Derniers Avis sur La Lumière bleue

Le premier film (il me semble) en tant que réalisatrice de l'actrice allemande qui plus tard sera la réalisatrice officielle du III reich (oui on a fait plus prestigieux), c'est aussi le premier film que je vois d'elle, alors son développe des valeurs tout à fait louable, tolérance entre autres, dur d'imaginer qu'en suite elle embrassera les idéologies nazies. Enfin bon, le film en lui même m'a pas mal déçu, je m'attendais à quelque chose de sublime, alors certaines scènes sont très belles, mais je trouve que le film perd à être parlant, déjà il y a peu de dialogues, et on utilise la musique un peu comme dans le muet, mais je pense qu'elle aurait dû soit totalement le faire muet et l'assumer, soit faire en sorte de moins s'y rattacher, mais c'est un détail. J'ai trouvé le film un peu longuet, et pas follement passionnant, bien que quelques scènes valent le détour. J'en verrai d'autres en espérant être plus subjugué la fois suivante.

Sur le plan du scénario rien de bien enthousiasmant par contre niveau images c'est une réussite pour un premier film . On comprend pourquoi le film a suscité l'intérêt d'adolf, on connait malheureusement la suite.

Les films allemands sur la montagne et sa fascination furent importants dans les annèes 20 et 30! La rèalisatrice Leni Riefenstahl, influencèe par son premier maître Arnold Fanck, se lance dans la mise en scène en 1932 dans un film de montagnard "La lumière bleue", mais ce n'est qu'une aventure romantique dont l'action se situe dans les Dolomites! Sur un scènario qu'elle a ècrit elle-même avec Bèla Balàzs, Leni Riefenstahl ne se gêna pas pour le produire et même d'y jouer! Ce film, qui, formellement baigne dans une atmosphère de fèerie, est surtout rèservè aux amateurs de films de montagne d'Arnold Fank avec des qualitès athlètiques qui ne sont pas en reste! "La lumière bleue" est aussi un hymne à la beautè des paysages alpins...