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    La Fièvre d'aimer
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    7 critiques spectateurs

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    chrischambers86
    chrischambers86

    11 958 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 avril 2009
    Comme bien des couples rèunis par le hasard et le dèsespoir, ils ne parlent pas cher de l'avenir! Age, religion, classe sociale, tout sèpare le triste veuf au visage d'ange et la serveuse quadragènaire qui a perdu toute illusion sur la vie mais refuse de se laisser aller! Pourtant, au grand dam de son milieu, le chaste yuppie intello que campe James Spader tombe amoureux aux moeurs lègères et sans culture qui n'attend de lui qu'un peu de respect! Sans voyeurisme ni èlans lyriques, ce rècit suit la trajectoire sinueuse, faite de remises en question, de conflits et de jubilation, de ces êtres poussès l'un vers l'autre! Nora et Max èprouvent plus qu'une passion sexuelle et vivent un profond changement de personnalitè! Le personnage de Susan Sarandon au caractère trempè arrache ainsi son amant fragile à sa mort lente! En retour, ce dernier lui donne à nouveau confiance en elle! Un film d'amour fèbrile et une belle leçon d'interprètaion entre ces deux paumès...
    globi C.
    globi C.

    8 abonnés 451 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 septembre 2016
    A première vu je n' étais pas spécialement emballé par le sujet, le film romantique à tendance lacrymale bof bof. Par contre avec James Spader dans sa grande période associé à l'excellente Susan Sarandon ca peut tout changer. Et effectivement le duo fonctionne très bien. La réalisation évite le coté pleunichard et bonifie un scénario plutôt simple si bien qu' on s'attache aux personnages.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 006 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 juillet 2012
    Luis Mandoki est un adepte des films romantiques à forte dose lacrymale. Avec cette rencontre improbable entre un jeune avocat juif et une serveuse de fast food blessée par la vie ayant passé la quarantaine il réunit tous les ingrédients pour faire vibrer les coeurs prompts à s'attendrir devant les amours impossibles qui finissent par triompher. Si Mandoki n'abuse pas outrancièrement de tous les effets faciles du genre il n'est pas aidé pas son acteur principal, le fadasse James Spader qui a vraiment du mal à nous faire croire à son personnage en exagérant le côté nunuche de Max. Heureusement la grande Susan Sarandon est là pour le prendre par la manche et atténuer l'outrance de son jeu. Au final on s'attache beaucoup à cette femme qui veut qu'on l'aime pour ce qu'elle est. malgré tout on a bien du mal à croire qu'un jeune diplômé renonce à tout ce qui lui est offert même par amour pour la belle Susan. Mais c'est comme ça que l'on veut idéaliser l'amour et c'est pour ça que l'on court tous pleurer devant ces histoires à l'eau de rose qui nous donnent à voir la vie telle qu'on la rêve et non tel qu'elle est. A consommer avec modération.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    88 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 janvier 2021
    Des sentiments nés dans le nuage de fumée d'un bar quelconque, puis une ivresse banale qui en devient une autre, plus durable et profonde qu'on peut la croire au premier abord. Une linéarité simple qui accompagne une première nuit où deux vies se rencontrent et découvrent qu'elles se plaisent.

    La Fièvre d'aimer n'a rien de remarquable, mais à le regarder longtemps sans en attendre de miracles, on finit par s'hypnotiser. Le discret mais polyvalent James Spader y trouve un rôle calme où il peut doucement s'adapter à la nouvelle décennie de cinéma qui vient d'éclore, et Sarandon aura droit à un espace millimétré où développer la personnalité de son personnage. Quant au couple qu'ils forment, ils sont liés par leur fléau : la différence d'âge et de statut.

    Mandoki annonce assez clairement que c'est un prétexte et pas un véritable objet d'études, et qu'il ne faudra par conséquent pas s'attendre à une profondeur psychologique dépassant les gentilles attentions de couple ainsi qu'une apparente obsession du duo auteur-scénariste pour le thème du mensonge. Au-delà de ça par contre, il y a de quoi se mettre sous la dent.

    Trop propre peut-être, White Palace nous donne ce qu'on en attend mais il sait aussi garder son mystère : avec d'un côté une voyante un peu trop lucide et une famille juive à moitié reniée de l'autre, il fait usage de peu d'ingrédients mais de pas mal de sagesse dans leur agencement. Sans mériter tout à fait l'épithète péjorative de film "facile", il donne en tout cas le sourire.

    → https://septiemeartetdemi.com/
    Oriwa
    Oriwa

    54 abonnés 898 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 janvier 2012
    Ah, James.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 387 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 mai 2021
    Nous sommes et à juste titre un peu ou beaucoup cela dépend des personnes dégoûtés lorsqu'un film s'adresse de manière flagrante aux vieux hommes effrayants avec un protagoniste d'âge moyen qui essaie de séduire une femme sexy d'une vingtaine d'années. C'est exactement ce à quoi nous assistons ici sauf qu'il y a un échange de sexe et une couche supplémentaire d'odieux. Susan Sarandon et James Spader sont d'excellents acteurs et leurs performances sauvent presque le film. Chaque aspect de ce film est basé sur le fait que le monde du personnage de Sarandon est préférable à celui de Spader mais il ne l'est absolument par manque de respect envers les femmes âgées et il est tout simplement irritant. Il déconne tellement que dans certaines scènes les riches superficiels sont considérablement plus sympathiques que l'héroïne. Je suppose que les hommes d'âge moyen ont le droit de réaliser leurs souhaits en faisant des films. Mais ce qui est effrayant est effrayant car quand on passe plus de temps à penser au public cible qu'au film lui-même le résultat est un échec...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 novembre 2009
    Très sympa pour les fans de susan sarandon.
    Les meilleurs films de tous les temps
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