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Piermath
2 abonnés
264 critiques
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1,5
Publiée le 22 mars 2024
Cette partie partie des aventures de la petite voiture vivante n’a pas le charme du premier opus. Le principal intérêt de celui ci résidait dans les courses automobiles dans lesquelles les gags étaient les plus réussis. La, sans explication plus de course, tous les précédents protagonistes humains ont disparu sans quasiment d’explication. Les gags et les effets spéciaux ont bien vieilli. Restent les acteurs qui semblent s’amuser.
Deuxième opus des aventures de Choupette, avec cette fois ci une dame âgée en propriétaire. Le film est plaisant, même s'il est moins intéressant que le premier.
La suite direct du premier opus du film la coccinelle. Les acteurs principaux ont disparus pour laisser place à une nouvelle génération. Sauf, la coccinelle est à la retraite et on menace détruite la caserne pour un projet de tours.... le film n'est pas drôle et énormément de scène irréel ... un petit film ....
Cette suite de "Un amour de Coccinelle", une nouvelle fois réalisée par Robert Stevenson et sortie en 1974, n'est pas mal mais sans plus. Choupette (ou Herbie en V.O.) a cette fois prit sa retraite des courses automobiles et vit maintenant avec une vieille dame et sa petite fille qui se battent pour garder leur maison. Bon voilà, ce n'est pas follement original mais face au succès du premier, une suite était inévitable, je m'étonne d'ailleurs qu'elle n'ait pas été produite plus tôt. Le scénario n'est pas non plus très original car lorsque l'on regarde bien, nous avons le même fond que le premier, les courses automobiles en moins. Effectivement, nous avons une nouvelle fois un personnage qui ne croit pas en l'indépendance morale de la voiture, une histoire d'amour ultra-prévisible et puis bien-sûr un méchant digne de ce nom avec une moustache. Nous avons en effet une nouvelle fois une histoire très manichéenne dans laquelle les gentils et les méchants se lancent des petites attaques continuellement (mais en même temps, sans cela, l'intrigue n'avancerait pas). Bon alors, c'est un Disney familial des années 70, on ne va pas en demander de trop et nous ne sommes pas trop regardant mais j'aurais tout de même aimé une suite un peu plus originale. Surtout que nous avons toujours ce problème de rythme qui est, à l'instar du premier, assez mal géré. En plus de la voiture, nous avons également cette fois le tramway et le juke-box qui sont vivants ainsi que toutes les autres Coccinelles de la ville en fait (la fin part un peu loin dans le délire). Mais bon, encore une fois, comme c'est un Disney, la diégèse, on s'en fout un peu. En ce qui concerne les acteurs, nous avons cette fois-ci, entre autres, Helen Hayes, Ken Berry et Stefanie Powers qui ne jouent pas trop mal. "Un nouvel amour de Coccinelle" n'est donc un indispensable mais une constitue une suite plutôt agréable.
Second volet de la saga de la coccinelle . Un agent immobilier nommer Alonzo Hank ( keenan wynn ) souhaite construire un gigantesque immeuble mais son projet n'aboutit pas car sur l'emplacement ou il désire construire son immeuble se trouve une ancienne caserne habitée par une vielle dame nommer madame steinmetz ( Helen hayes ). Et la vielle dame qui est la tante de séraphin et qui a hériter de la coccinelle refuse de quitter les lieux. Alonzo Hank demande a son neveu ( Ken Berry ) un homme naïf et doux de lui faire quitter les lieux en douceur . Mais ce deŕnier va être confronter aux allié de madame steinmetz la ravissante Nicole ( Stéphanie powers ) et la cocinelle choupette bien décider a la défendre ... Cette suite est distrayante mais décevante par rapport au premier volet. Dean Jones et buddy hackett les héros du premiers films ne sont plus de la partie et ils nous manque terriblement . Ils sont remplacé par le trio Ken Berry , Stéphanie powers et Helen hayes . Un trio sympa mais franchement pas a la hauteur de Dean Jones et buddy hackett . Leur personnages sont fade en comparaison . Tous les trois lutte contre un promoteur nommer Alonzo Hank incarner par keenan wynn qui désire déloger une vielle dame de chez elle pour pouvoir construire un immeuble . Ils vont être aider par notre coccinelle préférer . Une intrigue moins accrochante . Les courses en pleine air manque . Cette suite a beaucoup plus viellit que le précédent nottament a cause de quelques effets spéciaux qui ont assez mal viellit par moment . Les trucages donnant vie a la cocinelle sont toujour aussi réussit par contre. L'humour est beaucoup moins présente ou alors tombe un peu a plat a cause de gags éculé . Malgré tout cette suite est distrayante et se laisse regardé sans déplaisir . L'action est toujour présente et quelques touches d'humour font mouche. C'est toujour sympa de voir les péripéties de notre cocinelle préférer . La musique est toujour aussi efficace . Un des moins bon de la saga mais tout de même distrayant .
