Avis sur La Brigade du diable

Beaucoup trop de longueurs et de séquences des préparatifs militaires vus dans de nombreux film de guerre, elle prennent beaucoup de place sans grand intérêt, ni cinématographique ni documentaire. Ensuite viennent les deux passage aux actes : la prise de la ville italienne est de l'angélisme, elle doit être regardée au degré enfantin, elle est typique de ce cinéma américain grand public des années 60. Par contre l'attaque de la partie montagneuse est remarquable, elle vaut à elle toute seule l'existence de ce film. C'est vraiment une scène de guerre réaliste hors du commun à laquelle il ne manque rien. Il y a juste en trop l'épisode du drapeau blanc que McLaglen s'est cru obligé d'ajouter pour de mauvaises raisons. Les acteurs secondaires tiennent plus de place que les vedettes du cinéma de l'époque et c'est loin d'être le meilleur rôle de William Holden, il semble s'y ennuyer.

j'ai passé un bon moment devant se film ! ca ne vaux pas les 12 salopards mais l'action et l'humour sont au rendez vous....

Un film à oublier. Une pâle copie d'un grand nombre de scènes du cinéma classique. Des longueurs, des scènes qui s'enchaîne sans aucun lien, une musique insupportable. Quant au scénario, quelle galette

Un film de guerre au style très convenu avec une 1ère heure qui s'étire car uniquement consacrer à la phase d'entraînement de cette brigade au bout d'un instant ça devient lassant puis vient enfin 2 missions qui n'ont rien de palpitantes. Au final La Brigade du diable s'avère décevant.

Très bon film de guerre avec de très bons acteurs comme William Holden. Et puis j'aime beaucoup ce réalisateur Andrew Mclaglen. Les oies sauvages est aussi très bon. Bref à conseiller aux amateurs.

Andrew McLaglen n'est pas un grand cinéaste, mais c'est un bon "faiseur".
Ce film est à cet image. Ce n'est pas un chef d'œuvre mais il se laisse voir avec plaisir.
La progression narrative copie celle de bon nombre de films de ce genre, des "12 salopards" à "full metal jacket", à savoir
1ere partie : entrainement
2ème partie : la mission
petit divertissement sans prétention mais qui atteint son but.