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    Un Drôle de caïd
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    2,9
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    13 critiques spectateurs

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    Estonius
    Estonius

    2 480 abonnés 5 227 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 août 2017
    Une sympathique comédie policière plutôt bien réalisée. Le duo Biraud – De Funès fonctionne à merveille, Ces dames sont charmantes, Dora Doll en nymphomane, Dany Saval en fofolle et Dany Carrel avec ses yeux de biche et ses dessous transparents. Et on a même droit à Maria Pacôme en bourgeoise déjantée. C'est très rythmé, on ne s'ennuie pas une seconde et la dernière longue séquence à la patinoire est un must.
    Serge Riaboukine
    Serge Riaboukine

    42 abonnés 946 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 juillet 2009
    "Une souris chez les hommes" et "Un drôle de Caïd" sont les titres d'un même film ! Je pense que ce dernier est plus connu sous le titre "Un drôle de Caïd" mais au générique, vous verrez "Une souris chez les hommes" - N'allez pas me demander pourquoi ! Très sympathique film au demeurant !
    JR Les Iffs
    JR Les Iffs

    61 abonnés 1 151 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 février 2013
    Comédie policière à la française : 2 petits truands (De Funès, Maurice Biraud) font quelques petits coups, puis un grand coup avec une demoiselle délurée dans un grand magasin parisien.
    Film comique sans prétention, mais aussi avec quelques bons gags et surtout avec des bons acteurs. Intérêt pour l'époque (1962) avec la vision des extérieurs de Paris et les véhicules d'époque (la Dauphine). La réalisation est sans surprise, il y a de l'humour de bon aloi, sans aucune vulgarité. C'est agréable à suivre, assez bien rythmé, la photographie en noir et blanc est de bonne qualité, c'est réalisé avec sérieux par un cinéaste qui respecte son public. Film populaire de qualité. Les dialogues sont suffisamment drôles pour retenir l'intérêt. La fin burlesque n'est pas sans qualité.
    Prad12
    Prad12

    77 abonnés 1 085 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 novembre 2018
    Vraiment juste pour les trois acteurs et les images d'époque... le reste est anecdotique et le scénario est l'exact scénario des films divertissants de ces années là. Pas du tout impérissable et l'humour ne fait pas mouche, ce qui est un comble.... ça virevolte de tous les côtés, ça crie, ça court mais vers nulle part....
    vivaBFG
    vivaBFG

    10 abonnés 1 135 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 juillet 2020
    Un chouette divertissement qui nous permet de retrouver un louis de Funès au meilleur de sa forme, avec déjà ses mimiques mais il n'y a pas que lui. Le scénario n'est pas complexe mais il a pour but de nous amuser et il y parvient, que demander de plus.
    A voir par les amateur de comédie à tendance vaudevillesque.
    Alex933B ..
    Alex933B ..

    1 abonné 26 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 décembre 2020
    1 353 277 entées en salle en France. Réalisé juste avant Fantômas et le Gendarme à ST Tropez et juste après Pouic Pouic notamment, c'est un des derniers films où Louis DE FUNES n'est pas encore la principale vedette. Le duo fonctionne bien avec Maurice BIRAUD. Des seconds rôles sont bien interprètés par Dany SAVAL, Dora DOLL et Danny CARREL.
    Cependant, le scénario sans vraiment de temps mort n'est cependant pas à la hauteur des meilleurs films de DE FUNES.
    Mais l'ensemble est amusant et vivant, je l'ai revu avec plaisir plus de 30 ans après l'avoir vu à la tv.
    bug bunny
    bug bunny

    39 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 février 2021
    Un bon petit film comique ancien mais pour m'a toujours d actualité même en noir et blanc on pense un excellent moment
    Max Rss
    Max Rss

    168 abonnés 1 713 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 mars 2019
    Un duo de Funès/Biraud, avec des répliques écrites par Michel Audiard ? Une occasion à ne pas laisser. Seulement, si ce "Drôle de caïd", connu aussi sous le titre de "Une souris chez les hommes", n'est pas honteux, on est quand même bien loin des promesses augurées. En effet, ni de Funès, pas encore vedette à l'époque, ni Maurice Biraud, très bon comédien injustement ignoré, ne sont utilisés dans ce qu'ils ont de meilleur. Fufu apparaît comme étant assez bridé. Tout comme Biraud. Heureusement, une Danny Saval, fraîche et complètement insouciante vient mettre un peu de piment entre les deux. Avec un tel duo en haut de l'affiche, on s'attendait à bien mieux que ça.
    NeoLain
    NeoLain

    4 238 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 mars 2011
    Une souris chez les hommes dont le film est aussi appeler sous un autre titre (Un drôle de caïd ). L'ensemble du film est pas si jouasse, même si des passages sont bien vivant et nous tiens en forme devant la prestation de Louis De Funès le reste est bien moyen, les causes sont du fait que les situations paraissent pas si crédible, les scènes de casse n'appuie pas assez dans une forme de réalisme. Le positif dans tout ça, un trio bien complice, Guy Béart pour la musi que et les dialogues de Michel Audiard.
    Eselce
    Eselce

