Derniers Avis : Invasion - Page 2

chacun son avis. moi j'ai aimait mais je me demande comment j'ai pu rater ce genre de film. ceci dis la mère rentre retrouver son fils. elle rentre dans appartement..... dans la peur le stress elle as quand même eu intelligence d enlever c est chaussure . histoire de pas salire appart ahah. alors la j était bien surpris ahah.

Du début à la fin Invasion est ennuyeux il est prévisible et terriblement cliché. J'ai continué à espérer jusqu'à la fin qu'à un moment donné ça s'améliorerait mais petit à petit tout dans cette histoire est l'incarnation de tout ce qui est banal et dépassé dans les films de science-fiction et il y a peu ou rien de ce qui est intéressant et original. Chaque film de science-fiction minable commence par de petites allusions qui sont censées se produire plus tard et c'est le cas de celui-ci. Sauf que toute cette section ne cesse de montrer au public des choses qui sont d'une évidence déconcertante. Mon mari n'est plus mon mari ah bon et qui est ce alors. Selon la formule typique et banale des films de science-fiction et d'horreur il y a aussi une scène où le personnage principal apporte un échantillon de quelque chose d'étrange à un scientifique qui l'examine et explique commodément tout ce que le public doit savoir sur la substance la maladie ou la race extraterrestre d'une manière directe et inintéressante. Il y a tellement de scènes de ce genre où les personnages sont censés révéler quelque chose de nouveau et d'intéressant au public mais tout se passe comme si le scénariste pensait que ce public est stupide et incapables de comprendre une simple indication dans un film. Je pourrais mentionner beaucoup d'autres choses de ce genre mais je commence à m'énerver...

Film pas terrible possédant de bonnes scènes par moment mais d'une platitude pour le reste.

Le message peut être intéressant mais possède des incohérences comme spoiler: les infectés promouvant un monde en harmonie sans émotions sont capables de tuer des chiens, des humains immunisés ou encore renverser une femme demandant de l'aide sans problème... 

De ce fait, je ne comprends pas réellement le message entre ce qu'est dit par les personnages et ce que l'on peut voir par moment.

Le film est bien dans la première partie mais en deuxième partie, le film se change spoiler: en sorte de film de zombie avec des infestés sur la voiture des héros principales qui essaye d'entrer
, le rendant inintéressant et s'essoufflant rapidement. La fin n'est pas une fin, c'est du foutage de gueule spoiler: Et Hop, le problème disparait comme par magie en 2 minutes de film.

Quel message agressif et odieux

C'est triste car ce film est plutôt intéressant avant que la propagande politique ne gâche tout !

Selon ce film réducteur, « être humain pour le meilleur et pour le pire » signifie que nous ne devons pas évoluer au-delà des étapes primitives de l'évolution sociale, bien que notre technologie donne le pouvoir d'annihiler la vie sur Terre dans un holocauste écologique et / ou nucléaire.

« Les émotions incontrôlées nous rendent « humains » et les amphétamines, le meurtre et la guerre valent mieux que la paix pour le bien commun ». Cette terrible déclaration politique fait de cette quatrième interprétation du classique de science-fiction de Jack Finney «L'Invasion des profanateurs » (1955) rien d'autre qu'une propagande sans âme, et la pire de la série.

Une énième version d'une invasion extra-terrestre qui zombifie tout ce qu'elle trouve sur son passage, qui ça peut bien intéressé à part Fox Mulder?? Pas moi, en tout cas. Tout sent le réchauffé, on anticipe chaque scène tellement le scénario est grossier, Nicole Kidman est quand même un peu moins belle que dans "Moulin Rouge!" et "Les Autres", Daniel Craig joue les faire-valoirs, le film est d'un ennui mortel et la morale prêchi-prêcha devient franchement lourde. On s'ennuie, on s'ennuie. Quoi?? T'as aimé Mulder?? Tu délires!!

Une quatrième adaptation du roman L'Invasion des profanateurs de Jack Finney ?
Je trouve que ça fait beaucoup pour une simple œuvre littéraire, surtout que la version du réalisateur Abel Ferrara était déjà inutile à mes yeux. Cependant, comme j’ai remarqué que l’histoire des versions Philip Kaufman et Abel Ferrara était assez différente de celle de la version du cinéaste Don Siegel, je me suis dit que chaque adaptation qui voit le jour est dotée d'un scénario reformé par rapport à celui du premier film.

