Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Uchroniqueur
191 abonnés
2 491 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 18 juin 2022
"Vacances à Paris", comédie américaine réalisée par Blake Edwards (Le réalisateur de La Panthère rose), sortie en 1958. Une comédie romantique très sympathique, avec Tony Curtis, Un film bien réalisé. Le plaisir de voir un bon "vieux film".
15 069 abonnés
12 713 critiques
Suivre son activité
3,0
Publiée le 20 juillet 2019
On reconnaît bien là le coup de patte du regrettè Blake Edwards dans les scènes comiques! Dans "The Perfect Furlough", Tony Curtis incarne l'un des G.I qui sera tirè au sort parmi les 400 soldats amèricains d'une base situèe au Pôle Nord pour aller passer trois semaines de rêve à Paris avec une actrice de cinèma aussi patriote que les autres stars! Ce ne sont pas des soldats ordinaires que l'on voit ici mais des savants qui attendent la gorge serrèe le tirage au sort libèrateur! Une permission idèale pour un caporal (Curtis, ègal à sa rèputation) qui rend ce vaudeville très agrèable à suivre! C'est quand même criminel de maintenir un homme comme lui dans un endroit aussi glacial! Dans le rôle du lieutenant psychologue, Janet Leigh ajoute un charme certain à l'histoire qui se finira bien entendu par un mariage! Et devinez quel chanceux èpousera la belle Janet ? Tournage en Technicolor et en Scope pour compenser le fait que bien que le film de Edwards se dèroule à Paris, la production ne quitte en fait jamais la Californie! Amusant...
Une comédie américaine insolente qui part en vaudeville sur la fin, pas forcément exceptionnelle mais avec toutefois de nombreux moments de grâce. Dommage qu'une morale hollywoodienne règne dans le film, en atténuant la force, mais dans l'ensemble on passe un bon moment. On n'échappe bien sûr pas aux clichés sur les français, ce qui pour nous français justement, est assez drôle.
Le film est agréable à regarder ne serait-ce que pour le glamour de ses deux interprètes principaux mariés à la ville : Tony Curtis et Janet Leigh.Toutefois que de scènes aujourd'hui peu crédibles : des soldats américains confinés au Pôle Nord,censés être heureux de savoir que l'un des leurs va passer du bon temps à Paris trois semaines durant,un coureur de jupons patenté qui renonce à conquérir la belle(star argentine) quand il apprend qu'elle est mariée,des Français en pagaille qui parlent anglais en 1958,notamment un fils vigneron qui traduit tout à son père joué par Marcel Dalio(lui même avait joué à Hollywood!). Nonobstant les clichés sur la France,le puritanisme américain de l'époque et le code moral hollywoodien, l'ensemble se laisse voir avec un certain plaisir du fait d'un rythme maintenu, de personnages pittoresques et d'une intrigue bien menée.Blake Edwards dont c'était un des premiers films a fait mieux ensuite:Opération jupons,Diamants sur canapé, La panthère rose,Victor Victoria entre autres.
Une bien romantique comédie toute en clichés et humour satironique de l'ami Blake Edwards. C'est son troisième long métrage et le 2eme avec Tony Curtis (Mister Cory 1957) avec lequel il continuera à collaborer dans de nombreuses autres turbulentes aventures (Opération Peticoat, The Great Race...). On y retrouve Janet Leight avant qu'elle ne tombe sous le charme d'Omar Chariff dans Top Secret (1973) dans la filmographie de Blake... alors qu'elle était la femme dans la vraie vie de... Tony Curtis !
Pour cette permission idéale, à l’instar de Gene Kelly, il va rejoindre une sorte de Miss Tourniquet rigolote et quelque peu écervelée. Janet Leigh n’étant pas ce personnage, on devine vers qui les sentiments du héros vont se diriger!!!! C’est spirituel et tout à fait charmant. Ça fait plaisir de voir un Blake Edwards aussi fin. J’adore cette tirade dans la dernière partie. L’actrice attend un enfant. Et son manager accuse sa dame de compagnie de ne pas l’avoir surveillée. -mademoiselle c’est vous seule qui en êtes responsable -oh. Personne au monde ne voudra le croire!!!!!!!!!!!
Un vaudeville dont jamais personne du tournage n'aura vu Paris, le film ayant été tourné en studios et en Californie : Pas plus que Curtis n'était caporal dans l'armée de l'air : il était aérodromophobe, c'est à dire qu'il avait la trouille de l'avion ! Et le lieutenant en jupons qui le chaperonne, c'est sa vraie femme dans la vie ! Un scénario gnan-gnan à l'eau de rose cousu de fil blanc pour asseoir la réputation de Tony Curtis comme play-boy patenté, mais avec la pudibonderie exacerbée de la censure américain : les audaces sexuelles n'allaient pas bien loin, pas plus que ce récit qui ne tiendrait plus l'affiche (et le septième ciel) de nos jours.. Je n'ai donc pas aimé cette histoire pantouflarde qui ne présente plus aucun intérêt de nos jours, si ce n'est que sa valeur patrimoniale : montrer de quoi nos aïeux devaient se contenter sur les écrans dans les 50 th... Pilules de navigation aérienne non nécessaires ! Arte le -