Derniers Avis : Terminator Renaissance - Page 7

Franchement plutôt bon et c'est une surprise ! Le scénario est réussi, les scènes d'actions également, les acteurs sont convaincants (même si forcément un Terminator sans Schwarzenegger c'est un peu étrange !). L'idée du cyborg interprété par Sam Worthington n'est pas inintéressante comme le fait que l'action se déroule pour la première fois après le jugement dernier. Allez, un 4 étoiles assez généreux pour ce 4ème épisode qui finalement est surement un poil supérieur au 3ème tout en restant forcément très loin du 2 et bien inférieur au 1er.

Oui oui et oui ! Enfin l’affront du Terminator 3 est lavé avec ce 4e opus sans Schwarzy (ou presque puisqu’on a quand même droit à un petit clin d’œil en images de synthèse) qui se révèle être très efficace. Les scènes d’action sont souvent époustouflantes, les liens avec les précédents sont cohérents (on retrouve bien les scènes du premier où Michael Biehn apparaissait dans le futur) et le scénario tient la route. Et c’est vraiment un point important à souligner : Terminator Renaissance n’est pas seulement un film d’action visuellement sublime, mais aussi une voie pour relancer une franchise qu’on croyait morte. En effet, les pistes explorées dans ce scénario ouvrent la possibilité d’autres épisodes (pas trop non plus attention) dans la lutte face à Skynet. Coté acteur, Christian Bale est toujours excellent, quelque soit le costume qu’il endosse (de toute façon depuis American Psycho, je le trouve énorme) et Sam Worthington lui offre un face à face de choix et irait presque même jusqu’à lui voler la vedette. Et puis quel bonheur de voir Helena Bonham Carter dans de furtives apparitions, avec Danny Elfman en chef d’orchestre, on se croirait presque dans un Burton !!!
Bref, on prend un réel plaisir à regarder ce film qui nous replonge dans les premiers épisodes cultissimes de la saga (pas mal de clins d’œil se sont d’ailleurs glissés dans le film) en respectant bien sa mythologie tout en donnant un coup de neuf à la franchise. Bravo donc à ceux qui ont osé prendre la suite de James Cameron, sans Schwarzy et après l’échec du 3, il fallait du courage mais le résultat en vaut la peine.

Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)

Du pur génie, j'ai adoré.
On se retrouve en pleine guerre entre l'humanité et les machines, l'action est omniprésente, l'histoire est captivante et la mise en scène prenante.
Rien à dire, ce film est un pur chef-d'œuvre de science-fiction.

Sans doute le meilleur Terminator depuis Judgment day. Enfin on explore la période de guerre, Bale assure un John Connor parfait loin du débile Genisys. McG signe la un film difficile loin de la machine ne fonctionnant qu avec Schwarzy ( malgré l hommage final).
L imagination dépeint du monde apocalyptique proche de Mad Max(poursuite avec les moto-bots).
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Le quatrième Terminator nous amène enfin au temps de l'avènement des machines. On est en face d'un Mad Max post apocalyptique dominé par les robots. Les effets spéciaux sont de qualité et le rythme est soutenu. Christian Bale est excellent en John Connor comme souvent avec lui. Un bon divertissement cohérent avec l'histoire globale des Terminator.

Un quatrième volet efficace et époustouflant avec une histoire qui tient la route, un casting convaincant et des effets spéciaux époustouflants.

Quand il n’investit pas dans de célèbres séries du petit écran, Joseph McGinty Nichol alias McG dépanne ses compatriotes en galère de metteurs en scène. Il n’a certes pas la virtuosité d’un grand, mais son souci du détail lui permet d’honorer sans rougir les quelques commandes qui lui sont attribuées. Cette fois la tâche n’était pourtant pas simple. Après un troisième opus calqué sur son prédécesseur, Terminator renaissance se veut reboot audacieux, novateur au point de réduire Schwarzy à une incrustation. Casting entièrement renouvelé, décor sevré des rues de Los Angeles, futur omniprésent, les nombreuses références empilées avec soin n’y peuvent pas grand-chose : on a peine à sentir pleinement l’ADN qui régit la saga. Mais le titre original est juste, l’effort était salvateur. Il redonne du souffle à l’intrigue, et repousse ainsi le spectre de la lassitude. La mise en scène est tout ce qu’il y a de plus convenue, usant de ficelles grossières et s’en remettant souvent aux prouesses des effets spéciaux. Mais elle peut aussi compter sur le meilleur Connor, puissant Christian Bale, et sur un Danny Elfman brillant dans son assombrissement, lui qui d’ordinaire est complice de rêveries Burtoniennes assez loin des cauchemars réalistes cyberpunks. A l’arrivée, c’est un film étrange, à la fois déstabilisant et familier, mais peut-être après tout d’abord divertissant. Et surtout, qui donne envie de poursuivre une série qui commençait à s’époumoner.

