Derniers Avis : Marie-Antoinette - Page 5

ce film est un véritable affront a la France
ce film est une véritable honte .
continuez vos fantasmes dans des hôtels pour milliardaires et ne touchez plus par pitié a l'histoire de France .

Un grand film qui cherche à allumer l’outre vissage de l’histoire de Marie-Antoinette en réalisant d'un beau portrait d'elle. L’œuvre de la réalisatrice, en outre de parler d'une maniéré différente de l’histoire de Marie-Antoinette exprime fortement l’univers de Sofia Coppola en cherchant à miser en relief la beauté en chaque opportunité. D'un part, vous avez une magnifique mise en scène à Versailles qui est beau il même. D’autre part, la musique du film est vraiment géniale grâce à une composition de thèmes des musiciens brillants par exemple, The new order, The Strokes et The Cure. De plus, Kirsten Dunst a fait une interprétation brillante de la plus jeune reine de la France. Ce dont je suis amoureuse, c’est la mélange des éléments qui ont fait de Marie-Antoinette un vrai chef d’œuvre.

Doux, élégant, sublime... Sofia Coppola livre un film d'une grande beauté. Les décors, les costumes, la photographie, les musiques sont divines (comme toujours chez la réalisatrice). De plus, Kirsten Dunst est toujours aussi charismatique. On est ainsi plongé dans la vie d'une jeune femme, Marie Antoinette, coincée dans les protocoles et ses devoirs de femme du 18ème. Un film très touchant, qui nous enferme dans une routine infernale, répétitive mais toujours avec un rythme prenant qui est sublime. Le film tourne en ridicule la royauté, ses protocoles et même ses membres. On est alors placé du point de vue de Marie Antoinette, au milieu d'une vie de luxe certes mais difficile, avec des obligations, de l'ennui et surtout au contact permanent des racontars et ragots des autres de la cour. Elle aura donc la fête et les plaisirs de la vie pour s'échapper...
Certes le film est historiquement inexacte (des anachronismes volontaires d'ailleurs) et le film un peu long (quelques longueurs), mais le rythme, bien que lent nous emporte dans l'histoire. A voir

Musique anachronique et ambiance vaporeuse, Sofia Coppola sublime la reine la plus impopulaire de France sans peine. On l'envierait presque... La fille à papa (x2 ici) confirme son talent pour le multigenre avec un style plein de codes féminins légers et aboutis bien à elle. Arriver à dévoiler l'extravagance de Versailles en la sublimant et dénonçant son train de vie hors norme évident tout prêt à être révolutionné... C'est certes un peu tiré par les cheveux et par moments on se demande bien ou la miss veut en venir, mais c'est franchement envoûtant, et l'exercice est assuré avec style. Puis Kristen Dunst après Virgin Suicides donne le "la" pour la tête d'affiche, elle transmet tous les sentiments de la jeune reine de façon naturelle. De sa quête désespérée mais maladroite à la consommation de son mariage à sa transformation en consommatrice extrême totalement tournée vers elle-même. Mais le principal problème c'est qu'elle nous paraîtrait presque sympathique, ce qui est quand même mal connaître le personnage original... Dommage qu'à Versailles on ne parle que si peu français aussi mais on a compris le problème, régulier finalement. Une façon moderne de présenter la désuétude des déboires de la cour du roi, exquis.

Marie-Antoinette est un bon film historique,retraçant en partie la vie de la dernière reine de France avec une Kirsten Dunst fabuleuse dans ce rôle . Même si tout n'est pas passé au crible,on peut tout de même cerner un peu la personnalité de la reine et sa place importante au sein de la cour.Le choix de certaines musiques est parfoir inapproprié au contexte.

Très déçue... Une bande son complètement à côté, film vide, presque ennuyant. Des faits historiques bâclés voire même oublié.

Une agréable balade autour d'un portrait de jeune femme. Tout juste sortie de l'adolescence, la jeune Marie-Antoinette se voit forcée de délaisser son Autriche pour venir habiter à la Cour de France épouser le jeune Dauphin. Elle va se retrouver plongée dans un monde hostile, superficiel et trop grand pour elle, où ses devoirs de femme du monarque l'empêcheront de s'épanouir... Troisième réalisation de la brillante Sofia Coppola, "Marie-Antoinette" prend à contre-pied la haine dont fait l'objet l'épouse de Louis XVI pour en faire une jeune femme perdue et rêveuse dans la lignée de "Virgin suicides" ; le choix de Kirten Dunst pour l'incarner est vraiment pertinent tant l'actrice retranscrit à merveille l'innocence perdue de son personnage. Mariée de force à un homme qui ne l'attire pas, soumise à toute une série d'obligations insignifiantes voire ridicules pour elle, la jeune femme se retrouve littéralement perdue dans ce monde qu'elle ne comprend pas et c'est ainsi qu'elle se tourne vers la décadence.. Ce film n'est en rien un récit historique car les incohérences sont nombreuses (à commencer par la bande-son rock'n'roll) mais plutôt un portrait de jeune femme perdue. La mise en scène de Coppola retranscrit de manière moderne et colorée la vie au château de Versailles et cela donne à l'histoire une sorte de beauté malaisante tant cette richesse est étouffante pour le personnage principal. Une nouvelle fois, la réalisatrice nous montre son savoir-faire pour capter avec poésie la nature féminine.

