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    Duel dans le Pacifique
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    videoman29
    videoman29

    204 abonnés 1 809 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 août 2023
    C'est en 1969 que le réalisateur Britannique John Boorman (« Délivrance », « Excalibur » etc...) tourne « Duel dans le Pacifique », une sorte de huis clos guerrier qui se déroule sur une île perdue au milieu de l'océan. Ce petit bout de rocher n'abrite qu'un pauvre rescapé de l'armée Japonaise... jusqu'à ce qu'un aviateur Américain s'échoue à son tour sur le rivage. S'en suit une avalanche de situations « dramatico-comiques » au cours desquelles les deux hommes vont tenter de prendre le dessus sur l'autre. Le cinéaste s'amuse visiblement beaucoup à nous faire toucher du doigt l'absurdité de ses personnages, incapables de grouper leurs efforts pour survivre... tout comme l'absurdité de la guerre, au sens large du terme. Bien que quelques longueurs, inhérentes au genre lui-même et à la quasi absence de dialogues, viennent parfois troubler le déroulement de l'intrigue, on suit tout de même les aventures des deux héros avec grand intérêt. La scène finale, aussi surprenante que l’œuvre dans son ensemble, nous encourage vivement à une profonde réflexion sur l'humanité... et son étrange capacité à s'auto-détruire. Le film a certes vieilli visuellement et techniquement, mais son sujet reste étonnamment universel. Une curiosité !
    ClashDoherty
    ClashDoherty

    210 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 décembre 2022
    Troisième film de John Boorman, et un des moins bien lotis en DVD : plusieurs autres critiques ont pointé ce désolant détail, mais "Duel Dans Le Pacifique" n'existe en DVD, en France, que dans une édition absolument immonde (VF uniquement, qualité d'image digne d'une vieille VHS laissée au soleil pendant une semaine, recadrage qui bouffe la moitié de l'image...un peu comme le "Junior Bonner" de Peckinpah, au passage, qui est victime du même problème). Pour le voir, car en plus, ce film ne passe pas à la TV sur les chaînes lambda, j'ai dû me tourner vers un blu-ray espagnol ne proposant pas de VF, mais la VO anglaise d'origine et des sous-titres français. Et une qualité d'image et de son parfaite. Et un film au format respecté. Et la fin alternative (celle voulue par Boorman) en bonus ! Devoir passer par des chemins détournés pour, en France, voir un film de cette qualité, c'est lamentable, mais passons.
    Le film ? Magistral. Deux acteurs seulement (Lee Marvin et Toshirô Mifune, dans un de ses premiers, si ce n'est son premier, rôle dans un fillm occidental), et très peu de dialogues, qui plus est, souvent, des dialogues qui ne servent au final pas à grand chose, tout passant par le regard et les gestes ici. Deux hommes coincés sur une île déserte en plein Pacifique, pendant la Seconde Guerre Mondiale. Un pilote américain et un officier de marine japonais. Bref, deux ennemis, qui, au départ, s'affrontent du regard en permanence, se font des vacheries ( spoiler: Mifune détient une petite réserve d'eau, Marvin veut remplir sa gourde, Mifune l'en empêche et met le feu à la partie de la jungle dans laquelle Marvin s'abrite, ce genre de plaisanteries de cour de récréation de maison centrale
    ), avant de, progressivement, s'apprivoiser, mais on sent que ça ne durera pas. La fin est abrupte ( spoiler: après avoir construit un radeau à deux, ils parviennent, après un périple maritime, à gagner un petit chapelet d'îles sur lesquelles se trouvent des baraquements militaires nippons désertés, et s'y reposent, parvenant à bien s'entendre malgré la barrière de la langue ; jusqu'à ce qu'un bombardement ne vienne mettre définitivement fin à tout ça)
    , et Boorman ne la voulait pas, cette fin, imposée par la production, il préfèrera une autre fin, spoiler: celle où les deux hommes, au même endroit, continuent de se faire la gueule pour des broutilles
    , une fin plus ouverte, et en même temps très cynique.
    Barrière de la langue, j'ai dit, car l'Américain ne parle qu'anglais, le Japonais que le...non, c'est trop facile, le japonais, et à la base, le film était sorti avec les dialogues nippons non sous-titrés(et, au Japon, avec les dialogues anglais non sous-titrés), afin que les spectateurs soient dans le même mood que les personnages, à ne pas comprendre ce que dit l'autre, l'adversaire, l'ennemi. Le blu-ray propose le sous-titrage pour l'ensemble des dialogues, anglais comme japonais, ce qui est bien, même si ça ruine le parti-pris voulu initialement par Boorman. C'est un moindre mal.
    Un film sublime, géniale dénonciation de l'absurdité de la guerre et variation originale (et parfois amusante : le début du film contient quelques passages assez comiques, et le contraste entre le côté très militaire discipliné et acariâtre excédé de Mifune et le côté très décontracté, cool, de Marvin est savoureux) sur le thème de "Robinson Crusoé", et un de mes préférés de Boorman, à défaut d'être un des plus connus.
    On ne peut pas louper un film quand on y met Lee Marvin et Toshirô Mifune, en même temps.
    Bellerophon44
    Bellerophon44

