Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Africultures.com
par Olivier Barlet
Trueba donne le temps d'apprécier, laisse leur durée aux chansons, si bien que nous ressortons de ce radieux plaidoyer riches de l'extraordinaire énergie d'une musique mais aussi d'une communauté qui dans ses combats quotidiens construit sans prétention mais avec détermination un modèle pour le monde.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
Brazil
par Sam Lowry
Plus qu'un documentaire, Le miracle de Candeal est une ode à la musique, à la vie, à la musicalité de la vie et à la vivacité du monde musical et de ses intervenants.
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Positif
par Matthieu Darras
Rien que pour ces séquences (musicales), énergiques et dynamisantes, le film est remarquable. Une expérience euphorisante de cinéma social également.
La critique complète est disponible sur le site Positif
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Les musiques interprétées par Valdès, Brown et leurs amis (...) sont parfois prenantes; les tambours de Candéal ont la pêche (...) mais on finit par tomber dans le sempiternel carnaval, l'esprit festif à tous crins. Existe-t-il un docu sur le Brésil qui ne parle pas de musique?
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par François-Xavier GOMEZ
La transformation d'un terrain vague en place publique, suivie pas à pas, fournit un exemple à méditer de démocratie directe. Mais le discours n'a pas le temps de s'appesantir, le carnaval emporte tout dans un tourbillon de sons, de corps et de couleurs. Tourbillon qui emporte le film lui-même, ses quelques défauts, et le spectateur ravi.
MCinéma.com
par Rémy Batteault
La musique qui ponctue le film flatte l'oreille, servie par des interprètes hors pair. Or le désir de Brown est né d'un fait divers tragique, qui a vu plusieurs de ses amis tués injustement par la police. Même si le film comporte son lot de belles séquences, on aurait aimé que ces éléments soient bien plus détaillés.
Première
par Gael Golhen
Le film navigue entre quête des racines et militantisme social cool. Mais au lieu de se faire echo, les deux histoires se juxtaposent platement et n'arrivent pas jamais à trouver l'harmonie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Benoit Deschodt
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
par Véronique Le Bris
Fernando Trueba, réalisateur mélomane et créateur du label Lola Records, a choisi l'axe social pour honorer les tempos brésiliens. Certes un peu fouillis, mais qui reste une belle découverte.
aVoir-aLire.com
par Nicole Maïon
Le documentaire de Fernando Trueba fait rapidement voler en éclats les clichés comme les visions manichéennes. Il s'est malheureusement un peu perdu dans ce bouillonnement d'émotions sociales et musicales, quitte à s'embarquer parfois dans quelques impasses et s'embourber dans les longueurs.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Monde
par Thomas Sotinel
Tout cela est mis en scène avec une candeur enthousiaste qui finit par réveiller le mauvais esprit du spectateur. Ce n'est sans doute pas rendre un grand service à Carlinhos Brown et à sa cause que d'escamoter tout ce qui pourrait gâcher la bonne humeur prévalente - criminalité, toxicomanie, corruption...
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La Rédaction
Il cultive la veine très recherchée du Buena Vista Social Club...De grands noms (...) sont au rendez-vous, mais ce nouveau documentaire, signé Fernando Trueba n'a pas la dimension du modèle dont il s'inspire.
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
En vingt ans, (...) Carlinhos Brown a fait de ce quartier défavorisé une pépinière de musiciens. Depuis, la violence y est moins radicale ; la pauvreté, moins cruelle. Cette histoire aurait suffi à nourrir un film. Dommage que Fernando Trueba s'attarde aussi sur celle du pianiste cubain Bebo Valdés (...) Car, au final, " le Miracle de Candeal " souffre de survoler ces deux sujets.
Télérama
par Frédéric Strauss
La vogue estivale des docus musicaux nous apporte ce Miracle, qui n'en est pas un. Chaque performance est malheureusement réglée avec une rigueur de métronome qui prive le film de spontanéité. La favela de Candeal, où la musique est devenue religion, est observée avec à peine plus de profondeur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Africultures.com
Trueba donne le temps d'apprécier, laisse leur durée aux chansons, si bien que nous ressortons de ce radieux plaidoyer riches de l'extraordinaire énergie d'une musique mais aussi d'une communauté qui dans ses combats quotidiens construit sans prétention mais avec détermination un modèle pour le monde.
Brazil
Plus qu'un documentaire, Le miracle de Candeal est une ode à la musique, à la vie, à la musicalité de la vie et à la vivacité du monde musical et de ses intervenants.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Positif
Rien que pour ces séquences (musicales), énergiques et dynamisantes, le film est remarquable. Une expérience euphorisante de cinéma social également.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Les musiques interprétées par Valdès, Brown et leurs amis (...) sont parfois prenantes; les tambours de Candéal ont la pêche (...) mais on finit par tomber dans le sempiternel carnaval, l'esprit festif à tous crins. Existe-t-il un docu sur le Brésil qui ne parle pas de musique?
Libération
La transformation d'un terrain vague en place publique, suivie pas à pas, fournit un exemple à méditer de démocratie directe. Mais le discours n'a pas le temps de s'appesantir, le carnaval emporte tout dans un tourbillon de sons, de corps et de couleurs. Tourbillon qui emporte le film lui-même, ses quelques défauts, et le spectateur ravi.
MCinéma.com
La musique qui ponctue le film flatte l'oreille, servie par des interprètes hors pair. Or le désir de Brown est né d'un fait divers tragique, qui a vu plusieurs de ses amis tués injustement par la police. Même si le film comporte son lot de belles séquences, on aurait aimé que ces éléments soient bien plus détaillés.
Première
Le film navigue entre quête des racines et militantisme social cool. Mais au lieu de se faire echo, les deux histoires se juxtaposent platement et n'arrivent pas jamais à trouver l'harmonie.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Fernando Trueba, réalisateur mélomane et créateur du label Lola Records, a choisi l'axe social pour honorer les tempos brésiliens. Certes un peu fouillis, mais qui reste une belle découverte.
aVoir-aLire.com
Le documentaire de Fernando Trueba fait rapidement voler en éclats les clichés comme les visions manichéennes. Il s'est malheureusement un peu perdu dans ce bouillonnement d'émotions sociales et musicales, quitte à s'embarquer parfois dans quelques impasses et s'embourber dans les longueurs.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Tout cela est mis en scène avec une candeur enthousiaste qui finit par réveiller le mauvais esprit du spectateur. Ce n'est sans doute pas rendre un grand service à Carlinhos Brown et à sa cause que d'escamoter tout ce qui pourrait gâcher la bonne humeur prévalente - criminalité, toxicomanie, corruption...
Ouest France
Il cultive la veine très recherchée du Buena Vista Social Club...De grands noms (...) sont au rendez-vous, mais ce nouveau documentaire, signé Fernando Trueba n'a pas la dimension du modèle dont il s'inspire.
TéléCinéObs
En vingt ans, (...) Carlinhos Brown a fait de ce quartier défavorisé une pépinière de musiciens. Depuis, la violence y est moins radicale ; la pauvreté, moins cruelle. Cette histoire aurait suffi à nourrir un film. Dommage que Fernando Trueba s'attarde aussi sur celle du pianiste cubain Bebo Valdés (...) Car, au final, " le Miracle de Candeal " souffre de survoler ces deux sujets.
Télérama
La vogue estivale des docus musicaux nous apporte ce Miracle, qui n'en est pas un. Chaque performance est malheureusement réglée avec une rigueur de métronome qui prive le film de spontanéité. La favela de Candeal, où la musique est devenue religion, est observée avec à peine plus de profondeur.