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    Les Poupées russes
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    665 critiques spectateurs

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    CH1218
    CH1218

    165 abonnés 2 779 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 août 2019
    Moins choral que ne l’était « L’Auberge Espagnole », « Les Poupées Russes » nous (re)plonge dans les déboires sentimentaux de Xavier, toujours aussi positivement campé par Romain Duris. Dans cette suite un brin supérieure, Cédric Klapish disserte sur l’amour autour de personnages à l’approche de la trentaine et à la maturité encore hésitante. C’est enlevé, souvent drôle mais il n’en n’oublie pas pour autant la sincérité et l’émotion des sentiments d’un thème ô combien universel. L’enquiquineuse Audrey Tautou, et la savoureuse Cécile de France squattent la première heure alors que la seconde est largement dominée par la plus que charmante Kelly Reilly.
    dougray
    dougray

    216 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 janvier 2012
    Une suite moins réussie que "L'auberge espagnole" mais un bon film malgré tout. Le casting permet de retrouver Romain Duris (toujours aussi parfait) et fait la part belle à Kelly Reilly (métamorphosée), Cécile de France et Kevin Bishop. Le scénario met l'accent sur l'engagement (un classique pour les films de trentenaire) de façon assez originale et le film alterne les moments drôles (Xavier qui fait du pipeau) et plus émouvants (la scène du quai de la gare) mais la 1ere partie reste supérieure à la 2nde, nettement plus classique. A noter en mal, la totalement inutile scène de "la rue aux proportions parfaites" longue et chiante!
    Louis-Auxile M.
    Louis-Auxile M.

    24 abonnés 369 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 novembre 2010
    Bienvenue à Boboland. L'histoire est celle d'un Don Juan métrosexuel qui couche avec qui il veut à travers l'Europe, avant de se rendre compte que la notion d'engagement n'est pas si archaïque à condition que celui-ci soit limité. On dirait que les fantasmes du réalisateur sont directement projetés sur la pellicule, sans aucun respect pour les attentes réelles du spectateur. Et même si l'on en oublie les valeurs, le film n'est pas vraiment beau, malgré l'omniprésence des plus beaux paysages urbains ouest-européens, qui sont parfois les seules choses que l'on saurait y voir. A réserver à un public averti et hédoniste.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 5 avril 2014
    Pour commencer il faut clarifier la situation : le film s'ouvre sur Xavier et le groupe d'amis que nous avions rencontré des années auparavant pendant leurs études en Espagne. Si comme moi vous pensiez que nous aurions droit à une histoire les faisant intervenir régulièrement, sachez que la majorité d'entre eux n'apparaîtra en réalité que lors des dernières minutes du film... Ma déception vient de là : Klapisch ouvre son film avec ces visages que l'on retrouvait avec plaisir, avant de nous faire comprendre que le film se concentrera sur un large éventail de nouveaux personnages et que seuls quatre de ces vieilles connaissances seront mises en avant par le scénario.
    Mais une fois cette mauvaise surprise digérée, il faut reconnaître que Klapisch réussit plutôt bien l'exercice du deuxième épisode (on le sait ce genre d'épisode est toujours soit brillant soit affligeant, qui a dit Les Visiteurs 2 ?). Sans être aussi passionnante que celle de L'Auberge Espagnole, l'histoire des Poupées Russes nous permet de retrouver Xavier, dont le cerveau est toujours un vrai bordel. Et cette fois-ci, l'amour sera davantage au centre de l'intrigue que par le passé. En effet exit les aventures furtives avec Judith Godrèche, cette fois-ci l'angoisse de ne pas trouver la femme idéale est au centre des pensées de Xavier.
    C'est par conséquent avec un réel plaisir que l'on retrouve Romain Duris plongé au milieu d'histoires sans lendemain, de plans foireux, d'ex caractérielles et petites anglaises superficielles. Moi qui ne suit pas franchement friand d'histoires d'amour, je dois dire que celle-ci m'a bien plu, le style de Klapisch y étant pour beaucoup : flashbacks, mélange des cultures (beaucoup de séquences en langues étrangères) situations loufoques ( spoiler: la poursuite à poils dans Paris by Night
    ) mais jamais irréalistes, voix off prépondérante et situations métaphoriques (Celia qui marche au ralenti dans la rue parfaite, la chute est à se tordre). Dommage que les situations manquent parfois de piment, au point de donner au film un rythme moins prenant que précédemment.
    Mais ce qui fait la force de cette saga a toujours été le naturel des acteurs et leur complicité. Et si on ne se marre pas autant que dans L'Auberge Espagnole, on retrouve avec plaisir Audrey Tautou (qui au passage flanque un scud inoubliable à Duris), la craquante Kelly Reilly, le déjanté Kevin Bishop et surtout Cécile de France dont le personnage est toujours aussi savoureux. A noter parmi les nouveaux la présence de la regrettée Lucy Gordon, parfaite en gosse de riche superficielle. Quel dommage, cette actrice avait un potentiel fou.
    Les Poupées Russes sera certes l'épisode le moins réussi de la série en raison d'un rythme moins entraînant que les autres, et avec cette fausse promesse de retrouver le groupe, mais il reste malgré tout une excellente comédie romantique.
    Critik D
    Critik D