Un film honorable et divertissant. Après un T3 décevant et commercial, Renaissance est le premier et pour l'instant seul opus à se situer entièrement dans le futur et présenter le totalitarisme guerrier de Skynet. Si on peut regretter un petit manque de panache par rapport aux T1 et T2, Renaissance fait passer un bon moment et offre un point de vue différent.

Ce quatrième opus de la saga dépasse le troisième opus même sans Arnold Schwarzenegger spoiler: (même si il y fait une apparition surprise digitalisée)
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Tout comme le troisième opus, la continuité est respectée et je ne comprend pas les gens ayant laissé des commentaires négatifs.

Un excellent quatrième volet. Malgré l'absence d'Arnold Schwarzenegger, l'interprétation de Christian Biale dans le rôle de John Connor est une bonne performance d'acteur. L'apocalypse est bien montrée. Un bon film de science-fiction.

Terminator Renaissance qui est la suite du 3ème volet est un film qui est bien , le scénario est assez simple , le film est bien mais sans plus je trouve mais ce film se regarde , le défaut que je trouve a ce film c'est que les acteurs des 3 volets de Terminator ne sont pas les même que dans ce volet

Ce 4ème volet de Terminator manque cruellement de scénario. Comme pour la plupart des films de SF depuis bien longtemps déjà, me direz-vous. Donc l'action et les SFX exceptionnels sont là pour cacher la feuille blanche. Pour les acteurs, il n'y en a que 2 : Bale et Worthington. Yelchin, censé être le Reese du futur, ne lui ressemble pas du tout physiquement. Et encore moins au niveau de la personnalité. Les autres acteurs sont consternants de vacuité. Ok, il n'y a pas de scénario. Mais le pire dans tout ça reste cette technologie futuriste beaucoup plus évoluée que dans celles du T1-T2. On retrouve donc la même incohérence que dans "Prometheus" ou les "Star Wars 1-2-3". On pourra aussi noter les références, un peu trop marquées, à "Blade Runner", "Transformers", "Guerre des Mondes", "Mad Max" et surtout un medley pas très finaud de la fin des T1-T2. Avec une incohérence majeure, lorsque le T-800 reçoit le contenu d'une cuve en fusion. Il se relève sans problème. Rappelons que dans le T2, John Connor fait dissoudre Arnold T-800 dans une cuve en fusion. En dépit de tous ces points négatifs, ce T4 a tout de même un atout majeur : son rythme effréné. Difficile de s'y ennuyer. Au final, on pourrait plutôt considérer ce film comme un épisode annexe de Terminator plutôt qu'une suite. Pas mémorable mais pas non plus une bouse. Juste un énième blockbuster de base, avec sa panoplie de SFX impressionnants pour palier le manque de scénario.

Après avoir beaucoup apprécié les deux premiers volets de la saga, après avoir failli vomir devant le troisième, j'étais plutôt réticente à découvrir ce quatrième volet. Puis j'ai vu Christian Bale, puis Sam Worthington, puis Helena Boham Carter ou encore Michael Ironside. Et je me suis dis qu'il y avait déjà quelques noms bien intéressant dans le casting. Ce quatrième film se passe cette fois après l'apocalypse. Le début de la rébellion de John Connor qui est finalement formaté pour cette guerre. On a presque envie par moment d'imaginer, et si John Connor n'avait jamais su... ça n'a durée qu'un cour instant mais je me suis posée la question. Ce film est plutôt bon, on se laisse facilement porter par cette nouvelle aventure, dommage que l'on approche de la date fatidique dans la réalité ça n'aide plus à se projeter. Bien sûr ce n'est qu'explosion en tout genre et sensationnel pour en mettre plein la vue. Mais le scénario reste toutefois travaillé et tente de suivre les épisodes précédents. Le film a personnellement répondu à mes attentes. Il était toutefois étrange de ne pas voir Arnold de tous l'épisodes (ou presque) lui qui portait la saga jusqu'à présent. Heureusement que la musique continue d'apparaître ça me donne toujours autant de frisson.

