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Roub E.
729 abonnés
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2,5
Publiée le 29 décembre 2020
Deuxième Oss 117 ancienne version que je découvre et je me suis moins amusé. C’est effectivement du sous James Bond qui a beaucoup vieilli par certains de ses aspects mais qui est assez réussi par d’autres. L’enquête et la mission d’Hubert Bonisseur de la Bath sont assez ridicules, mais quelques scènes sont amusantes comme la baston avec le sumo. Et puis au second degrés on peut s’amuser du côté ringard du personnage qui sera si bien parodié dans la version avec Jean Dujardin. Sans arrière pensée ça peut passer, si on veut s’en moquer ça marche aussi.
Une sorte de James Bond des années 60, plutôt réussi malgré le montage à l'ancienne et les raccourcis scénaristiques. Pas mal mais aujourd'hui obsolète. Se regarde sans se retenir, le tout ayant été déjà vu et revu dans les James Bond...
En réalisant le deuxième OSS 117, Michel Boisrond crée un succédané low cost des James Bond. Peu de gadgets, peu de cascades, peu de bagarres, peu de luxe et peu d’érotisme, malgré une scène torride, lorsque le « héros » place un micro dans la robe de la sublime Marina Vlady. C’est à peu près, avec la visite de Tokyo, le seul intérêt de ce navet, pourtant scénarisé par Terence Young.
OSS117 est le James Bond à l'européenne, avec une touche de classe bien française, un côté vif italien et une rigueur allemande. L'ensemble est bien conçu, sans temps mort avec ce qu'il faut d'action, d'exotisme et d'amourette soft. On est loin d'un blockbuster américain et d'une comédie déjantée à la "Dujardin".
James bond version low cost, qui a le goût des co-productions européennes (France, Italie, Allemagne) des années 60, donc qui n'a aucun goût. Honnêtement, je m'attendais à pire, mais tout cela est très mou et manque d'humour, de surprise, de classe... Le Japon est bien mis en valeur pour un public occidental... Je l'avoue, j'ai regardé cet Oss 117 uniquement pour Marina Vlady, bien peu concernée par le film mais à la beauté absolument renversante (sans doute les plus beaux yeux du cinéma, toutes époques et tout pays confondus).
Un très bon opus de la série OSS 117, du bon cinéma d'espionnage avec des scènes d'action plus que potables pour l'époque ainsi qu'une interprétation de qualité. En tout cas, tout cela est bien au dessus des dernières daubes produites avec Jean Dujardin. Ces dernières auraient pourtant pu rendre ses lettres de noblesse au ciné d'action Français, si une fois de plus le réalisateur franchouillard avait voulu faire autre chose que des comédies.
L'atout asiatique pour l'agent américain. Ecrit par l'auteur des premiers James Bond, Terence Young. De plus, de toute évidence le réalisateur Michel Boisrond est visiblement à l'aise dans l'espionnage tout comme dans la comédie. Un volet plus Bondien dans ses actions et ses situations. Du coté féminin, nous pouvons compter sur la délicieuse actrice Marina Vlady.
Le clone de James Bond. Une espèce de version pour les pauvres, avec moins de cascades, moins de cul, ...moins de tout finalement. Le héros est une sorte de Jean-Marie Bigard, toujours là pour déconner, et il a toujours la grande classe. Je préfère Bond, un peu moins drôle mais beaucoup plus macho. Là, à part les deux tartes que se prend la blondasse, on ne voit pas le côté viril du gars. Le scénario est d'un mortel classique, encore plus soporifique que les James Bond, c'est dire. Bref, passez votre chemin, vous serez déçus.
Ce nouvel opus d’Oss 117 est très proche d’un film de James Bond : détachement et humour du héro, technologie gadget, exotisme de pacotille, scène d’action précédant le générique, et un certain rythme. D’ailleurs Terence Young, réalisateur de trois « 007 » a participé à l’élaboration du scénario. Celui-ci intègre de nombreux rebondissements, et ce qu’il faut de mystère pour maintenir l’intérêt, le rôle exact de certains personnages ne se dévoilant que progressivement. Frederick Stafford est parfait, et s’inspire beaucoup du jeu de Sean Connery ; Marina Vlady convient moins bien, son côté BCBG lui enlève tout mystère ; la japonaise est craquante : son jeu décontracté séduit autant que son physique. Les scènes de bagarre sont à la fois haletantes et vues avec humour. La séquence finale est en progrès sur les Oss 117 précédents, mais n’a pas l’ampleur, voire la démesure nécessaire pour conclure pareille production. Bon spectacle donc, Oss 117 était sur la bonne voie, mais l’inflexion donnée par les films suivants cassera cette dynamique.