    145 abonnés 1 103 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 avril 2016
    J'ai trouvé le film moins bon que le premier volet. Même s'il démontre assez bien "l'après", les questions de la trentaine,... On a droit à quelques séquences ennuyeuse et on fini par croire que Xavier ne va jamais apprendre de ses erreurs. Bien sûr, on retrouve le casting avec beaucoup de plaisir. Ils ont tous beaucoup changé et évolué en cinq ans, j'ai cependant trouvé dommage que tous les colocataires ne bénéficient pas de ce traitement de faveur. La réalisation de Cadric Klapisch est toujours aussi intéressante mais peut-être moins prononcé que pour "l'auberge espagnol", dommage c'était un peu la marque de fabrique. La métaphore finale avec les poupées russes m'a beaucoup plus et représente assez bien le film. Le scénario est plutôt réussi, on sent bien la solidarité entre les personnages et ce lien que personnes d'autres qu'eux ne comprendront. Et définitivement cette expérience les marquera en bon ou non et qu'ils pourront toujours compter les uns sur les autres. Quelques clins d’œils en référence au premier volet sont présent et c'est plutôt plaisant. A sa sortie, le film ne m'avais pas laissé un bon souvenir, je m'étais même passablement ennuyée. Je n'avais jamais osé le revoir, mais aujourd'hui j'ai compris son sens et le message qu'on souhaitait faire passer. Une suite plutôt réussi même si elle ne détrônera pas le premier volet.
    Ti Nou
    Ti Nou

    428 abonnés 3 387 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mars 2008
    Une suite supérieure à son modèle, que ce soit au niveau de l'écriture imbriquée comme des poupées russes, ou au niveau du montage qui apporte rythme et originalité à ces histoires sentimentales toutes simples.
    Fabien S.
    Fabien S.

    476 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 décembre 2017
    Un excellent deuxième volet des aventures de Xavier. Romain Duris reprend avec brio son rôle favori offert par Cédric Kaplisch. On retrouve Audrey Tautou, Cécile de France et Kelly Reilly dans des scènes hilarantes.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 24 février 2008
    Etait-ce humainement possible de pondre un film plus nul que "l'auberge espagnole" ?? La réponse est oui, semble hurler M. Klapisch à la face du monde en nous livrant cet étron qui est une véritable insulte au cinéma. On est proche de l'innomable "2 days in Paris" de Julie Delpy.
    Ne s'appuyant sur aucun scénario, ce film se veut capter l'air du temps, nous livrer, en quelques séquences sans queue ni tête, une chronique, une espèce de "tranche de vie" foireuse. Il n'y a rien de pire que ce genre de démarche! Surtout qu'il est
    impossible de ressentir la moindre empathie pour les "personnages"... Les problèmes de ces fils à papa désoeuvrés sont si inintéressants qu'on en a totalement rien à moudre. Dès les premières secondes du film, on sait que c'est une daube.
    Par la suite on n'est guère surpris, tous les éxécrables clichés à la mode y passent : la complainte bobo du trentenaire qui traine son mal-être dans les beaux quartiers, le cul posé sur la selle de son scooter, et se fait héberger pas sa copine lesbienne dans un loft de 600 m2. Cinématographiquement, c'est à vomir, la musique et le montage sont CONSTERNANTS - images mosaïquées grotesques, accords de guitare bidons... C'est amusant, l'horripilant Romain Duris joue un type qui écrit des navets... Clin d'oeil au scénariste des "poupées
    russes"? Et puis alors, la vie sexuelle (soi-disant débridée) des trentenaires branchés, ça a un intéret voisin de zéro... il va falloir que les tenants du cinéma français lobotomisé finissent par l'admettre.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 187 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    A force d’être lassé par les lourdes conventions du cinéma français, on ne peut que s’enflammer face à ces "Poupées russes" tant la réalisation de Klapisch est dynamique et inventive et tant l’interprétation est saisissante (Romain Duris, vous êtes un Dieu !). Comble du luxe : plus qu’une suite à une "Auberge Espagnole" déjà bien sympathique, ces "Poupées Russes" sont une véritable transcendance du propos initial. On retrouve des personnages qui ont mûris, on les retrouve face à un nouveau tournant de leur vie, bref on leur découvre une dimension supplémentaire… en bref, ces "Poupées Russes" adopte une démarche qui devrait être au fond celle de toute suite qui se respecte ! Après tant d’éloges, on pourrait néanmoins reprocher à ce film de sombrer un peu sur sa fin dans le conte assez mièvre (…alors que le propos cherchait justement à condamner ce type de démarche !), mais ce serait vraiment chipoter car ce Klapisch est (comme toujours) de très bonne facture.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 9 mars 2013
    Autant j'ai aimé "L'Auberge espagnole" autant ce second volet fait vraiment réchauffé, fade, inutile finalement! Grosse déception...
    Pleymo210
    Pleymo210

