Avis : Harry Potter et la Coupe de Feu - Page 4

C'est une véritable pourriture que le réalisateur nous présente là... J'essaie toujours de développer mes propos, mais là, ça me semble simple : c'est un navet.

Ce quatrième volet des aventures d'Harry Potter ne me convient toujours pas (et c'est très certainement le malheur de lire les livres), cependant il est mieux réussi que le précédent et davantage fidèle à trame principale du livre. Les effets spéciaux sont toujours plus impressionnant et le monde des sorciers toujours aussi mystérieux et curieux. On entre un peu plus dans le côté noir avec ce nouvel opus et on touche également à la magie noir, ce qui n'est pas encore le cas (du moins pas explicitement). On y découvre une fois n'est pas coutume de nouveaux personnages, auxquels on s'attache une fois de plus mais on subit la surprise de l'évolution de certains. Parmis les grands acteurs du casting, se rajoute Ralph Fiennes que l'on a déjà vu dans de nombreux films ("The Duchess" et "Dragon rouge" pour ne citer qu'eux). Une brève apparition, mais une transformation impressionnante puisqu'on ne le devine que par son regard. Par contre, je suis au regret de constater que les jeunes acteurs jouent une fois de plus relativement mal les émotions, je l'ai davantage sentie dans cet opus, ne me demandé pas pourquoi. Je ne saurais que trop vous conseillez de vous intéresser davantage au roman plutôt qu'au film mais il reste une bonne approche malgré son revirement sombre comparé aux premiers peu parfois choquer un jeune public.

les précédentes adaptations convenait encore mais maintenant on tombe dans la super production sans âmes avec des trou noirs. une grande partie de ce qui en faisait une histoire inintéressante disparaît.

Harry Potter et la coupe de feu est un tres bon film et selon moi , le moins bon des 8 . Mais il reste tres bon et donc regardable . on passe de tres bon moment comme les 7 autres films

un volet un peu plus violent que les autres donc plus percutant mais qui n'a pas réussi à me convaincre. Je le déconseille aux moins de 7 ans. 2/5

Quatrième volet de la saga, HP et la coupe de feu reste de très bonne facture, bien qu'il retombe dans les travers des 2 premiers épisodes. En premier lieu, l'écriture simpliste, parfois tirée par les cheveux. Idem pour l'écriture des nouveaux personnages secondaires bâclée. On aurait aimé un Cédric Diggory avec plus de chair afin de créer une vraie empathie. Passé ce constat, l'univers reste très riche, et continue à capitaliser sur ce qui a été construit dans les 3 premiers volets.

“Harry Potter et la Coupe de Feu” semble être un épisode anecdotique de la franchise puisqu’il ne tourne qu’autour du tournoi des sorciers. Bien qu’il soit plutôt fidèle au roman, il manque au film toute l’âme psychologique où se mélangeaient folies, doutes et quête d’identité. Résultat, le combat des héros se résume à être un bon thriller où s’enchaînent les épreuves pour gagner la Coupe de Feu. 
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Les premiers plans d’Harry Potter et la Coupe de feu (ceux annonçant le titre) laisse penser que l’aspect sombre et effrayant du volet précédent va s’accentuer. Grosse erreur ! En effet, ce quatrième épisode, cette fois réalisé par Mike Newell (Quatre mariages et un enterrement), est nettement moins passionnant que les trois précédents.
En effet, le récit perd fortement en intérêt car le Tournoi des trois sorciers semble plus anecdotique que les événements précédents spoiler: . De plus, les tensions apparaissant entre Harry et ses camarades et surtout Ron casse un peu la dynamique de l’ensemble (on a du mal à accepter que Ron puisse douter aussi rapidement d’Harry).
Mais ce qui rend le plus le film un peu ennuyant est tout l’arc narratif concernant le bal et la découverte des sentiments amoureux du groupe d’amis. On perd ainsi totalement l’aspect sombre et puissant du précédent volet et on plonge dans une comédie romantique lambda et qui traîne en longueur spoiler: (sans parler du fait de la romance entre Hermione et Viktor Krum, interprété par un acteur ayant 5 ans de plus qu’Emma Watson, ce qui même mal à l’aise vu l’âge de cette dernière et de son personnage !)
. Cet aspect est effectivement ennuyant car il fait perdre la force qui aurait dû être présente dans une dernière partie beaucoup plus sombre spoiler: (c’est la première fois que le film s’achève sur un échec d’Harry et même sur la mort d’un élève interprété par un Robert Pattinson dont c’est le premier rôle au cinéma)
malgré une dernière séquence plus légère.
Pour ce qui est de l’aspect visuel, bien qu’elle reste tout à fait plaisante, la réalisation de Mike Newell est beaucoup moins créative et puissante que celle de Cuarón et moins féérique que celle de Chris Columbus.
Enfin, on constate également que le départ de John Williams de la bande originale se ressent fortement : cette dernière perd en force et ne possède pas de thème marquant. Une fois de plus, on se retrouve encore dans un aspect plus anecdotique.
Pour être honnête, il faut reconnaître qu’Harry Potter et la Coupe de feu n’est pas un mauvais film et reste très acceptable mais il est loin de tenir la comparaison avec les premiers volets qui avaient mis la barre très haut. Pour résumer, c’est un assez bon film mais une grosse déception.