Inutile ( spoiler: à l'image du scénario qui se contente de piller la saga pour restituer un mauvais film d'action sans aucune envergure ou réflexion. Les canons de base de l'oeuvre initiale ne sont pas respectés. Faut il rappeler aux géniaux scénaristes, que la saga Terminator prend sa place dans un futur post conflit atomique. Au lieu de cela, le film enfile les clichés avec une grâce digne d'un lingot de plomb. La grand-mère (qui offre des légumes (sigh faut il rappeler que lors d'un hiver nucléaire, les poussières et cendres soulevées par les bombardements, bloquent le rayonnement du soleil, interrompant le cycle des saisons, la photosynthèse et tout le toutim (??) et faisant chuter la température sur toute la planète ? Alors allez cultivez des légumes). La encore, est il nécessaire de rappeler qu'à la base, l'humanité qui crève de faim, dans des infrastructures explosées, est traquée par des machines de combat ultra dangereuses (cf T1 et T2), parquée dans des camps pour y être exterminée (Souvenirs de la Seconde Guerre Mondiale et des pires atrocités que l'humanité créa contre elle même) et le risque de se voir disparaitre à jamais. Rien de tout cela, du caractère oppressant de cet oeuvre de son coté noir et désespéré, voir aussi de la réflexion de la mise en garde l'humanité contre elle même sur ses tendances guerrières et auto destructrices ne sera abordé. Et encore moins de l'efficacité légendaire des Terminators. Ici un Terminator T-600 armé de Gatling n'est pas foutu d'aligner un humain à moins de 100 m (?!). Une petite fille, sourde de surcroit, survit dans un environnement urbain truffé de pièges et infestés de Terminators (avec une bonne petite couche de radio-activité par endroit) ?! Quand aux personnages, on passera, Marcus Worrington représentant une expérience euh banale voir incompréhensible. Dommage car il représentait un axe important : "suis je un homme ou une machine ?". (Pourquoi a t'il été créé ? A quoi sert il ? Est ce une nouvelle unité d'infiltration de Skynet ? voila qui aurait été intéressant en enrichissant la saga tout en la respectant). On aura pas le temps de philosopher et d'en savoi plus sur la question puisque le pauvre exécute des cascades, se fait le chevalier d'une pilote d'avions de la résistance et fait de jolies cascades sur sa moto à la triple XXX (au passage, on remarquera qu'il y a encore des arbres sur la base de la résistance et que le bruit et les éclairs dégagés n'attirent pas les machines! Autre incohérence mais on est plus ça près hein). Les motos jouent également très bien (belle pub déguisée pour le fabriquant) par contre, il faut d'urgence les renvoyer sur le ban car si elles exécutent de magnifiques saltos avant roulé boulé rééquilibrage et récupération à fond la caisse en mode poursuite, elles se loupent encore pour l'épreuve" comment gérer les cordes tendues devant les roues" en ligne droite. Les seconds rôles sont sans intérêt avec des réactions primaires du style : "Tiens je te tire dessus toi l'ennemi robot enchainé pour venger mon frère qui est mort". Ouh subtilité et intelligence ! Ouh quelle profondeur psychologique... Au fait, elles sont pas rationnés les munitions les gars ?! Ah non, suis je bête, vous avez mis la main sur un stade que dis je des stades de foot d'armements dont des avions de combat qui volent dans ce magnifique ciel bleu de carte postale, des sous-marin (tout va bien). Un petit caméo pour le T-800 mais douloureuse question du fan de base :"mais que fait il dont la ?" Le premier Terminator semble avoir été déployé en 2029 avant d'être expédié à travers le temps en 1984. Alors que fait il la en 2018 ? (....) Enfin, plus grave problème qui prouve que l'on prend les spectateurs pour des personnes intelligentes, on a obtenu zéro réponse au résumé mis en avant à savoir : "Alors que Skynet prépare l’assaut final, Connor et Marcus s’engagent dans une odyssée qui va les mener au coeur même des opérations de Skynet. Ils y perceront le terrible secret qui se cache derrière l’annihilation programmée de l’humanité tout entière"... Ca, cela s'appelle en terme marketing de la publicité mensongère. Si Skynet veut terminer l'humanité c'est que celle çi a souhaité l'éteindre lorsqu'il est devenu autonome (en 1997 - Time line terminator 2). Se sentant menacé et atteint dans son existence il a déclenché un confit nucléaire mondial afin de se débarrasser de ses ennemis (cf Terminator 2). Donc en gros, on invente n'importe quoi pour vendre un film. "J'oubliais pour finir un montage fait à la hache et vous avez le meilleur film de la sage en commençant par la fin. Que quelqu'un débranche les scénaristes et le réalisateur (très vite si possible). "

Beaucoup mieux que le 3eme opus mais ça reste en deçà des deux premiers.
Plutôt une bonne suite bien rythmé et de beaux effets spéciaux (mise à part le cameo de Shwarzy version numérique), j'ai bien aimé que l'histoire se déroule enfin avec la guerre des machines qui nous offre de bonnes scènes d'actions assez impressionnantes.
J'ai aussi beaucoup aimé le personnage et l'histoire de Marcus, le perso le plus intéressant du film en faite.
Par contre, déjà que je suis pas fan de Christian Bale, j'ai pas aimé son interprétation de son John Connor, il ne montre aucune émotion, déjà qu'on était pas gâté dans le 3. Dommage car on s'est vraiment attaché à lui dans Terminator 2.
Après c'est pas non plus un film indispensable mais ça reste très divertissant dans l'ensemble.