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    Kill Bill: Volume 2
    Note moyenne
    4,4
    21 titres de presse
    • Chronic'art.com
    • L'Ecran Fantastique
    • Le Figaro
    • Le Figaroscope
    • Les Inrockuptibles
    • Libération
    • Positif
    • Première
    • Studio Magazine
    • Télérama
    • Variety
    • Zurban
    • Aden
    • Ciné Live
    • Fluctuat.net
    • Le Monde
    • MCinéma.com
    • TéléCinéObs
    • Cahiers du Cinéma
    • L'Humanité
    • Le Point

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    21 critiques presse

    Chronic'art.com

    par Vincent Malausa

    Kill Bill (vol 2) n'est en rien le film d'une soumission à la toute-puissance du passé. En son arène immobile et silencieuse -gymnase et jardin multicolore dans le premier, living-home ou désert mythique ici-, plutôt la confirmation en forme de chef-d'oeuvre apaisé d'une redéfinition totale de l'espace du cinéma de genre moderne.

    La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com

    L'Ecran Fantastique

    par Paul Fries

    Au finish, un Tarantino de grand cru -l'un des moments de cinéma pulp les plus délirants et enthousiasmants que l'on ait jamais vu sur grand écran!

    Le Figaro

    par La rédaction

    Voir la critique sur www.lefigaro.fr

    Le Figaroscope

    par Emmanuèle Frois

    Kill Bill volume II est tout à la fois une grande et tragique histoire d'amour avec, en toile de fond, un hommage aux arts martiaux chinois, aux westerns spaghetti, aux films noirs des années 40 et un clin d'oeil aux films d'horreur. Tarantinesque à mort !

    Les Inrockuptibles

    par Serge Kaganski

    (...)Tarantino manie moins le sabre et un peu plus les dialogues, tout aussi tranchants, pour dénouer le roman familial. (...) C'est ça Kill Bill : (...) une belle tranche de gâteau, comme disait Hitchcock, avec des colorants et des conservateurs, mais aussi la totale, glace, coulis et chantilly par-dessus, et dedans plein de morceaux qu'on aime et qu'on reconnait. (...) Allez-y, gavez-vous.

    Libération

    par Philippe Garnier

    Jamais encore, même depuis Pulp Fiction (et de façon moins forcée peut-être), Tarantino n'a allié texture, couleurs, musique et paroles de façon si performante, si naturelle, si excitante ­ comme si on avait oublié que le cinéma pouvait être aussi ça, tout simplement.

    Positif

    par Yannick Dahan

    En signant le meurtre allégorique des pères de son cinéma, Tarantino laisse désormais celui-ci se métamorphoser en épopée humaine. Rarement démarche artistique n'aura fait montre d'autant d'humilité, d'intégrité et de panache.

    Première

    par Nicolas Schaller

    Une oeuvre aussi majestueuse que personnelle (...) Kill Bill apparaît comme l'autobiographie fantasmée d'un romantique monomaniaque. Tarantino ne peut désormais plus fuir sa vraie nature (et sa raison de vivre) : celle de Superman des cinéastes.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Studio Magazine

    par Patrick Fabre

    Voir la critique sur www.studiomag.com

    La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine

    Télérama

    par François Gorin

    Les ellipses, les incises, les parenthèses reposent (...) sur un mécanisme d'horlogerie impeccable. C'est précis, minutieux, millimétré. Tarantino est bien l'héritier des Billy Wilder et Joseph L. Mankiewicz.

    Variety

    par Todd McCarthy

    (...) une conclusion très savoureuse et d'une suprême élégance à un festin de cinéphilie tous azimuts.

    Zurban

    par Véronique Le Bris

    Cette suite manie avec un talent inégalé les références au western spaghetti, aux arts martiaux chinois et les explications psychologiques. Le tout dégage une forte émotion. On en rêvait. Quentin l'a fait, il signe ici l'un, sinon le meilleur, de ses films.

    Aden

    par La rédaction

    (...) Quand le premier volume jouait de la vitesse et de la fulgurance, le second mise sur l'attente, l'étirement et la tension qui grimpe dans un suspense plus silencieux. (...)Tarantino joue sur l'attente, l'observation, l'apprentissage. Qui, à chaque fois, dévoile la vraie nature des héros : avidité, orgueil, jalousie...

    La critique complète est disponible sur le site Aden

    Ciné Live

    par Marc Toullec

    Voir la critique sur www.cinelive.fr

    La critique complète est disponible sur le site Ciné Live

    Fluctuat.net

    par Agathe Moroval

    Par rapport au Vol. 1, le Vol. 2 est donc plus bavard et moins musclé (les duels remplacent les grands massacres), plus long, plus narratif et moins novateur. Mais on retrouve avec délectation une marque de fabrique : cette b.o. hallucinante (chapeau à RZA), et ce sens de l'humour qui traverse toutes les séquences.

    La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net

    Le Monde

    par Florence Colombani

    Sans suspense, sans étude de caractère, avec cet argument si mince, que reste-t-il ? Le meilleur, c'est-à-dire un jeu délectable, complice, entre le cinéaste et le spectateur.

    MCinéma.com

    par Hugo de Saint Phalle

    Quentin Tarantino frappe encore un grand coup, aussi puissant et précis qu'une bonne raclée de la Mariée. Le cinéaste cinéphile en a gardé sous la pédale et boucle le tout de façon magistrale. Moins survolté que le premier opus, KILL BILL VOLUME 2 reste tout aussi culotté et réussi.

    TéléCinéObs

    par Olivier Bonnard

    Les personnages titubent légérement sous le poids de l'armure mythologique que le cinéaste leur fait endosser, mais il s'en faut de peu que celui-ci nous livre le chef d'oeuvre qu'il entendait réaliser.

    Cahiers du Cinéma

    par Antoine Thirion

    Si la découpe du film ne trahit pas tout à fait les intentions de Tarantino, elle permet de vendre sans vergogne le film deux fois. Est-ce grave? Oui car le film tend à disposer côte à côte, comme célibataires, ses épaisseurs. Pareille opération réduit le film au commerce clos des références, et Tarantino à la petite logique du genre. (...) Mieux on parvient à regarder le volume 2 en ayant le 1 en mémoire, mieux il apparaît combien Tarantino excelle à ce que le cinéma lui offre de plus pauvre: l'art patient de dialogues où l'attention s'éparpille et les centres se dipersent.

    L'Humanité

    par Jean Roy

    Encore une fois, on déplore qu'un tel talent soit mis au service d'un discours aussi pauvre. Quentin Tarantino n'a rien d'autre à nous dire qu'il a passé sa vie à regarder des films, mais qu'est-ce qu'il le dit bien. Il y a là une idée de mise en scène par plan et on ne peut pas dire que les plans manquent.

    Le Point

    par François-Guillaume Lorrain

    Voir la critique sur www.lepoint.fr

    La critique complète est disponible sur le site Le Point
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