“Harry Potter et la Coupe de Feu” n’a pas bien vieilli, avec l’impression d’être partagé entre deux sentiments : l’un très “teen movie” avec un humour niais et une susceptibilité à fleur de peau, l’autre très adulte avec des enjeux qui vont au delà de l’école de Poudlard. C’est en effet un épisode clé vers la transition d’un contenu plus mature. Pendant le tournoi des 3 sorciers, les indices tombent de manière évidente sans trop de recherches, il n’y a pas de tension sur les 2 premières heures, seulement du divertissement à l’état pur. Les scènes liées au bal apportent d’autant plus de niaiseries avec une impression de retour à l’adolescence, mais ce n’est pas forcément ce que j’ai envie de voir au cinéma. Et à la fois, cette dernière partie sur 30 minutes qui tranche totalement avec le reste du film et nous amène vers des jours plus lugubres. spoiler: C’est notamment dans “Harry Potter et la Coupe de Feu” que nous sommes confrontés pour la première fois à un mort dans la série.
Un décès qui refroidit rapidement l’atmosphère des 3 premiers films jusque-là sans réel enjeu. Mais il manque encore une pointe de génie à l’ensemble pour insuffler un vrai intérêt à cette transition : certains effets spéciaux sont désuets, le sang se montre difficilement, il y a de l’action sans égratignure, c’est très restreint pour rester “Tous publics” malheureusement. spoiler: De même que la confrontation entre Voldemort et Harry Potter tombe rapidement dans le blockbuster lambda à la sauce Avengers qui n’a que peu d'intérêt. En revanche, la toute dernière partie lorsque Harry ramène la coupe à la maison et la découverte de la mort de C. Diggory pour les 3 écoles signe le retour du vice (Lord Voldemort) et
renoue avec les liens premiers de la saga.

Sans conteste le plus intéressant à ce stade de loin le plus aboutit. Le film gagne en noirceur et en maturité le scénario est bien ficelé et l’action file à cent à l heure pour notre plaisir. On découvre encore beaucoup de chose sur l’univers et la compétition de la coupe de feu au milieu de ce récit est entraînante. On ne voit pas le film passe au milieu de ces décors et effets spéciaux ainsi que tous ce bestiaire qui nous ravie à chaque fois. Une vraie belle aventure qui finit en beauté en retournant dans le récit de base face à la résurrection de Voldemort on l’avait presque oublié !!
Donnant à la série un nouvel élan car on peut tout imaginer et à partir de là une nouvelle histoire commence..

"Harry Potter et la coupe de feu" est un épisode concentré sur le tournoi des trois sorciers, une compétition entre trois écoles de magie qui se dispute en trois épreuves. A savoir s'emparer d'un œuf de dragon, sauver un proche du fond d'un lac, et enfin récupérer un objet dans un labyrinthe. Présenté ainsi, ce concours d'épreuves plutôt ridicules au premier abord réservera pourtant bien des surprises, même si l'on aurait souhaité quelque chose de plus "magique" (on est à l'école des sorciers, pas à l'école des tarés). La trame est donc assez différente des autres épisodes, mais néanmoins toujours agréable à suivre. Cette épisode ne sera pas marqué uniquement par la coupe de cheveux façon Beatles de Harry, mais surtout par la véritable entrée en scène de celui dont on ne dit pas le nom...et puis merde : Voldemort !