    46 abonnés 499 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 juillet 2011
    Une suite un brin plus décevante puisque la magie de Barcelone est passé. Il est en tout cas intéressant de voir l'évolution de tous les personnages dans la société. C'est tout simplement la suite de ce que Klapish avait débuté dans le premier volet, un Romain Duris toujours aussi bon .
    DenbroughX
    DenbroughX

    53 abonnés 314 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 août 2010
    Une suite de l'Auberge Espagnole plus centré sur le thème de l'amour, où toute les scènes du film se rejoignent, Cédric Klpaisch semble avoir un grand contrôle et une analyse profonde sur le temp et les changements que celui-ci opére sur nos vie. Il transmet alors sa vision à Xavier, le personnage princpal, qui voit la vie proffessionnel lui sourir mais l'avenir sentimentale se jouait éperdument de lui, il en viendra même a douté de son existence. Ainsi à 30 ans, Xavier qui collectionne les défauts et les imperfections est victime de tous les cruels discfonctionnement d'un système en désorde, tout comme sa vie. Sans cesse otage du quotidien, esclave de son travail et de ses patrons, il se rendra compte que le bonheur ainsi que l'amour, se cache tout près et que le mieux et l'ennemi du bien. Un second opus qui garde le même esprit tourné vers l'ironie et l'auto-dérision mais souvent très réaliste , la même fraicheur dans la réalistation en allant chercher plus loin encore que son prédécesseur, en s'encrant dans un nouvel univers, puisque l'histoire se passe six ans après "L'Auberge Espagnole". Klapisch ne délaisse pas pour autant les personnages qui gagne de la profondeur au fil des minutes et que l'on est heureux de retrouvé, toujours aussi rayonnant et attachant. Une oeuvre riche et intelligente, qui met en valeur le talent et l'énergie de ses jeunes acteurs, Romain Duris en tête.
    Najou
    Najou

    13 abonnés 234 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 août 2007
    L'auberge espagnole sans être un chef-d’œuvre, gardait un côté frai et sympathique. Ce film que l’on espérait au moins aussi bien se révèle très très moyen. D’une banalité affligeante au niveau du scénario, l’histoire se résume à un fricotage dans tous les sens pour finalement arrivé à the morale du film : faut pas chercher la perfection ça existe pas. Et la les spectateurs sont éblouis : on ne le savais vraiment pas ça ! Le film a en plus de grosses longueurs (donc lourdeurs) et des effets de style qui donnent l’effet de combler les blancs, histoire que le film ne soit pas trop court… (On voit quand même des jambes de femme pendant 5 minutes en entendant romain Duris dire des choses insipides, heureusement il y a le gros « CONASSE » de la fin pour nous réveiller !). Enfin je donne une étoile pour quelques bonnes scènes (la caricature du « vieux qui joue au jeune » avec la mère de romain ou celle des téléfilms, les scène avec cécile de France) et la magnifique Kelly Reilly !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un bon film français branchouille... De l'ennui à l'état pur, des anecdotes insipides et une sorte de manuel de vie pour les trentenaires. Prétentieux et soporifique.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 18 septembre 2009
    Ce film est d'une nullité consternante. On pouvait s'attendre à mieux après l'Auberge espagnole.
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