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    La Colline a des yeux
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    3,4
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    1 354 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 22 mars 2012
    Pas mal mais je m'attendais à mieux, à beaucoup mieux même !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 18 mars 2012
    La réalisation, l'histoire et l'interprétation ainsi que les décors, les effets et les maquillages et enfin, pour finir (!) l'ambiance, bref tout et bien en place pour cet excellent remake de Wes Craven.
    Hélas de nombreuses invraisemblances gâchent pas mal le plaisir de ce film réalisé pourtant de main de maître par un réalisateur prometteur :-(
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 13 mars 2012
    Une histoire surréaliste mais qui paraît pourtant si réelle... Un déferlement de violence mais justifié, les tueurs sont vraiment affreux ! Quelques beaux beaux plans et une musique impressionnante. Un chef d'ouvre qui surpasse l'original.
    Gwen Doline
    Gwen Doline

    36 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 mars 2012
    Un carnage.
    La colline a des yeux remastérisé par Alexandre Aja, redonne le goût de ces films au scénario léger mais aux morts sympathiques.

    Une famille américaine est contrainte de rester en plein milieu de nul part et se font attaquer par des être laids (touchés par une attaque nucléaire). Le père américain dans l'âme se donne tous les moyens possibles pour sauver sa famille spoiler: mais fini brûlé sur un arbre. Tel un bûché d'horreur

    La scène de viol est vraiment réaliste, quand on a une once de sentiment ou peut se sentir choqué, pour les autres cette scène deviendra mythique.

    Grand moment d'horreur au cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 mars 2012
    Au petit jeu du remake qui surpasse l’original, Alexandre Aja vient de frapper un grand coup tant sa relecture de " La colline à des yeux " est en tout point supérieure à son modèle de 1977. Il faut dire que le film partait avec un sacré avantage : la version de Wes Craven, monument d’ennui déplacé, a depuis longtemps perdu de son éclat et ne terrifie guère plus qu’une poignée d’aficionados de la première heure. Un pari risqué donc, mais réussi avec brio.
    C’est avec impatience que l’on attendait cette première incursion américaine d’Aja, qui s’est récemment illustré dans le gore viscéral avec le jusqu’au-boutiste " Haute tension ". Première surprise, l’adaptation se révèle être particulièrement fidèle à l’original. Si la trame globale reste inchangée, le réalisateur, accompagné de son scénariste attitré Grégory Levasseur, s’amuse à y injecter quelques éléments nouveaux, notamment lorsqu’il s’agit d’exposer les méfaits de la politique nucléaire américaine. Un incipit tendu donne rapidement le ton du métrage à venir : barbare et sans concessions. Car, et c’est l’une des grande réussite de cet improbable projet, la mise en scène apporte au film une ampleur qui tranche singulièrement avec la précarité du Craven qui, sous couvert de réalisme brut, se permettait surtout de mettre en boîte des images d’une indigence technique rare. Il fallait bien ce talent pour faire honneur à un scénario qui privilégie les espaces ouverts et la lumière du jour, rendant difficile tout recours à une tension artificielle. Cette colline-là ravira tout les amateurs de sensation fortes et concrétise nos espoirs d’un retour d’Hollywood vers un cinéma d’horreur plus carnassier et terrifiant.
    Le film se place clairement dans la mouvance du survival, jusqu’à évoquer, le temps d’une expédition punitive, " Chien de pailles " et " Délivrance ". La sauvagerie se fait alors irradiante, contaminant les personnages dans une mini-apocalypse rouge sang aussi délétère que son singulier décor. " La colline à des yeux " apporte définitivement du sang frais à l’industrie hollywoodienne. Que Wes Craven, réalisateur des " Scream " et principal responsable d’une "décennie perdue" du cinéma d’horreur en soit l’instigateur ne rend le résultat final que plus savoureux.
    killerice
    killerice

    2 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 mars 2012
    Un de mes films d'horreur préféré,la scene du viol est devenue culte,quelle descente aux enfers ce passage la et c'est vraiment bien réalisé par alexandre aja,notre frenchie spécialiste en remake d'horreur,il nous livre une atmosphere bien sombre accompagné d'une musique opréssante tout le long bref ce film est vraiment une réussite dans son genre du début a la fin 5/5
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 février 2012
    Un remake bien meilleur que l'original et pourtant j'ai horreur des remakes et j'apprecie le travail de Craven...Aja signe un survival plein de sous entendus, il criritique la societe americaine a coup de hache et sa fait du bien!!! Il tranforme le democrate en ce qu'il deteste le plus, il eclabousse les codes du genres en lui insuflant de la matiere grise...Sans doute le meilleur film du duo Aja/Levasseur a ce jour...
    petitlapinnoir
    petitlapinnoir