Quatrième épisode de la saga et troisième réalisateur aux commandes (mais premier britannique !!) : Après Chris Columbus et Alfonso Cuaron, c’est désormais au tour de Mike Newell ("Soursweet", "Quatre Mariages et un Enterrement", "Le Sourire de Mona Lisa", "Donnie Brasco") de goûter au monde de la magie. Cette fois-ci, Poudlard reçoit des élèves d’autres écoles de magie à l’occasion d’un évènement festif : l’Epreuve des 3 Sorciers. Comme vous pouvez le voir, ce nouvel opus continuer de développer l’univers du petit sorcier en nous faisant découvrir les communautés magiques d’autres pays, leurs fonctionnements, leurs traditions et leurs interactions avec Poudlard, mais aussi le Ministère de la Magie et sa politique au sein du monde Moldu. Mais le récit va malgré cela se recentrer exclusivement sur Harry, ce qui est très intéressant pour le développement du personnage : Harry est plutôt seul au fond, il est certes entouré mais personne ne parvient à le comprendre réellement ; et cette fois-ci Il va devoir encaisser pas mal de choses comme spoiler: ses camarades qui l’accuseront de tricherie, subir les difficiles épreuves physiques de l’évènement ou encore cette ultime confrontation qui était inévitable
. Et conséquence directe à tout ceci, Harry n’aura pas le moindre temps d’enquêter puisqu’il doit déjà trouver un moyen de survivre à toutes ses différentes épreuves : ce sont donc les personnages secondaires qui vont mener l’enquête. Une différence notable avec les volets précédents mais qui permet à la saga de ne pas tourner en rond. Mais d'autre part, le film nous permet aussi de respirer par moments en continuant à nous montrer les élèves de Poudlard sous un autre angle comme l’avait commencé Alfonsos Cuaron dans le précédent opus. En effet, ces derniers grandissent et rentrent dans ce que certains appelleront simplement l’adolescence et que d’autres nommeront plus crûment l’âge ingrat : ils se disputent, ils sortent ensemble, ils se moquent ouvertement d'autres élèves, ils sont parfois méprisants, ils leur arrivent parfois de jurer et se comportent souvent n'importe comment. Cet aspect dévoilé de nos jeunes sorciers permet deux choses : 01) l’insertion de moments de comédie pure et 02) une continuité dans l’identification du public qui a l’impression de « grandir » en même temps que les personnages. A ce titre, toute la séquence spoiler: du bal de l’hiver
, pourtant si volage aux premiers abords, est au final, et de façon très paradoxale, d’une importance capitale au récit : de la préparation au déroulement en passant par la naissance de trios amoureux, les enjeux futurs commencent à prendre forme. En effet, ce sont ces petits moments d’insouciance partagés avec ses amis qu’Harry devra protéger à l’avenir…avenir qui s’annonce terrible. Et oui, ce film est aussi sombre que son prédécesseur, mais en revanche, le côté dramatique est beaucoup plus intense ici : pour la première fois dans la saga, la mort va s’inviter et s’abattre sur des personnages, ce qui pourra en surprendre plus d’un. Cela se répercute irrémédiablement sur la mise en scène de Mike Newell : l’esthétique du métrage est très froide, avec une photographie pâlotte qui tire sur le bleu et qui a tendance à instaurer une ambiance un peu dépressive alors que le récit nous conte à la base un évènement très festif pour Poudlard. Sans atteindre la folle démesure et les ambitions visuelles de Cuaron, Newell maîtrise parfaitement son sujet et se montre même à la hauteur lors des scènes d’action : le passage de l’Epreuve des 3 Sorciers est à ce titre une succession de séquences hautes en couleurs dont les effets spéciaux sont réellement bluffants :l'épreuve avec spoiler: le dragon
, parfaitement rythmée, donne une course-poursuite grandiose dans les airs autour du château, nous gratifiant au passage d’images totalement inédites de Poudlard. Pour l'épreuve spoiler: sous-marine
, nous avons un décor inédit avec spoiler: le Lac Noir
qui propose une atmosphère très mystérieuse mais aussi une lisibilité de l’environnement prodigieuse où la caméra se déplace avec une fluidité magistrale. Et pour finir le fameux spoiler: labyrinthe
avec son décor grandiose, inévitablement sombre et terriblement oppressant. Niveau casting, y’a pas grand-chose à dire : les « jeunots » continuent de progresser (et Emma Watson commence à être particulièrement délicieuse !) et les « aînés » sont toujours aussi bons (Alan Rickman est toujours le meilleur même s’il est ici particulièrement mis en retrait !) Comme à chaque nouvel épisode, de nouveaux acteurs rejoignent la partie : Brendan Gleeson est parfait Maugrey Fol’œil à la fois intriguant et inquiétant, Robert Pattinson (Cédric Diggory) est un choix très intéressant et est à la hauteur de sa toute première prestation sur grand écran, Clémence Poésy (Fleur Delacour) est aussi une belle surprise en apportant un peu de fraîcheur (et de concurrence envers Emma Watson !! ^^), David Tennant surjoue un peu mais est un excellent psychopathe en la personne de Barty Croupton Jr, et enfin un grand bravo d’avoir proposé à Ralph Fiennes le rôle du terrifiant Voldemort ! Clairement l’opus le plus sombre et le plus violent de la saga, "Harry Potter et la Coupe de Feu" bénéficie du savoir-faire de Mike Newell qui s’arrête autant sur la noirceur que le comique : à la fois drôle et effrayant, le métrage continue à donner vie aux personnages d'une manière très naturelle et de développer enfin l’intrigue principale. Pour moi, même si j’avoue qu’il manque un petit quelque chose (bon dieu, mais il est où le traditionnel match de Quidditch ??!!), il s’agit du meilleur de tous les "Harry Potter" : la saga continue d’exceller en continuant de développer son univers tout en nous donnant envie de voir la suite !