Pour cette quatrième mouture, nous sommes toujours dans ce cas-là et, de surcroit, les changements sont bien plus considérables que ceux des précédentes versions. Les cocons ont disparu, le film se déroule dans un milieu complètement urbain, le personnage principal est une femme : tels sont des exemples de modifications scénaristiques. Ce qui est une bonne chose, Mais l' l’impression de déjà vu se manifeste malgré tout manifester pendant le visionnage, et encore plus lorsque le film est passablement truffé des mêmes défauts que ceux des deux précédentes adaptations.
Le premier défaut repérable dans ce long-métrage, c’est le casting. J’aime bien l’actrice Nicole Kidman. Elle a toujours été sérieuse dans ses rôles et campe ses personnages généralement d’une manière sensée. Mais içi, elle me laisse perplexe à certains moments, bien qu’elle donne une parfaite image représentative de la mère qui veut protéger son fils du mal régnant dans sa ville. Kidman est accompagnée par Daniel Craig, qui s' est fait connaître au grand public après avoir interprété le plus fameux agent secret britannique du cinéma .

Ce dernier m’a un peu gêné : je n’ai pas l’impression qu’il avait sa place dans cette Invasion là et il ne parvient pas à rendre son personnage motivant avec sa froideur et son inflexibilité.
Quant au reste du casting, c’est pas mal dans l’ensemble, c’est une réunion d’acteurs qui est faite pour générer une tension certaine et un suspense soutenu pendant toute la durée du visionnage.
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Toutefois, cela ne m’a pas suffit : il me manque la folie !
Nous assistons au début inquiétant d’une invasion d’êtres dépourvus d’émotions ; mais c’est toujours la même chose. Les gens sont contaminés et nous devons nous contenter de les voir uniquement jeter des regards glaciaux à ceux qui ne le sont toujours pas, nous sommes juste spectateurs de quelques évènements tragiques ( comme le couple qui se laisse tomber dans le vide, à partir du toit d’un immeuble ).

C’est encore du potentiel gâché. Pour une production se déroulant dans une grande ville américaine, on aurait pu vraiment aller encore plus loin que de simples faits dramatiques. Mais il faut se rendre à l’évidence, la production est plus centrée sur l’évolution du couple Kidman-Craig et de ce qui passe dans leur entourage.

Quelques bons points dans cette version comme le processus de la transformation, Nicole Kidman se battant sans arrêt pour ne pas tomber dans le sommeil avec ces substances élastiques et transparentes qui naissent sur sa peau à chaque fois qu’elle s’endort. Une production assez sympa , nous agrippant assez bien avec son atmosphère paranoïaque et omniprésente , sans omettre sa mise en scène bien structurée,

Encore une relecture du film de Siegel ....
Sitôt vu sitôt oublié...
Le mystère est vite dissipé et le film n'apporte rien de nouveau.

Une invasion extraterrestre qui prend les traits d'un virus contagieux, une attaque toute en douce qui n'utilise pas de vaisseaux spatiaux afin de détruire des millions de vies en même temps comme nous en avons l'habitude dans les films de ce genre. Une accroche alléchante : pas de pauvreté ni de guerre, une union parfaite. Mais c'est se perdre soit même qui est une contrepartie trop grande pour accepter ce nouveau mode de vie. Nicole Kidman fera tout pour sauver son fils de cette atroce réalité. Après une excellente entame et de beaux moments de tension, le film s'essouffle en seconde partie et le final est trop vite expédié.

Prenez un réalisateur talentueux, Oliver Hirschbiegel, le réalisateur de l'excellent film allemand « L'Expérience » (2001). Prenez une star parfaite dans chacun de ses rôles comme peut l'être Nicole Kidman. Vous pensez obtenir un excellent film ? Et bien non car la « recette » a été gâchée par un scénario bâclé. Et ce n'est pas faute d'avoir un bon matériau de départ : l'excellent livre « Invasion of Body Snatchers » (Albert Finney, 1954) qui a donné lieu à deux excellents films « L'invasion des profanateurs de sépultures » (1956) et « L'invasion des profanateurs » (1978). Le film commençait pourtant bien mais on arrive à la moitié du film dans le grand n'importe quoi et la fin est illogique et irréaliste au possible. Revoyez l'un des deux premiers films adaptés du même livre ou « 28 Jours Plus Tard » qui, à partir d'un concept voisin, s'en tirait beaucoup mieux.