    1 201 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 avril 2015
    L'intrigue n'est pas terrible, le jeu des acteur est fade, idem pour les dialogues. L'humour est peu présent et on finit le film déçu.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 008 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 juin 2021
    D’abord assistant de Michel Boisrond et de Roger Vadim, Jacques Poitrenaud a œuvré dans le cinéma comique français de série durant une petite quinzaine d’années (de 1956 à 1971). En 1964, Il peut encore s’offrir la présence de Louis de Funès qui est sur le point de renverser la table avec « Le gendarme de Saint Tropez » (Jean Girault) qui la même année sera un triomphe. Le nouveau monsieur 100.000 volts finit de roder ses mimiques qui sont déjà toutes présentes mais n’attendent plus que le réalisateur idoine qui saura les insérer dans le contexte idéal pour leur pleine efficacité. Il renvoie ici la balle à Maurice Biraud et à la toute jeune Dany Saval en entonnant les dialogues d’André Simonin et de Jacques Audiard qui ne sont pas les mieux adaptés au débit de mitraillette de « Fufu ». On passe malgré tout un bon moment à revoir les nombreux seconds rôles de cette période allant de Robert Manuel à Jean Lefebvre en passant par Dora Doll, Maria Pacôme, Claude Pieplu, Jacques Dynam ou la toujours aussi élégante et mutine Dany Carrel. On redécouvrira aussi avec plaisir un Paris oublié qui paraît désormais à des années lumières au point que les plus jeunes pourraient se demander s’il a réellement existé.
    Alexia V.
    Alexia V.

    9 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 décembre 2018
    Un film très bien scénarisé, dans lequel le humour et intrigue se mêlent à la perfection ! Je vous recommande ! :)
    Luuuuuuuuc
    Luuuuuuuuc

    6 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 août 2023
    « Moi vivant, on travaillera jamais au chalumeau, ça me fout le bourdon, ça me rappelle l’usine. »
    « Pas maladroite votre proposition. Francis et moi on fournirait l’outillage, la voiture, la technique, dix années d’expérience et vous viendriez, au charme, nous sucrer un tiers des bénéfices. »

    Albert Simonin (trilogie du Grisbi) et Michel Audiard ont travaillé sur 13 scénarios ensemble, depuis Courte Tête (Norbert Carbonnaux, 1956) jusqu’au Pacha (Georges Lautner, 1968), enchaînant quelques succès devenus cultes. Nombreux sont les thèmes qui parsèment ainsi leurs œuvres communes : le monde des gangsters, l’argot, l’exaltation des milieux populaires et festifs parisiens, le passéisme mais aussi la loyauté et l’amitié fraternelle. Inutile de préciser qu’un tel univers, par ailleurs bien ancré dans son époque, est aussi particulièrement misogyne, homophobe et raciste, l’image d’une société figée qui ne tardera pas à voler en éclat à partir de leur dernière collaboration. Derrière la caméra, Jacques Poitrenaud, qui connaîtra un certain succès avec Ce Sacré Grand-Père (1968) réunissant Michel Simon et Serge Gainsbourg dans une scène mythique, est un peu tombé dans l’oubli malgré ses comédies réunissant la fine fleur des rigolos de l’époque (Francis Blanche, Michel Serrault, etc.)

    La distribution, elle, réunit Dany Carrel qui sort de son image de jeune fille rangée, Louis de Funès qui poursuit sa montée vers le panthéon du comique populaire entamée avec Ni Vu, Ni Connu (Yves Robert, 1958), Maurice Biraud et Jean Lefèbvre, fidèles d’Audiard, Dany Saval dont c’est la quatrième collaboration avec Poitrenaud et toute une série de seconds rôles très en vue à cette époque, tels que Dora Doll, Maria Pacôme, Claude Piéplu, Jacques Legras, etc.

    La première chose qui frappe dans ce film, dès le tout début, c’est la justesse d’interprétation de Louis de Funès, qui n’en fait pas des caisses lorsqu’il doit déclamer les tirades audiardesques. En roue libre, hélas, on le retrouve tel qu’on le connaît. Puisque nous sommes dans l’interprétation, pointons aussi l’insupportable tendance de Dora Doll à jouer systématiquement à côté, pas aidée, il faut bien le dire, par un montage approximatif et une post-synchronisation pas très nette, notamment dans la scène du restaurant où elle finit par être filmée de dos. La caméra d’ailleurs, malgré quelques audaces visuelles (des contre-plongées et une incrustation avertissement bien amusante) vite enterrées, se contente globalement de plans banals dans la plus grande tradition du théâtre filmé, un comble pour un scénario original adapté d’un roman (Les Heures Ouvrables, premier roman de Francis Ryck, 1963).

    Au rayon des bonnes surprises, outre les moments posés de de Funès, notons la précision des scènes de coffres-forts spoiler: et du casse final, quasi melvinienne
    , le côté attachant du couple Biraud/de Funès, unique en tête d’affiche, et le jeu de Dany Saval, certes surjoué comme pour les autres interprètes, mais aussi plein de fraîcheur et de fausse ingénuité, voire carrément pinçant dans son imitation de Marcel/de Funès fracturant un coffre. Son personnage, qui préfigure en plus solide celui qu’incarnera Mireille Darc avec le duo Lautner/Audiard, est d’ailleurs l’incontestable plus de cette oeuvre : son rôle de souris qui donne son titre au film, rare rôle féminin de prime importance qui ne soit pas amoureuse ou mariée ou maman ou putain dans ces années, c’est rarissime. On pointera aussi la musique, originale et pas trop parasite, enlevée parfois, une des premières pour le cinéma signée Michel Colombier, éclectique compositeur et pionnier de la musique électronique, accompagné du rarissime Guy Béart dans cet exercice.

    Au final, si on parvient à s’habituer à l’interprétation exagérée, héritière des années ’50, et si on fait abstraction de la réalisation banale, on se retrouve devant une comédie fort agréable et riche en rebondissements, avec le clin d’oeil de Dany Carrel en guise de conclusion. Un film injustement sous-évalué.
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