    39 abonnés 310 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 février 2012
    Un film à réserver aux ados en panne de sommeil le samedi soir....... Plus sérieusement, l'idée générale est plutôt bonne, mais le défaut de la plupart des films d'horreur, c'est qu"ils tiennent le choc durant une heure, avant de s'effondrer devant la répétition successive des scènes de carnages. Du coup, on y croit plus du tout et.... on se prend à sourire. C'est dire......
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 février 2012
    Si vous êtes un peu sensibles au sang et aux visages étranges, je vous déconseille ce film. Mais c'est un très bon film d'horreur, suspense garantit !!! Ce n'est pas un film qui nous hante après le visionnage. C'est pourtant un film assez "gore" avec des passages sanglants et des sursauts. Je garde un bon souvenir de ce film, et pourtant, je suis très sensible aux films d'horreur normalement. A voir entre amis.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 février 2012
    18/20. Alexandre Aja réalise ici un film quasi parfait, de l'horreur omniprésente, les musiques s'accordent bien avec ce genre d'ambiance, "légèrement" bizarre, le gore est réaliste. Par contre quelques au début du film, l'action commence seulement à partir de trois quarts d'heure. Excellent film d'horreur.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 3 février 2012
    Encore un remake foireux qui en fait trop ... à force de vouloir tout montrer et n'importe comment ... plus rien ne choque ... se serait pas mal de revenir au vrai cinéma :/
    Dur de se prendre au jeu (fut il de massacre) avec des acteurs moyens, et des personnages dont on se fou royalement ...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 février 2012
    Un autre remake très réussit d'un des films de Wes Craven. Le scénario est très bien construit, la tension permanente et le côté gore est très présent. Si les remakes de films d'horreur sont souvent de piètre qualité (selon moi en tout cas), celui-ci est une vraie réussite.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 août 2014
    La critique impeccable de Arnaud bordas :

    Laissez tomber tous les remakes récents des grands classiques de l’horreur made in seventies (Massacre à la tronçonneuse, L’Armée des morts…) et leurs avatars édulcorés (Détour mortel), oubliez le gore racoleur et marketé aux petits oignons du père Eli Roth, n’essayez même pas de vous replonger dans le film original : La Colline a des yeux version 2006 va foutre tout le monde à l’amende et s’imposer rapidement comme le parangon du survival horrifique moderne. Croyez-nous sur parole : rarement on aura vu un morceau de pelloche aussi sauvage et jusqu’au-boutiste, qui nous rappelle à point nommé que le genre ne peut se passer d’une approche frontale et viscérale. En attendant de revenir sur ce film-monstre en compagnie de son réalisateur, et sans trop dévoiler les scènes d’anthologie de ce shocker survolté, voici donc un premier aperçu de la bête, qui sortira chez nous au tout début de l’été. Bienvenue dans un monde cruel…

    Après s’être fait la main en tant que réalisateur de seconde équipe sur deux films de son père Alexandre Arcady (Là-bas… Mon pays et Entre chiens et loups) et sur un premier film plutôt discret (Furia), Alexandre Aja avait fait son petit effet avec le très glauque Haute tension, une production Luc Besson. Il devait d’ailleurs enchaîner en réalisant Banlieue 13, toujours pour le compte du mogul français. Mais le destin en a décidé autrement. Remarqué dans de nombreux festivals internationaux et bénéficiant d’une sortie en salles aux Etats-Unis, Haute tension attire les regards d’Hollywood sur le jeune réalisateur. Wes Craven, pape contesté et contestable du film d’horreur, contacte Aja et lui propose le remake d’un de ses titres de gloire, le survival La Colline a des yeux, tourné en 1977. Un film qui a fait illusion durant une bonne partie des années 80 mais qui ne représente plus grand-chose aujourd’hui, si ce n’est une sorte de gros Z ricain typique de son époque. En tout cas, si les remakes de Massacre à la tronçonneuse et Zombie ne semblaient pas a priori indispensables, celui d’un film comme La Colline a des yeux ne prêtait certainement pas le flan à la critique, le potentiel de l’histoire originale n’ayant jamais été transcendé à l’écran. Aja s’est donc retrouvé avec un boulevard créatif devant lui, d’autant plus qu’à l’instar d’un Florent Siri sur Otage, il a pu embarquer dans son trip hollywoodien ses plus fidèles collaborateurs, comme son scénariste Grégory Levasseur ou son chef opérateur Maxime Alexandre.