Première anicroche de taille dans la saga "Harry Potter" avec ce quatrième volet dirigé par Mike Newell. Ce dernier, pourtant pas le premier venu, ne réussit qu'à de trop rares occasions à s'imprégner de l'ambiance propre à l'oeuvre de J.K.Rowling et surtout à nous embarquer. Cet épisode s'avère très long et ressemble la plupart du temps plus à une bluette pour adolescent qu'à un opus HP, l'intrigue en outre n'apporte pas grand chose au cheminement de l'ensemble de l'oeuvre. Heureusement, la réalisation est par contre à la hauteur avec de bonnes scènes d'action, notamment durant le tournoi des sorciers. Les personnages quant à eux se chamaillent beaucoup et leur entrée de plein pied dans l'adolescence est loin d'être palpitante à suivre, de plus beaucoup de personnages sans relief font leur apparition et prennent une place considérable. En revanche, on assiste enfin dans le final au premier affrontement entre Harry et Voldemort, un grand moment qui relève un tout petit peu cet épisode qui m'apparait quasi inutile dans l'histoire, on n'a pas vraiment avancé, par contre les 2h35 on les a bien senti !

Déjà la coupe de feu bénéficie d'une trame des plus passionnantes dans l'histoire de notre Harry, celle du tournoi des trois sorciers qui rassemble la grande majorité de l'action du film. Je me rappelle avoir été très déçue par l'intro avec la coupe du monde de quidditch, qui est en fait une version très concentrée de celle du livre. Et en même temps avec la coupe de feu il y a beaucoup d'actions, donc on ne pouvait pas tout mettre en 2h20, c'est déjà très bien. C'est aussi l'épisode du basculement, celui ou tout change puisque Voldemort revient, et ça va faire mal. C'est aussi la naissance des premiers attirances pour les élèves, enfin ça a tardé J.K., on finissait pas se dire qu'il n'avait que des problèmes à résoudre et rien de plus en tête ces trois braves cocos. Le lynchage d'Harry, la bal dansant de fin d'année, les épreuves du tournoi, des sorciers étrangers, tout un mélange de données qui fait vivre des sensations nouvelles pour le spectateur fan de l'univers de l'apprenti sorcier. Ce n'est que, globalement, du bonheur. Avec quelques phrases de dialogue *en français dans le texte, en plus. Maugrey Fol-Œil, mythique, ah oui et bien sur la petite histoire sympathique entre Barty Croupton et son fils spoiler: d'ailleurs dans le film on sent bien toute la frayeur dans le visage du père quand il comprend dans quel corps se cache son fils, une bonne VA
. Bon et puis les filles, c'est quand l'épisode ou on a Robert Pattison hein... Pour conclure, une bonne transition vers l'univers plus sombre des prochains épisodes (la marque des ténèbres plane au dessus de nous!), qui offre toujours autant frissons grâce notamment à une histoire très riche.

Voici l'épisode qui est à mes yeux le meilleur de la saga Harry Potter ! Les acteurs sont tous très bons, des scènes à couper le souffle, un rythme qui n'en finit pas, toujours de l'action et une histoire sans coupure avec une fin magnifique et une première vraie bataille avec Voldemort. En un mot : MAGNIFIQUE !