    1 abonné 113 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 octobre 2022
    Duel dans le pacifique est un très film sur l'histoire de 2 hommes qui sont ennemis jurés (puisque l'histoire se passe pendant la 2eme guerre mondiale) et qui après maintes affrontement sont obligés de cohabiter sur une ile déserte du pacifique loin de toute civilisation. La fin est surprenante mais est dans la logique des choses car il y a toujours un vainqueur et un vaincu.
    A voir au moins une fois car les 2 acteurs sont magistraux sur l'interprétation des personnages.
    Pascal
    Pascal

    118 abonnés 1 395 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 février 2022
    Pendant la guerre du Pacifique, deux militaires, un japonais (toshiro Mifune) et un américain ( lee Marvin) se retrouvent par hasard isolés tout deux, seuls sur une île de Micronésie à Palau. Si au début de leur rencontre, ils tentent de se faire la guerre, ils finissent par unir leur force pour construire un radeau et quitter l'île. Mais peuvent ils s'entendre par-delà la guerre que leurs deux pays se livrent ? J'avais vu ce film en salle, une bonne décennie après sa sortie en 1969 et j'avais trouvé le film un peu surestimé. Le temps à passé, je viens de le revoir et je pense l'avoir sous-estimé lors de ma première vision. Le réalisateur Anglais John Boorman a tenté ici de montrer ce qu'est véritablement l'Homme dans sa nature archaïque. Pour le réalisateur, les gens de cultures et de races différentes ne peuvent vivre ensemble, coexister que s'ils ont un but commun. Ici construire un radeau. Nous venons originellement de sociétés closes qui ne produisent naturellement que des morales closes. Bergson, philosophe et prix nobel de littérature la exposé dans son dernier livre " les deux sources de la morale et de la religion ". Le film est finalement assez voisin de " sa majesté des mouches" de William Golding ( prix nobel lui aussi de littérature), mis en image par Peter Brook. A ce titre on peut relever que Boorman fit lire a lee Marvin "chris Martin" du même William Golding. Les deux acteurs ont eux mêmes participé à la guerre du Pacifique et ont été recrutés notamment sur ce critère. Ils sont tous les deux excellents. A l'intention du spectateur éventuel, le film est quasiment muet et est un faux film grand public. A son crédit, on peut retenir qu'il est parfaitement monté et ne comporte pas ou peu de longueur, mais ce n'est en rien un film de guerre classique. Le chef d'oeuvre du réalisateur "delivrance", abordera aussi ce thème de la nature humaine dépouillée de ses habits culturels, en en proposant une description cette fois dans un contexte "pacifique"..
    Redzing
    Redzing

    922 abonnés 4 296 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 mai 2021
    « Hell in the Pacific » ne perd pas de temps, démarrant d’emblée sur nos protagonistes, deux soldats ennemis coincés sur une petite île du Pacifique. On ne saura pas vraiment comment ils sont arrivés là, ni qui ils sont. L’important est que l’un est américain, l’autre japonais, et que l’on est en pleine Seconde Guerre Mondiale. Naturellement, l’hostilité sera leur première réaction, avant la que dureté des conditions et la nécessité de survie ne leur fassent changer d’avis. Un concept classique, qui sera repris dans d’autres films (on pense à « Enemy Mine » de Wolfgang Petersen). L’intérêt est ici un scénario anti-manichéen, relativement osé pour l’époque, présentant ses protagonistes à égalité, avec des comportements tout à fait similaires malgré leurs énormes différences culturelles. A ce niveau, Lee Marvin et Toshiro Mifune sont tous les deux fort charismatiques et imprégnés de leurs rôles. On peut même dire que ces deux acteurs portent le film… car il faut bien avouer que l’intrigue est un peu molle à côté. Si John Boorman livre quelques belles images (jolie nature, une scène de rencontre au montage percutant), le scénario est avare en rebondissements une fois la conciliation amorcée. Il y a tout de même une BO intéressante de Lalo Schifrin. La fin est en revanche étonnante, spoiler: évoquant qu’il suffit d’une brève amélioration des conditions pour que les différences reprennent la main. Un message pessimiste qui tranche quelques peu avec le reste du film. A noter qu’il existe deux fins distinctes, selon la version du film que vous aurez sous la main. L’une très abrupte, et visiblement bricolée en post-production, où un obus anéantit nos protagonistes alors qu’ils se crêpent à nouveau le chignon. L’autre (un peu) moins brutale où ils se contentent de repartir chacun de leur côté.
    CH1218
    CH1218

