Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Monde
par Jean-François Rauger
La singularité pertinente du film de Pascal Laugier réside sans doute dans la manière d'identifier le refoulé horrible du récit avec les secrets d'un passé honteux de la France, celui de l'Occupation. Saint Ange célèbre ainsi les noces inattendues de Lucio Fulci et de Julien Duvivier.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Mathieu Carratier
Dans un genre où les effets et les accessoires sont systématiquement privilégiés, Laugier s'inscrit intelligemment dans l'école espagnole ayant émergé ces dernières années (Aménabar, Balaguero...) et mise sur l'humain. Tout, dans Saint Ange, est vécu et ressenti à travers les yeux et le corps de son héroïne. (...) Si on y assiste à une naissance, c'est surtout celle d'un cinéaste en pleine possession de ses moyens, dont la sensibilité est suffisamment rare pour donner envie d'attendre la suite. Impatiemment.
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Pas calibrée pour les bouffeurs de pop-corn, plus viscérale et mature que prévu, cette première oeuvre bizarre et impolie, organique et stimulante, ne résout rien mais hante longtemps l'esprit après la projection. Comme un songe lointain jamais vraiment éteint.
Aden
par La rédaction
Un premier film qui ose le genre fantastique avec ambition.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
par La rédaction
Saint Ange reste un film un peu frimeur qui veut prouver beaucoup, pose à la grande forme, récite ses classiques, mais qui à l'arrivée produit peu de frayeur.
Libération
par Didier Peron
Le film de Pascal Laugier n'est pas méprisable, il démontre un savoir-faire indéniable. Simplement, du début à la fin, le désir du cinéaste de faire peur a l'air si tenaillant et peu assuré de sa cible qu'il n'est pas un mouvement de caméra, un coup de gong de la bande sonore ou un crissement ligetien de la musique qui ne hurle "tremblez, je le veux", ce qui devient soit comique, soit fatigant.
MCinéma.com
par Hugo de Saint-Phalle
Techniquement, il n'y a rien à reprocher au cinéaste, tant son style est léché et accrocheur. Laugier ne lésine pas sur les effets sonores et les " patatras " fracassants. On sursaute sans arrêt alors qu'on préfèrerait être glacé par une véritable ambiance, à la KAIRO, RING, LES AUTRES ou SHINING. Omniprésente, la musique devient aussi très vite agaçante. Et, à cause de tout ce fatras, on finit par se détacher des personnages, d'autant que le film s'achève en un feu d'artifices lourdingue de rebondissements.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Syndrome gothique. On a vu plus excitant.
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Mix opportuniste et impersonnel des "Disparus de Saint-Agil", "Shining" et "Rosemary's baby", le film est parfois habile mais reste désespérément creux, dépourvu de mystère. Un comble.
Télérama
par Frédéric Strauss
Fonçant droit dans le fantastique tiré par les cheveux, le scénario passe à côté de ce qui pourrait simplement intriguer (Anna a-t-elle été fouettée ? et par qui ?). Sans vrais personnages ni histoire, ce film d'horreur léché est vampirisé par des effets de mise en scène qui tombent à plat.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
La singularité pertinente du film de Pascal Laugier réside sans doute dans la manière d'identifier le refoulé horrible du récit avec les secrets d'un passé honteux de la France, celui de l'Occupation. Saint Ange célèbre ainsi les noces inattendues de Lucio Fulci et de Julien Duvivier.
Première
Dans un genre où les effets et les accessoires sont systématiquement privilégiés, Laugier s'inscrit intelligemment dans l'école espagnole ayant émergé ces dernières années (Aménabar, Balaguero...) et mise sur l'humain. Tout, dans Saint Ange, est vécu et ressenti à travers les yeux et le corps de son héroïne. (...) Si on y assiste à une naissance, c'est surtout celle d'un cinéaste en pleine possession de ses moyens, dont la sensibilité est suffisamment rare pour donner envie d'attendre la suite. Impatiemment.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
Pas calibrée pour les bouffeurs de pop-corn, plus viscérale et mature que prévu, cette première oeuvre bizarre et impolie, organique et stimulante, ne résout rien mais hante longtemps l'esprit après la projection. Comme un songe lointain jamais vraiment éteint.
Aden
Un premier film qui ose le genre fantastique avec ambition.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
Saint Ange reste un film un peu frimeur qui veut prouver beaucoup, pose à la grande forme, récite ses classiques, mais qui à l'arrivée produit peu de frayeur.
Libération
Le film de Pascal Laugier n'est pas méprisable, il démontre un savoir-faire indéniable. Simplement, du début à la fin, le désir du cinéaste de faire peur a l'air si tenaillant et peu assuré de sa cible qu'il n'est pas un mouvement de caméra, un coup de gong de la bande sonore ou un crissement ligetien de la musique qui ne hurle "tremblez, je le veux", ce qui devient soit comique, soit fatigant.
MCinéma.com
Techniquement, il n'y a rien à reprocher au cinéaste, tant son style est léché et accrocheur. Laugier ne lésine pas sur les effets sonores et les " patatras " fracassants. On sursaute sans arrêt alors qu'on préfèrerait être glacé par une véritable ambiance, à la KAIRO, RING, LES AUTRES ou SHINING. Omniprésente, la musique devient aussi très vite agaçante. Et, à cause de tout ce fatras, on finit par se détacher des personnages, d'autant que le film s'achève en un feu d'artifices lourdingue de rebondissements.
L'Humanité
Syndrome gothique. On a vu plus excitant.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
TéléCinéObs
Mix opportuniste et impersonnel des "Disparus de Saint-Agil", "Shining" et "Rosemary's baby", le film est parfois habile mais reste désespérément creux, dépourvu de mystère. Un comble.
Télérama
Fonçant droit dans le fantastique tiré par les cheveux, le scénario passe à côté de ce qui pourrait simplement intriguer (Anna a-t-elle été fouettée ? et par qui ?). Sans vrais personnages ni histoire, ce film d'horreur léché est vampirisé par des effets de mise en scène qui tombent à plat.