible roi Henri VIII d’Angleterre (qui faisaient régulièrement exécuter ses épouses, dont Anne de Boleyn, la mère d’Elizabeth), les intrigues de cours et la passion de l’adolescente pour Thomas Seymour, amiral de la flotte. Ce dernier est envoyé à l’échafaud par son propre frère, qui dirige le conseil de régence du jeune roi Edouard, fils de Catherine Parr. La légende veut que, parce qu’elle ne put sauver son grand amour, Elizabeth lui resta fidèle, d’où, la virginité. Passionnant, en grande partie grâce aux qualités de l’interprétation.
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