    153 abonnés 2 754 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 mai 2020
    « Duel dans le Pacifique » est un huis clos au grand air réunissant que deux acteurs, à savoir Toshirô Mifune et Lee Marvin.
    Dirigé par John Boorman, ce film atypique qu’il faut voir comme une parabole sur la guerre est d’un ennui latent.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    581 abonnés 2 749 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 mars 2019
    Deux ennemis de guerre forcés de cohabiter pour espérer quitter l’île sur laquelle ils sont les prisonniers. John Boorman derrière la caméra. Et un immense film, en somme. Le cadre naturel met à nu deux cultures, dépouille les corps de leur propagande aveuglante ; car l’insupportable ici, c’est le regard de l’autre. Reclus derrière des broussailles, perché en haut d’un arbre, on fixe autrui pour y voir l’ennemi. L’idylle paradisiaque se change en guerre de positions où chacun détruit ses chances de survie en voulant nuire à tout prix. Récit d’apprentissage sans paroles véritables, Duel dans le Pacifique chante la diversité comme nécessaire à l’existence humaine : parce que l’homme n’est pas une île, il a besoin de l’altérité pour se définir. Et si l’état de nature les rapproche à tel point qu’ils semblent un temps amis, l’état de culture idéologique vient aussitôt les séparer lorsque, sous le choc, le Japonais découvre les entassements de compatriotes fièrement exhibés dans un journal patriotique américain. L’île s’assumait en terre de reconquête de soi, de l’autre et du monde, un lieu de refondation. En marchant sur les ruines de la civilisation barbare, ils retournent à l’état de sauvagerie culturelle. Le récit d’apprentissage n’aura duré qu’un temps. Mais quel temps !
    Mirobole Pancrate
    Mirobole Pancrate

    20 abonnés 212 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 mars 2017
    Un pitch de départ très excitant, la réunion improbable d'acteurs stars des deux côtés du Pacifique, le tout chapeauté par le réalisateur du chef d'oeuvre référence du genre survival (Délivrance) et... patatras. Une grosse heure et demie bien barbante malgré quelques idées dignes d’intérêt. Quel dommage!
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    35 abonnés 1 077 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 septembre 2016
    Le film a été tourné en 1968 en Micronésie, dans une île de l’état de Palau (archipel d’abord britannique de 1784 à 1800 puis espagnol en 1875, vendu à l’Allemagne en 1899 puis occupé par les japonais en 1914 puis perdu en 1944 au profit des Etats-Unis avant de devenir autonome en 1979 et indépendant en 1994 !). Film exceptionnel car le scénario tient sur un ticket de métro et avec seulement 2 acteurs, Toshiro Mifune et Lee Marvin (« Le limier » de Mankiewicz est dans le même cas) ; on y retrouve déjà les thèmes privilégiés de Boorman sur les rapports de l’Homme et de la Nature, le retour à la nature qui est un retour à la barbarie. C’est la fin voulue par les studios qui a été projetée, spoiler: à savoir le bombardement de l’île sur laquelle ils ont échoué après avoir quitté leur 1ère île ; celle de Boorman est pessimiste et noire : après s’être rasés, habillés et avoir lu les nouvelles de la guerre dans des journaux abandonnés, ils se disputent et se séparent, le vernis de la « civilisation » reprenant le dessus.
    . La photographie est superbe (très années 70) tandis que la musique est un peu décevante bien qu’elle soit de Lalo Schifrin [qui a composé la même année celle de « Bullit » par exemple].
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 1 novembre 2015
    Une fin en queue de poisson et un scénario assez plat. Le thème aurait mérité un scénario plus intéressant et profond. Une bonne réalisation malgré tout, un bon film à voir quand même.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 août 2015
    Un chef-d’œuvre du militantisme anti-politicaillons et anti-militariste. Le message est simple et le scénario, bien que plus contemplatif qu'actif, permet de le diffuser sans digression par la qualité indiscutable de la distribution composée de deux géants du cinéma Lee Marvin et Toshirô Mifune. Bien sûr la qualité des images n'a d'égale que la mise en scène scrupuleuse et le film transmet des valeurs qui ne peuvent toucher que des spectateurs qui ne se ruent pas au gré des publicités sur le dernier smartphone sorti ou les albums CD du survivant de la dernière émission de téléréalité en vogue. Non, ce genre de film s'adresse à des humains portant l'espoir au cœur que l'Humanité visera bientôt un avenir meilleur pour l'homme que celui revendiqué par les traders et les boursiers.
    cylon86
    cylon86