    Ce qui frappe de prime abord dans le film d’Aja, c’est sa franchise. Cette Colline-là n’oublie jamais ses racines, celles du film d’horreur et du cinéma bis, et ce de sa scène d’ouverture bien énervée, qui annonce la couleur en nous présentant la famille de montagnards dégénérés dans ses basses œuvres jusqu’à son casting hautement sympathique qui aligne les B-vedettes typées (Ted Levine, Billy Drago, Kathleen Quinlan…). Mais en même temps, le film fait montre d’une belle capacité à prendre le genre au sérieux, tout d’abord par l’emploi d’une violence graphique extrême dont ne peut décemment pas se passer un vrai survival, et ensuite en y imprimant un traitement qui ne capitalise pas forcément sur ce qui a déjà été fait avant et qui affirme crânement le réel potentiel artistique d’une telle entreprise (malgré les bataillons de tâcherons qui ont peu à peu déprécié le genre au cours des dernières décennies). Photo soignée, décors à la fois réalistes et oppressants (un coin perdu d’Amérique reconstitué dans le désert marocain !), musique au rôle primordial (on y reviendra), scénario qui se permet d’être intelligent sans être démonstratif… Si la violence hardcore de Haute tension s’avérait être en léger décalage par rapport à un propos plutôt maladroit, ici, Aja maîtrise parfaitement sa narration et décuple la puissance de sa sauvagerie visuelle en l’inscrivant à l’intérieur de thématiques aussi discrètes que percutantes. La violence du peuple américain est ici abordée sans détours mais jamais envisagée à l’intérieur d’une dichotomie facile et moralisatrice opposant les barbares aux civilisés. En fait, elle est placée au cœur même de la famille de yankees moyens, où le père affirme haut et fort ses convictions républicaines devant le dégoût de son gendre pour les armes à feu. On ne dévoilera pas ici le destin des personnages mais sachez simplement qu’à l’instar d’Un justicier dans la ville et des Chiens de paille, la pulsion vengeresse et régressive ne viendra pas forcément de là où on l’attendait.

    Sans une once d’humour, La Colline a des yeux malmène ses héros jusqu’aux frontières du soutenable, faisant se fissurer le cocon familial sous les coups de boutoir du refoulé, ici matérialisé dans la figure des rebuts de la civilisation et du progrès. Peu à peu, les grandes étendues sauvages filmées en Scope 35 mm (adios le 16 mm de Wes Craven, gage un peu trop facile d’authenticité esthétique) s’amenuisent, les ombres s’étendent, les cadres se resserrent, les axes de caméra se font plus agressifs… Et le projet enthousiasmant d’Aja de se dévoiler progressivement : là où ses confrères préfèrent le plus souvent envisager le survival sous l’angle unique d’un réalisme cradingue et dérangeant, le réalisateur français y applique en sus un traitement épique qui explose particulièrement dans la dernière partie de son film. Une ultime demi-heure d’une sauvagerie inouïe, où la musique quasi-héroïque du duo Tomandandy et le filmage iconique en diable d’Aja confèrent à la vendetta du héros un aspect galvanisant qui contraste insidieusement avec les débordements d’ultra-violence qui s’affichent à l’écran, renvoyant ainsi le spectateur à l’ambiguïté profonde du sentiment de vengeance, aussi moralement condamnable que viscéralement cathartique.

    La copie qui sortira sur nos écrans fin juin (et sur les écrans américains dès le 10 mars) est la version coupée, le montage uncut étant destinée à l’exploitation en DVD (environ cinq minutes supplémentaires, composées essentiellement de rajouts gore et de quelques extensions de scènes). Pourtant, tel quel, La Colline a des yeux est déjà un monument de violence barbare, le découpage nous laissant largement le temps de voir les chairs ouvertes et les dégâts provoqués par les différents coups de hache et autres objets offensifs. Là encore, Aja ne cède en rien au style épileptique très en vogue dans les films d’horreur actuels (cf. The Descent, entre autres), refusant le spectacle d’une violence surdécoupée et du coup complètement désamorcée. Ici, l’horreur est omniprésente et protéiforme (psychologique, visuelle, sensitive…), mais surtout, elle est palpable, physique et donc terriblement choquante. A l’arrivée, La Colline a des yeux est sans doute l’un des meilleurs films d’horreur de ces dernières années, et il se trouve que c’est un Français d’à peine 27 ans qui l’a réalisé. Et nous, du coup, on attend avec une impatience non feinte son prochain opus, The Waiting, qui sera à nouveau une production Wes Craven et qui racontera les déboires d’une mère hantée par le fantôme de son enfant décédé. Chauffe Alexandre, chauffe !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 26 janvier 2012
    Rien à dire, très bon film un des meilleurs du genre.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 22 janvier 2012
    L'esthétique du film est très réussie, la bo, aussi, je n'ai rien à reprocher aux acteurs, au contraire, mais il y a trop d’incohérences pour que j'apprécie. C"est à tel point que j'ai complétement décrocher du film, et que j'étais à 2 doigts de sortir le dvd du lecteur... Le film est vraiment débile et pour moi ça gâche tout.
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