Quatrième adaptation de L’Invasion des profanateurs de Jack Finney (après L’Invasion des profanateurs de sépultures de Don Siegel, L’Invasion des profanateurs de Philip Kaufman et Body snatchers d’Abel Ferrara), Invasion d’Oliver Hirschbiegel adapte très librement le roman (le personnage principal devient une femme et n’est plus médecin généraliste mais psychologue par exemple) mais en garde l’aspect paranoïaque. Même si le cinéaste a connu des gros problèmes avec Warner (qui a fait retravailler le scénario par les Wachowski et a fait tourner les nouvelles scènes par James McTeigue), il réussit à offrir un film très prenant à la photographie souvent très froide et jouant parfois sur des effets de montage particulièrement efficaces spoiler: (il est parfois volontairement chaotique quand Carol cède à la panique)
. De plus, il bénéficie d’une Nicole Kidman et d’un Daniel Craig extrêmement convaincants. Ainsi, Invasion spoiler: (dont l’insistance sur la forme virale et la quête d’un antidote prennent un aspect prophétique depuis la crise du Covid 19)
est un film fantastique très efficace qui angoisse le spectateur de bout en bout.

Des avis un peu partagés sur ce film, de bons acteurs mais une histoire faussement intéressante et peu crédible. C'est un thème un peu ancien en fait les ETs microbiens qui s'emparent des humains en 2007 spoiler: en supprimant les émotions
on en a vu des tas déjà voici de cela quelques décennies avant que les zombies et autres vampires ne les supplantent. Les Je suis une légende, world war z et autres films virulents plus dramatiques certes avaient plus d'originalité. Aussi là le mélange n'a pas un goût trop surprenant juste un peu prenant à cause des acteurs et un suspense correct, et d'actualité avec un encart tous contre le virus pendant le film. Sinon la moralité oui ce serait mieux sans les guerres et tous les crimes mais on est des humains et on est bien comme ça, un brin ridicule voire débile.

On ne retiendra pas grand chose de ce remake, pas même le caractère stressant ou pesant qu'il aurait dû provoquer. D'une banalité absolue.

Série B, alors on danse ? Chaque nouvelle décennie profanatrice apporte son lot du siècle, dans des fictions aux plus profondes des peurs humaines, et la politique participative joue beaucoup sur ces consciences, ce film est la continuité de cette saga extra-cosmique horrifique commencé en 1956, le scénario de base donne une écriture multiple.
Le visuel en vue et des facilités au fur et à mesure de la mise en scène, dû au changement de direction, l’ajout d’assistant pour seconder, une question productive, une uniformité et des équipements matériels à disposition pour cette intrigue 2007, un monde plus que actuel, l'existentiel survit au 21ème siècle et c’est toujours aussi glaçant.

Les extraterrestres parasites sont toujours là, tenaces et à occuper l’esprit puissant sur le cinéma hollywoodien, depuis l’illustre Don Siegel et son chef-d’œuvre qui emboîte le pas à 1978 suivi de 1993 qui clôture la boucle en beauté.
Voyons voir ces corps habités par « l’invasion », qui remplacent tout ce qu’ils restent de vivants, restez stoïque sans émotions, ne vous endormiez pas une fois contaminé, le micro-organisme commence sa mutation corporelle, recouvre en cocon alien allongé l’humanoïde, c’est la copie qui vous élimine, adios amigos l’originalité, vous l’avez bien cherché et elle vous a trouvé.

Ces aliens sont partout, à déferler sur l’humanité en la désarmant de ses dernières défenses, à marcher bizarrement et partir en cacahouète tous ensemble, la communauté union E.T. spitter au commande du nouveau monde politisé, dans cette fiction qui n’a presque plus rien d'humain.
Un final ressorti pleinement satisfait pour des stars alienisés aussitôt confirmé, dans la lignée des Body Snatchers, leurs célèbres bruits sont monstrueux, c’est The invasion tout simplement, on entendra la sonnerie de la porte expressément, la méfiance se transforme en paranoïa furtive, rempart meilleur arme.

La lutte temporelle continue et continuera vers l’horizon intemporel, c’est parti pour un cinquième ? S’il faut compter la faculté comme un univers parallèle du cinéma partagé.

Remake d'un remake, la réalisation est plate, des gros plans sur visages qui gigotent en veux-tu en voilà, une fin abrupte, trèèèèèèès abrupte et sans saveur. Un très bon concept gâché par une réalisation trop serrée.

certes un thème rebattu pour un film qui peut rappeler le culte "l'invasion des profanateurs" (1978). un remake inégal qui contient des moments de vrai suspense, d'autres plus anesthésiés et quelques invraisemblances. son duo star n'apporte pas forcément un plus, tout repose sur l'aspect angoissant du scénario.