Un petit film a déguster en famille pour passer une petit apres midi, qui même ; si la surprise du précédent n'y est plus. Réserve quand même pas mal de bonne séquences. D'autres un peu prise sur le précédent, mais on se laisse quand même prendre au jeu et pour un film de l'époque. LEs effets sont assez réussit (même si la photographie pourrait etre à revoir). Pour ce qui est du scénario, un brin original (en faisant abstraction du 1er) et une mise en scène convenable. Qui nous permet de ne pas oublier le coté disney. Pas un chez d'oeuvre, mais un petit divertissement familiale qui se laisse sans prise de tete.
Largement moins bon que le premier opus, cette suite se laisse suivre sans déplaisir sans atteindre des sommets. La dernière demi-heure est plus imaginatif au niveau des gags, donc plus drôle. Divertissant.
Excellente comédie familiale pour le bonheur des petits et grands. On ne se lasse pas des aventures de notre Choupette préférée. A consommer sans modération.
Cinq ans après l'immense succès d'Un amour de Coccinelle, revoici Robert Stevenson aux commandes d'une suite toujours sous l'égérie Disney qui a tardivement décidé de poursuivre l'aventure. Exit Dean Jones et ses comparses, exit les folles courses automobiles, place à un scénario plus conventionnel, très classique chez les longs-métrages familiaux de chez Disney : après que son ancien maître adoré Jim ait du partir en Europe courir avec d'autres voitures aux prestigieuses marques, Choupette la Coccinelle a trouvé domicile chez la vieille tante de Séraphin, le mécano bouddhiste du premier film. Cette dernière refuse de céder sa demeure à un riche industriel qui souhaite tout raser pour installer son palace. Attaquée de toute part, la nouvelle maîtresse de Choupette sait qu'elle peut compter sur son amie à quatre roues pour la tirer de ce pétrin mais également sur une jolie hôtesse de l'air très serviable (la sexy Stefanie Powers) ainsi qu'un avocat en herbe introverti (Ken Berry, très mauvais acteur) qui s'avère être le neveu dudit industriel, campé quant à lui par Keenan Wynn qui reprend son rôle du tyrannique businessman Alonzo Hawk déjà présent dans Monte là-dessus et sa suite. Cette première séquelle conserve donc le même humour et le même dynamisme dans la mise en scène malgré une Choupette trop discrète, le véhicule n'intervenant que très rarement dans l'aventure. Hélas, Dean Jones et l'inénarrable Buddy Hackett manquent terriblement, cette suite pourtant de qualité n'arrivant cependant pas à la cheville de son prédécesseur. De plus, les scènes d'action "exagérées" sont ici plus nombreuses ; Choupette roule désormais sur les murs, sur le rebord d'un immense building et même sur les câbles du Golden Gate Bridge à travers une course-poursuite par ailleurs très raccourcie du à un montage expéditif. Moins réussie que le premier volet, cette suite reste cependant plutôt sympathique, notamment grâce à une bonne humeur toujours aussi présente et quelques séquences réussies comme lorsque Choupette amène à la révolte d'autres Coccinelles.
Ils ont bien choisi les acteurs, surtout l'insupportable Alonzo Hawk. Les courses poursuites sont vraiment sympas et il a quelques idées amusantes : Le surfer. Parfois, au niveau des effets spéciaux, on découvre une "choupette" miniature, voiture téléguidée mais c'est assez bien fait. Il y a quelques bijoux de scènes, notamment dans l'immeuble de Mr Hawk, super bien fait. Idem du rêve de Hawk et la parade de coccinelles. J'ai adoré !
Fini les courses pour la coccinelle la plus populaire du cinéma, elle a désormais élue domicile dans le garage d’une ancienne caserne qu’une vielle dame veut sauver de la démolition. Ce divertissement destiné aux enfants (voir aux grands enfants pourquoi pas) est sympathique au début par son côté rétro et ses personnages très caricaturaux mais on comprend très vite qu"Un Nouvel amour de Coccinelle" présente un scénario tenant sur un bout de papier, et que les personnages à force d’être caricaturaux en deviennent niais même si les acteurs font preuve d’une certaine autodérision face à cet enchainement de gags surtout calibrés pour les plus jeunes (production Walt Disney oblige). Le film de Robert Stevenson gagne à être vu pour la nostalgie des films de cette époque même si de nos jours le rendu est difficile même pour les enfants.
Parmi touts les épisodes de notre coccinelle adorée c'est peut être celui que j'ai le moins aimé, mais je suis toujours heureux de revoir en film cette magnifique voiture, c'est juste le scenario qui laisse à désiré... Malgré un début un peu lent, le film démarre ensuite et se révèle être une assez bonne surprise. Choupette se retrouve être la propriété d'une vieille dame dont la maison est menacée de destruction par les délires d'un riche bâtisseur de centre commercial. Entre sa voisine et le neveu du méchant riche qui vont l'aider, la vieille dame pourra compter sur Choupette pour sauver sa maison. Cette sympathique suite ravira les enfants et fera sourire les parents. Bref, on passe un bon moment, mais ça reste le moins bon de la saga.