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Master-Val
5 abonnés
156 critiques
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4,0
Publiée le 16 septembre 2011
L’Inspecteur Ludlow est le meilleur flic deLos Angeles, malgré ces méthodes quelques peu violentes qui laisse à désirer. Heureusement, il est protégé par le Capitaine Wander qui le traite comme son fils. Mais quand, Ludlow est soupçonné de meurtre, celui-ci va devoir prouver son innocence en trouvant le coupable. Pour cela, il va devoir se battre contre un système de police et de justice corrompu. Au bout de la Nuit, c’est surtout un suspens intenable, un thriller haletant, une chute et une fin exceptionnelle. Le casting est superbe et à la fois intéressant. On y voit Hugh Laurie, très rare dans les films, aux allures de méchant, manipulateur, Chris Evans, vu comme un jeunot, qui n’est pas du tout sûr de lui, Forest Whitaker convaincant sans plus, et Keanu Reeves, à l’aise depuis longtemps dans ce genre de rôle. Le début est muet et lent à commencer mais après, on est lancé dans l’action et l’intrigue jusqu’à la fin, avec quelques pauses qui nous font quand même attendre avec impatience la reprise des hostilités. Le début est également difficile à comprendre et certains endroits dans le film pareillement à cause du manque d’informations. Les musiques sont classiques à la manière des films cultes d’action. L’histoire est bien cherchée, fouillée et détaillée dans l’ensemble. Elle garde quand même un côté mystérieux et farfelu dans le même genre que Slevin ou Hitman. Les décors sont glauques, pauvres et on a l’impression que la peur et la terreur y vivent. Pour résumer, un bon film policier d’action typiquement américain avec une belle brochette d’acteurs à ne manquer sous aucun prétextez si il passe à la TV.
C'est un polar américain pur jus c est à dire un scénario bien ficelé mais bon le flic alcolo ...les caricatures blacks et les bons mots de la police c' est vraiment du grand classique...
Un assez bon film avec son lot de rebondissements (quoiqu'un peu previsibles) et de tetes connus malheureusement keanu reeves completement endormi en tt cas pas convaincant baisse la qualité du film
Un thriller assez emballant mais qui manque de rythme par moment. Une histoire sur les magouilles dans le monde de la police américaine qui est bien menée et un Keanu Reeves epatant.
au bout de la nuit est un tres bon film sur la police corrompu!!!!!! keanu reeves et forest whitaker nous prouve qu'il sont a l'aise dans leur roles !!!!! la fin est etonnant!!!!! bref un tres bon film pour ma part!!!!!
"Et un de plus", pourrait-on s'exclamer à la vue de ce nouveau polar sur les dessous de la police américaine. En effet, "Street kings" rejoint le cortège des "Training day", "We own the night" et autres productions du même genre. Certes, on retrouve à l'affiche ce bon vieux Forest Withaker, ainsi que le désormais joufflu Keanu Reeves. Autre raison de saliver, la plume de James Ellroy, toujours si délectable. Mais bon, ça sent le réchauffé. Malgré ces légitimes appréhensions, "Street kings" se révèle être une tuerie, dans tous les sens du terme. Des personnages troubles que James Ellroy a su rendre terriblement humains, un suspense haletant, une BOF percutante, des scènes d'action saisissantes, des dialogues assez bien ficelés. On pourra toujours reprocher la prévisibilité du scénario car, pour les êtres nourris au biberon du cinéma que nous sommes, les ficelles du suspense n'ont quasiment plus de secret. Cela ne gâche pourtant en rien le plaisir, et "Street kings" s'affirme comme un excellent viagra cinématographique.
Mais non ! Mais non ! Ce n’est pas une biographie du groupe Images. Le film de David Ayer est un policier tendu, sombre et violent qui ne manque pas d’intérêt. Le scénario du film n’est pas génialement innovant mais il est assez tarabiscoté pour capter résolument l’attention. Ce qui en fait un peu le sel, c’est que le « héros » du film est un policier plus que border line qui se rend compte au cours de son enquête que certains de ses collègues sont encore plus pourris que lui. En nous épargnant le traditionnel héros tout blanc comme neige, Ayer se permet de plonger les deux mains dans la fange : c’est crado, ça pue et ce n’est pas trop manichéen parce que le mal est partout. Cependant si vous cherchez un regard neuf sur la banlieue, passez votre chemin : ce n’est pas la caricature qui effraie Ayer. Vous aurez donc droit à votre cota de gros blacks en voiture rutilante avec le rap à fond, d’hispaniques tatoués et de Coréens violeurs. Le fond est donc passable mais la forme est séduisante. Glauque à souhait, tendu comme l’arc de Guillaume Tell, Au bout de la nuit respecte tout les codes du genre et se laisse voir même s’il ne fera pas date.
Au bout de la nuit est une réalisation correcte, dont le principal défaut et le cruel manque d'originalité. C'est du réchauffé et en ce sens, on se doute rapidement de la consistance du twist final. Le film est sujet à certaines longueurs et certains passages sont relativement mal amenés. Par chance, le film sait se rattraper sur son ambiance sombre et son climat oppressant captive sans forcer et laisse au spectateur une bonne impression. Les performances des acteurs sont bonnes et le scénario, s'il ne brille pas son innovation, reste efficace ! Au bout de la nuit sera à servir aux amateurs de polar violent et ténébreux, mais on lui préférera La nuit nous appartient.
En voilà une bonne surprise. J'ai enregistré par hasard ce film à la télévision et je viens de le visionner. C'est vraiment un bon film, un polar noir et violent, avec une tension permanente. Il y a des rebondissements, de belles scènes d'action et une très belle interprétation de Keanu Reeves (sans doute un de ses meilleurs films) ainsi que de Forest Whistaker. Je le recommande vivement à tous les amateurs de polar. C'est aussi un très bon film sur la corruption dans la police. On a belle brochette de flics ripoux.
Un scénario aux airs de déjà vu, mais pourtant original, une réalisation intéressante, posée, n'étant mouvementée que lorsqu'il le faut, et des acteurs au sommet de leur forme, et même surprenant (Keanu Reaves). Bref un excellent spectacle, et du grand spectacle comme Hollywood fait de moins de moins.