Une vision simpliste d'un personnage complexe. On suit plus une princesse version Walt Disney que la reine certainement la plus connue de l'Histoire de France. A propos d'Histoire, en dehors des costumes, de la représentation de la Cour (tout cela est parfait), on passe à côté du souffle épique des prémices et des débuts de la Révolution qui sont totalement survolés. Reste une Kirsten Dunst bien dans son rôle et l'originalité d'une bande son contemporaine.

films mal réalisé... quand on traite un sujet, on doit le traiter dans son intégralité. le film est bâclé.

Pour son troisième long-métrage, Sofia Coppola adapte à l'écran avec élégance mais sans panache la vie de Marie-Antoinette. Toujours aussi doué pour la mise en scène, la cinéaste américaine nous propose comme à son habitude un film superbement réalisé doublé d'une direction artistique de qualité. Versailles est sublimé par la caméra de Coppola qui s'appuie sur de très beaux décors et sur une bande originale qui offre un beau mélange entre musique classique et musique anachronique. Kirsten Dunst se voit offrir un rôle sur mesure et brille littéralement à l'écran du début à la fin. Ce long-métrage manque néanmoins à mon goût d'intensité dramatique et de relief pour que je puisse pleinement m'y investir en tant que spectateur. La réalisatrice du brillant "Lost in translation" ne semble pas avoir grand chose à raconter et livre un portrait de femme que j'ai trouvé étonnamment creux. "Marie-Antoinette" reste un joli moment de cinéma, un film agréable à l’œil qui manque un peu de profondeur pour se hisser au niveau des autres oeuvres de Sofia Coppola.

Il y a de très bonnes choses mais surtout une liberté très grande dans l'oeuvre de la réalisatrice qui ajoute beaucoup de musiques modernes à "Marie-Antoinette" qui ruine tout de même une belle partie de son travail. Sofia Coppola montre les excès du "Versailles" de l'époque et une certaine moquerie de la cour de France à l'époque. Friandises, garde-robe de la reine... Beaucoup de faits sont réels et les costumes très pittoresques spoiler: Dont une paire de "converse" dans la scène des essais de chaussures
. Ce serait une grande réussite sans les nombreux anachronismes de la réalisatrice. J'ai pourtant aimé la mise en scène majestueuse, les décors et l'aspect très vivant de Versailles qui nous semble, dans ce film, très proche ! Une belle oeuvre, maintenant que je le revois. Kirsten Dunst, en particulier, y est absolument magnifique !

Que dire ??
... pffff
Sofia Coppola aurait pu s'instruire un minimum sur le sujet avant de faire son film...
Même pas capable de trouver un acteur "adapté", elle propose le rôle à un acteur de moins d'1m70 pour interprété Louis XVI qui mesurait 1m93 !!!
Aucune crédibilité = incohérences = ennui = MAUVAIS
Ce film est, pour le coup, une mauvaise farce, une parodie et une insulte à notre histoire.
On l'avait déjà vu dans Geisha boycotté au Japon !!

De cette vision pop et colorée d'un Versailles revisité par Hollywood se dégage un profond ennui que rien ne vient sauver. Comme à son habitude, Sofia Coppola filme ce qu'elle connaît de son monde, c'est-à-dire des jeunes gens riches qui ne savent que faire de leurs mornes journées – effectuant ceci dit un travail pas inintéressant sur l'absurdité d'un protocole poussé à l'extrême – sans rien parvenir à nous transmettre d'autre que l'idée qu'être riche, c'est trop dur. Creux, superficiel et assommant.

Une question me vient tout de suite à l'esprit: pourquoi avoir choisi d'y mettre des anachronismes ? C'est censé être drôle ou symbolique ? Dans un cas comme dans l'autre, c'est raté. Elles désservent complètement le film. Si la musique on ne peut plus contemporaine du début à de qui faire grincer des dents, le pompon est atteint quand on voit des gens danser au rythme d'une musique du même genre. En plus des anachronismes dont le caractère volontaire n'excuse absolument rien, il a un usage étrange des éllipses: au moment où le peuple gronde, on croit qu'on va avoir droit à un peu d'action, bah non. POUF, ellipse, et plan sur une scène d'après combat.

Pourquoi avoir fait un tel choix artistique ? à ce stade-ci, on pourrait me dire que le film a été coproduit par The Asylum que ça ne me surprendrait pas plus que ça.

Sofia Coppola nous délivre toujours (sauf Somewhere) quelque chose d'intéressant, de personnel et de grande qualité artistique. Ici le tournage à Versailles-même, les décors et les costumes sont totalement Oscarisables. Kirsten Dunst quant à elle irradie l'écran par sa présence. Par contre par goût personnel, je me sent étrange à tous ces protocoles et ce choix de point de vue par la tête de Marie-Antoinette laisse un vide sur le contexte historique (surtout quand le film s'arrête avant que l'histoire devienne encore moins "drôle"). Merci au bonus du documentaire BBC du Blu-Ray pour l'histoire complète afin de ne pas en sortir aussi ignare qu'au départ.