    2 258 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 décembre 2014
    Nous sommes en pleine seconde guerre mondiale. Un capitaine japonais et un aviateur américain se retrouvent coincés dans une île déserte du Pacifique, contraints à vivre ensemble malgré le fait qu'ils soient ennemis et qu'ils ne se comprennent pas. D'un concept ultra-simple, John Boorman tire un film très efficace qui résume parfaitement la bêtise de la nature humaine. Si bien évidemment, le scénario est très simple, il n'en est pas moins une étude de caractère fascinante, nous montrant deux hommes qui s'affrontent avant de s'unir pour construire un radeau. Mais malgré l'union, on sent bien qu'un rien peut déclencher un duel à mort entre les deux. D'ailleurs, une fois qu'ils sont sortis d'affaire, leur conflit renaîtra, prouvant qu'il est absolument impossible pour eux de s'entendre. Sur cette démonstration simple mais diablement efficace, Boorman nous offre des images sublimes et laisse les grands acteurs que sont Lee Marvin et Toshirô Mifune satisfaire son spectateur. A ce duel psychologique tendu, on préfèrera tout de même la fin alternative, plus crédible et plus cohérente.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 009 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 novembre 2014
    Juste après "Le point de non-retour", le brillant film noir assez révolutionnaire qui avait immédiatement placé Boorman dans les réalisateurs d'avenir (c'était son deuxième film), celui toujours avec Lee Marvin change complètement d'univers avec ce film assez culotté qui va permettre à Boorman d'exposer son goût pour l'épique et la mise en branle des forces telluriques qui sera dès lors la marque de fabrique de son cinéma ("Délivrance"","Excalibur", "Zardoz") qui restera relativement parcimonieux en quantité (17 films en 50 ans de carrière). Pour ces deux officiers la guerre du Pacifique se termine sur cet atoll désert et inhospitalier. La cohabitation forcée tourne rapidement au cauchemar et démontre que la condition de Robinson Crusoé seul sur son île peut-être parfois plus enviable que ce mano a mano qui ne laisse aucun répit à deux hommes que tout sépare et en premier la langue. Pratiquement muet "Duel dans le Pacifique" permet à deux acteurs emblématiques de s'affronter tout d'abord prolongeant la guerre qu'ils se livraient pour leurs pays respectifs puis par lassitude de finir par s'apprivoiser et enfin de collaborer pour tenter de s'échapper. Si le cerveau reptilien a parlé en premier exprimant des vieux réflexes guerriers, l'usure d'une guérilla aussi bizarre que stérile a fini par laisser la raison l'emporter. Ce balai étrange pousse parfois les deux acteurs à la limite du grotesque mais la maestria de Boorman pour filmer les superbes paysages des Philippines suffit à magnifier ce curieux film.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 12 juin 2014
    Le scénario ne propose pas grand chose pourtant avec Mifume et Marvin c'était du tout cuit. Si on rajoute là dessus l'absence de dialogue il y a de quoi être déçu.
    bobmorane63
    bobmorane63

    154 abonnés 1 898 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mars 2014
    Un bon film datant de 1968 qui n'a pas du couter bien cher à part la location de l'ile dirigé par le talentueux metteur en scène à ses débuts, John Boorman !! Long métrage qui se passe pendant la seconde guerre mondiale ou deux soldats ennemis, un Américain et un Japonais, ont échoué sur une ile épaisse dans le pacifique. Au début, c'est l'affrontement pour avoir de l'eau potable, le peu de nourriture, la bataille de feu, la chaleur et autres mais dans ce petit monde au milieu de nulle part vont finir par se solidariser, apprendre à se connaitre par le partage et s'enfuir de cette ile. Le seul reproche que je peux faire à ce film est qu'on ne connait pas les origines des héros, tout commence sur l'ile, mais le message de ce long métrage m'a bien plu, faites le paix et non la guerre. Les décors sont somptueux, notamment la nature bien filmé. Lee Marvin et Toshiro Mifune tiennent à eux deux le poids du film et s'en sortent avec bravoures. Un long métrage peut ètre méconnu qui mérite attention.
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